Les Lalafell :
Petit et trapu de statures, les Lalafells sont de loin la plus petite race d’Eorzea. Conservant généralement une apparence de jeunesse même à un âge avancé, le véritable âge d’un Lalafell est difficile à deviner pour les membres d’autres races.
Histoire :
Originellement un peuple d’agriculteur issus des îles du Sud, les Lalafells migrèrent graduellement vers Eorzea au cours des années pour faire prospérer leur commerce. Ils jouèrent un rôle clef durant la Cinquième Ere Astrale dans la fondation des cités de Nym en Vylbrand et de Mhach dans les basses terres de Yafaem. Quand les deux civilisations s’effondrèrent au cours de la Cinquième Ere Ombrale, les Lalafells furent forcés de trouver de nouveaux foyers. Les Lalafells nymiens employèrent leurs talents de marins pour retourner dans les îles des mers du sud alors que les survivants de Mhach errèrent à travers les terres avant de s’établir dans les étendues sauvages du Thanalan.
Clans :
Les Lalafells sont principalement organisés en deux clans : les habitants traditionnels du peuple des plaines, et les habitants du désert du peuple des dunes, tout deux ayant pour racines les îles des mers du Sud. Néanmoins de petites différences dans l’apparence physique ont émergées après de nombreuses générations de vies séparées, les deux clans n’éprouvent pas de ressentiments particuliers entre eux, et les mariages inter-claniques sont communs, avec de nombreux lalafell possédant aujourd’hui à la fois le sang du peuple des plaines et celui des dunes.
Identité :
Alors qu’ils placent une grande importance dans les liens familiaux, les Lalafells ne font aucunement preuve d’exclusivité. Cela se manifeste dans les relations cordiales dont ils jouissent avec les autres races, et le succès qu’ils ont gagné comme une race de commerçants et de marchands. Bien que la nature singulière de leur esprit commerçant a pu les mener à être percu comme cupides et calculateurs, quelques-uns peuvent au fond de leur cœur trouver une répulsion pour les Lalafells, avec leur héritage lumineux et leur nature joviale. Cependant, les exemples de Lalafells qui furent persécutés sont anciens et éloignés désormais.
Langue :
Comme il convient à leur statut de race de commerçants, les Lalafells furent sans surprises parmi les premiers à adopter et maîtriser la langue commune des Hyurs. Néanmoins, il est dit que la vielle langue lalafellin est toujours parlée aujourd’hui dans leurs foyers insulaires du Sud.
Vêtements :
Un élément distinctif des vêtements traditionnels lalafells est leur écharpe, qui sert également pour une fonction éminemment pratique, elle peut être déployée pour servir de drapeau de signal dans les étendues sauvages des océans ou des vastes déserts, permettant a un Lalafell de ressortir bien au-delà de ce qui sa modeste stature laisserait penser. Ils sont aussi connus pour favoriser les habites confortables et amples, qui conviennent à leur stature naturellement ronde.
Le peuple des Plaines :
Trouvé en grand nombre sur l’île de Vylbrand, le peuple des Plaines trace leur histoire depuis les marchands maritimes qui s’établirent à Limsa Lominsa pour négocier les marchandises volées et pillées. Dans les années qui suivirent, ils furent rejoints par leurs familles qui allaient devenir les pionniers de l’ensemble de la région de La Noscea. Tandis que leurs descendants sont majoritairement des fermiers, il y en a qui se tournent vers la navigation et la pêche quand les affrontements avec les Kobolds mirent un point d’arrêt à l’exploration du continent. Aujourd’hui, le peuple des Plaines représente une part significative de la population limséenne, et est connu pour leur style de vie relaxant et confortable.
Présence : La Noscea (Limsa Lominsa), les Îles des Mers du Sud
Attributs physiques : Faisant en moyenne trente-cinq ilm de haut (1 m 15), les Lalafells sont de loin le peuple le plus petit d’Eorzea. Leur manque de force physique, néanmoins, est plus que composé par la rapidité de leurs reflexes et leur esprit net. Sous-estimer un Lalafell a été une erreur couteuse pour plus d’un homme. Les cheveux couleur d’herbe ou de terre sont commun parmi le peuple des Plaines, avec de douteuses théories déclarant qu’elles ont évoluées pour camoufler leurs porteurs aux redoutables vautours qui parcourent les cieux au-dessus de leur île natale.
Nomenclature : Les noms lalafell sont fait d’un prénom et d’un nom de « courtoisie » accordé lors qu’ils atteignent l’âge adulte. Ce dernier n’est pas un nom de famille, mais plutôt un nom unique aux individus. Les noms lalafells trouvent leurs origines dans les chants et les poèmes de la vieille langue, et sont marqués par des rythmes, des rimes et des répétitions. Les noms masculins du peuple des plaines, comme « Alka Zolka », suivent un schéma de rimes « AB – CB » alors que les noms féminins, comme « Mimomo Mimi » suivant une rime ABB- AB.
Culture : Sur leurs îles d’origine dans le Sud, le peuple des plaines vit en tant que fermiers, résidant dans des maisons au toit de chaume reliées par des tunnels souterrains comme une colonie de fourmis. Leurs talents de jardiniers et d’horticulteurs ne connaissent pas de rivaux, et ce sont ces capacités qui les font briller en tant que pionniers des nouvelles terres jusqu’ici intouchées. Tirant le meilleur parti de leur légèreté et de leur corps compact, ils traversent des distances remarquables dans de simple mais robustes canoés, développant leur propre méthode de navigation qu’ils ont employée avec un grand succès comme pêcheur et commerçant maritime jusqu’à aujourd’hui.
Peuple des Dunes
Les fils de Mhach la déchue se cachèrent eux même dans des terres reculées pendant un temps, avant de s’aventurer dans le Thanalan en des caravanes constituées de bêtes de somme. Vivant une existence nomade dans les étendues sablonneuses, ils en virent à être appelé par le nom qu’on leur connait aujourd’hui. Ce fut le peuple des dunes qui fonda la grande civilisation de Belah’dia, qui se scinderait plus tard en Sil’dih et Ul’dah, la seconde des deux prospérant jusqu’à aujourd’hui. Pratiques par nature et prompt à mettre les idées en action, leur tempérament est bien adapté à saisir les opportunités commerciales, et ce n’est pas une surprise si ils jouèrent un si grand rôle dans la construction d’Ul’dah comme le centre animé de commerce et d’échanges que l’on connait aujourd’hui.
Présence : Thanalan (Ul’dah)
Attributs physiques : Le degré auquel le Peuple des Dunes s’est adