Les Miqo’tes :
Une race se distinguant par leurs larges oreilles félines, et leur queue souple. Pour des raisons qui ne sont pas tout à fait claires, les femelles Miqo’te sont largement plus nombreuses que les mâles, un phénomène unique par les races d’Eorzéa.
Histoire :
Les Miqo’tes sont les descendants des peuples de chasseurs qui traversèrent les mers gelées vers Eorzea à la recherche de proies durant l’Âge du Froid sans Fin, quand la famine enserrait les terres. Rompant avec leur ancien mode de vie, ils ont pour la plupart accepté leur statue de l’une des races les moins nombreuses d’Eorzéa. Profondément territoriaux et fiers de leurs traditions, il pourrait être dit que les Miqo’tes ne peuvent pas s’adapter à la vie dans les cités états. Néanmoins, en tant que chasseurs nés habitués à un style de vie nomade, nombre de Miqo’tes ont rencontrés un grand succès comme aventuriers.
Clans :
Les Miqo’tes sont grossièrement divisés en deux clans, les Chercheurs du Soleil diurnes, et les Gardiens de la Lune nocturnes. Les premiers chassent à la lumière du jour tandis que les second rodent durant la nuit, et l’on pense que cette différence d’habitudes est due à une différence physique unique entre les deux. En outre, au sein de chaque clan existe de nombreuses tribus, chacun avec leur propre unique culture, coutumes et méthodes de chasse, il est difficile de dire que les Miqo’tes d’un même clan partagent des croyances communes.
Identité :
Un trait commun à tout les Miqo’te est fierté féroce pour leur héritage de chasseur. Se voyant eux même comme une partie du monde naturel lui-même, ils apprécient plus que tout la liberté de la chasse, et ne fuient pas la mort lorsque la vieillesse et les infirmités les privent de la force physique nécessaire pour poursuivre leur activité avec satisfaction. Pour les Miqo’tes emprunt de liberté, le mode de vie des autres races, leur habitude de se rassembler avec leur propre espèce, de dompter la nature pour construire des villes, de rechercher la sécurité et la stabilité dans les lois et les alliances, doit en effet paraître bien curieux.
Langue :
Malgré leur nature intrinsèquement solitaire, les Miqo’te adoptèrent la langue commune assez tôt, né du besoin de troquer leurs outils de chasses et leurs armes. Des vestiges de leur ancienne langue peuvent être observés dans le « parlé de chasse » distinctif des Miqo’tes, un système de claquements de langue et de sifflements utilisés pour communiquer avec ses compagnons lors de la poursuite d’une proie.
Vêtements :
Les agiles Miqo’tes privilégient la liberté de mouvement à tout le reste, évitant les lourdes armures qui pourrait restreindre leur amplitude de mouvement. Les bas des Miqo’tes sont invariablement percé d’un trou à travers lequel ils balancent leur queue librement, leur permettant de conserver leur inégalement sens de l’équilibre.
Les Chercheurs du Soleil :
Sans surprise, de leur nom de clans qu’ils se donnent, les Chercheurs du Soleil comptent de nombreux dévots d’Azeyma, la Gardienne, parmi leurs rangs. Alors que leur nombre total ne soit pas grand, leurs vingt-six tribus sont éparpillées à travers toutes les marges du contient, avec de petites implantations de Chercheurs qui peuvent être trouvé dans les sables du Désert de Sagolii dans le Thanalan méridional, dans les sommets déchiquetés de Gyr Abania. Cependant, d’autres Chercheurs se sont établis à Limsa Lominsa, attirés par la liberté de la vie des pirates. De nombreux Chercheurs, en particulier ceux des générations les plus jeunes, ont choisit de prendre la route comme aventuriers, peut être en entendant le même appel de la nature qu’avait suivi leurs ancêtres autrefois.
Présence : La Noscea (Limsa Lominsa), le désert de Sagolii, Gyr Abania, un peu partout.
Attributs physiques : Grossièrement faisant une tête de moins et un corps plus fin que le Hyur moyen, les Chercheurs sont bénis d’une force nerveuse, et dépassant l’agilité, et l’endurance pour courir des heures sous le soleil brulant, une combinaison de traits qui les rends incroyablement adaptés à la chasse dans les climats arides. Comme de nombreux Chercheurs sont adeptes de l’escalade et de la plongée, ils font également d’excellents marins. Leurs traits physiques les plus frappant sont leurs yeux, avec leur pupilles fines et étroites verticales et leur iris faiblement coloré.
Nomenclatures : Chacune des vingt-six tribus de Chercheurs adoptèrent un nom tribal tiré d’une lettre de l’alphabet, qui, que ce soit par hasard ou par un destin divin comme les Chercheurs le croient, contient le même nombre de lettre. Dans le nom féminin R’ashaht Rhiki, le « R » représente la tribu, tandis que « Ashaht » est le prénom et « Rhiki » le patronyme tiré du mâle reproducteur. Le nom masculin des Chercheurs ne contienne pas de patronyme, et à la place est ajouté un titre dénotant leur position dans la tribu : « nunh » pour les mâles reproducteurs, ou « tia » pour tous les autres.
Culture : Les chercheurs du Soleil sont une culture profondément patriarcale, avec chaque tribu centrée autours d’un mâle reproducteur (nunh) dont le devoir est de former un harem et de guider son peuple vers la gloire et la prospérité. Les jeunes mâles naissent et sont élevés comme « tia » et doivent défier et vaincre le nunh actuel en combat singulier pour assumer sa position, ou quitter la communauté pour fonder son propre harem. Dans des tribus particulièrement grandes, plusieurs nunh peuvent coexister dans la même communauté, mais de tels cas sont rares.
Gardiens de la Lune :
Comme on pourrait le supposer à partir des noms qu’ils se donnent, la majorité des Gardiens de la Lune sont des suivants dévoués de Menphina. Ils résident et chassent dans le Linceul, où durant des années ils furent en conflit avec le peuple de Gridania, qui voyait dans les Gardiens à peine mieux que des braconniers. Dans les dernières années, néanmoins, les deux partis on fait fi de leurs différences pour se réconcilier et aujourd’hui, nombre de Gardiens chassent en accord avec les règles établis par la ligue des Trappeurs, troquant les fourrures et la viandes pour se procurer des biens agricoles et les matières premières essentiels. Les autres, néanmoins, refusent d’abandonner ces règles, braconnant dans la forêt et jetant leurs déchets dans l’environnement naturel comme ils l’entendent.
Présence : Sombrelinceul
Attributs physiques : Reconnaissable a leur longue queue, les Gardiens sont presque identiques à la stature de leurs cousins chercheurs, ils peuvent être distingué par leur fourrure, sombre comme une nuit brumeuse, et les larges pupilles de leurs yeux. Bien que manquant de la résistance physique des Chercheurs, ils compensent cela par la force féroce de leur instinct et leur volonté infaillible. Avec leur intuition aigue, les chasseurs gardiens sont connu par l’aisance avec laquelle ils piègent même les cibles dissimulées dans la nuit.
Nomenclature : Les Gardiens de la Lune sont une société profondément matriarcale. Cela se manifeste dans leurs noms, chacun commençant par un matronyme. Dans le nom féminin Oki Nbolo, Okhi est le nom de sa mère, auquel est attaché le prénom Nbolo. Les noms féminins et masculins montrent de petites distinctions, avec les deux composés de courtes et puissantes syllables. La tendance matriarcale peut aussi se sentir dans les noms masculins, qui contiennent un nom matronymique auquel est ajouté un suffixe indiquant l’ordre de naissance. (‘a pour le premier fils, ‘to pour le second, ‘li, ‘sae, ‘ra, ‘ir, ‘wo, ‘ya, ‘zi et ‘tan pour le dixième). Bien que ses suffixes soient au nombre de dix, il est rare qu’il y ait plus de deux ou trois fils à part dans les plus grandes familles de Gardiens.
Culture : En contraste avec les Chercheurs du Soleil, avec leurs tribus dominées par des hommes et leurs harems, l’unité fondamentale de la société des Gardiens de la Lune est la famille, centrée autours d’une puissante figure maternelle et ses enfants. Les Gardiens sont également connus pour former de petites communautés de deux ou trois familles qui chassent ensemble. Ils sont également connus pour décorer leurs visages avec des peintures de guerre avant la chasse, une tradition symbolisant leur préparation et leur volonté de tacher leur main de sang, autant que d’envoyer un message à leurs dieux qu’ils sont préparés à leurs servir comme guerrier dans l’après vie s’ils venaient à tomber.
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Source: Encyclopédia Eorzea I
[quote]Le Chat
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[b][u]Les Miqo’tes :[/u][/b][/center]
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Une race se distinguant par leurs larges oreilles félines, et leur queue souple. Pour des raisons qui ne sont pas tout à fait claires, les femelles Miqo’te sont largement plus nombreuses que les mâles, un phénomène unique par les races d’Eorzéa.
[b][u]Histoire :[/u][/b]
Les Miqo’tes sont les descendants des peuples de chasseurs qui traversèrent les mers gelées vers Eorzea à la recherche de proies durant l’Âge du Froid sans Fin, quand la famine enserrait les terres. Rompant avec leur ancien mode de vie, ils ont pour la plupart accepté leur statue de l’une des races les moins nombreuses d’Eorzéa. Profondément territoriaux et fiers de leurs traditions, il pourrait être dit que les Miqo’tes ne peuvent pas s’adapter à la vie dans les cités états. Néanmoins, en tant que chasseurs nés habitués à un style de vie nomade, nombre de Miqo’tes ont rencontrés un grand succès comme aventuriers.
[b][u]Clans :[/u][/b]
Les Miqo’tes sont grossièrement divisés en deux clans, les Chercheurs du Soleil diurnes, et les Gardiens de la Lune nocturnes. Les premiers chassent à la lumière du jour tandis que les second rodent durant la nuit, et l’on pense que cette différence d’habitudes est due à une différence physique unique entre les deux. En outre, au sein de chaque clan existe de nombreuses tribus, chacun avec leur propre unique culture, coutumes et méthodes de chasse, il est difficile de dire que les Miqo’tes d’un même clan partagent des croyances communes.
[b][u]Identité :[/u][/b]
Un trait commun à tout les Miqo’te est fierté féroce pour leur héritage de chasseur. Se voyant eux même comme une partie du monde naturel lui-même, ils apprécient plus que tout la liberté de la chasse, et ne fuient pas la mort lorsque la vieillesse et les infirmités les privent de la force physique nécessaire pour poursuivre leur activité avec satisfaction. Pour les Miqo’tes emprunt de liberté, le mode de vie des autres races, leur habitude de se rassembler avec leur propre espèce, de dompter la nature pour construire des villes, de rechercher la sécurité et la stabilité dans les lois et les alliances, doit en effet paraître bien curieux.
[b][u]Langue :[/u][/b]
Malgré leur nature intrinsèquement solitaire, les Miqo’te adoptèrent la langue commune assez tôt, né du besoin de troquer leurs outils de chasses et leurs armes. Des vestiges de leur ancienne langue peuvent être observés dans le « parlé de chasse » distinctif des Miqo’tes, un système de claquements de langue et de sifflements utilisés pour communiquer avec ses compagnons lors de la poursuite d’une proie.
[u][b]Vêtements :[/b][/u]
Les agiles Miqo’tes privilégient la liberté de mouvement à tout le reste, évitant les lourdes armures qui pourrait restreindre leur amplitude de mouvement. Les bas des Miqo’tes sont invariablement percé d’un trou à travers lequel ils balancent leur queue librement, leur permettant de conserver leur inégalement sens de l’équilibre.
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[b][u]Les Chercheurs du Soleil :[/u][/b][/center]
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Sans surprise, de leur nom de clans qu’ils se donnent, les Chercheurs du Soleil comptent de nombreux dévots d’Azeyma, la Gardienne, parmi leurs rangs. Alors que leur nombre total ne soit pas grand, leurs vingt-six tribus sont éparpillées à travers toutes les marges du contient, avec de petites implantations de Chercheurs qui peuvent être trouvé dans les sables du Désert de Sagolii dans le Thanalan méridional, dans les sommets déchiquetés de Gyr Abania. Cependant, d’autres Chercheurs se sont établis à Limsa Lominsa, attirés par la liberté de la vie des pirates. De nombreux Chercheurs, en particulier ceux des générations les plus jeunes, ont choisit de prendre la route comme aventuriers, peut être en entendant le même appel de la nature qu’avait suivi leurs ancêtres autrefois.
[b][u]Présence : [/u][/b]La Noscea (Limsa Lominsa), le désert de Sagolii, Gyr Abania, un peu partout.
[b][u]Attributs physiques : [/u][/b]Grossièrement faisant une tête de moins et un corps plus fin que le Hyur moyen, les Chercheurs sont bénis d’une force nerveuse, et dépassant l’agilité, et l’endurance pour courir des heures sous le soleil brulant, une combinaison de traits qui les rends incroyablement adaptés à la chasse dans les climats arides. Comme de nombreux Chercheurs sont adeptes de l’escalade et de la plongée, ils font également d’excellents marins. Leurs traits physiques les plus frappant sont leurs yeux, avec leur pupilles fines et étroites verticales et leur iris faiblement coloré.
[b][u]Nomenclatures : [/u][/b]Chacune des vingt-six tribus de Chercheurs adoptèrent un nom tribal tiré d’une lettre de l’alphabet, qui, que ce soit par hasard ou par un destin divin comme les Chercheurs le croient, contient le même nombre de lettre. Dans le nom féminin R’ashaht Rhiki, le « R » représente la tribu, tandis que « Ashaht » est le prénom et « Rhiki » le patronyme tiré du mâle reproducteur. Le nom masculin des Chercheurs ne contienne pas de patronyme, et à la place est ajouté un titre dénotant leur position dans la tribu : « nunh » pour les mâles reproducteurs, ou « tia » pour tous les autres.
[b][u]Culture :[/u][/b] Les chercheurs du Soleil sont une culture profondément patriarcale, avec chaque tribu centrée autours d’un mâle reproducteur (nunh) dont le devoir est de former un harem et de guider son peuple vers la gloire et la prospérité. Les jeunes mâles naissent et sont élevés comme « tia » et doivent défier et vaincre le nunh actuel en combat singulier pour assumer sa position, ou quitter la communauté pour fonder son propre harem. Dans des tribus particulièrement grandes, plusieurs nunh peuvent coexister dans la même communauté, mais de tels cas sont rares.
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Gardiens de la Lune :[/u][/b][/center]
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Comme on pourrait le supposer à partir des noms qu’ils se donnent, la majorité des Gardiens de la Lune sont des suivants dévoués de Menphina. Ils résident et chassent dans le Linceul, où durant des années ils furent en conflit avec le peuple de Gridania, qui voyait dans les Gardiens à peine mieux que des braconniers. Dans les dernières années, néanmoins, les deux partis on fait fi de leurs différences pour se réconcilier et aujourd’hui, nombre de Gardiens chassent en accord avec les règles établis par la ligue des Trappeurs, troquant les fourrures et la viandes pour se procurer des biens agricoles et les matières premières essentiels. Les autres, néanmoins, refusent d’abandonner ces règles, braconnant dans la forêt et jetant leurs déchets dans l’environnement naturel comme ils l’entendent.
[b][u]Présence :[/u][/b] Sombrelinceul
[b][u]Attributs physiques :[/u][/b] Reconnaissable a leur longue queue, les Gardiens sont presque identiques à la stature de leurs cousins chercheurs, ils peuvent être distingué par leur fourrure, sombre comme une nuit brumeuse, et les larges pupilles de leurs yeux. Bien que manquant de la résistance physique des Chercheurs, ils compensent cela par la force féroce de leur instinct et leur volonté infaillible. Avec leur intuition aigue, les chasseurs gardiens sont connu par l’aisance avec laquelle ils piègent même les cibles dissimulées dans la nuit.
[b][u]Nomenclature : [/u][/b]Les Gardiens de la Lune sont une société profondément matriarcale. Cela se manifeste dans leurs noms, chacun commençant par un matronyme. Dans le nom féminin Oki Nbolo, Okhi est le nom de sa mère, auquel est attaché le prénom Nbolo. Les noms féminins et masculins montrent de petites distinctions, avec les deux composés de courtes et puissantes syllables. La tendance matriarcale peut aussi se sentir dans les noms masculins, qui contiennent un nom matronymique auquel est ajouté un suffixe indiquant l’ordre de naissance. (‘a pour le premier fils, ‘to pour le second, ‘li, ‘sae, ‘ra, ‘ir, ‘wo, ‘ya, ‘zi et ‘tan pour le dixième). Bien que ses suffixes soient au nombre de dix, il est rare qu’il y ait plus de deux ou trois fils à part dans les plus grandes familles de Gardiens.
[b][u]Culture :[/u][/b] En contraste avec les Chercheurs du Soleil, avec leurs tribus dominées par des hommes et leurs harems, l’unité fondamentale de la société des Gardiens de la Lune est la famille, centrée autours d’une puissante figure maternelle et ses enfants. Les Gardiens sont également connus pour former de petites communautés de deux ou trois familles qui chassent ensemble. Ils sont également connus pour décorer leurs visages avec des peintures de guerre avant la chasse, une tradition symbolisant leur préparation et leur volonté de tacher leur main de sang, autant que d’envoyer un message à leurs dieux qu’ils sont préparés à leurs servir comme guerrier dans l’après vie s’ils venaient à tomber.
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Source: Encyclopédia Eorzea I[/right][/spoiler][/quote]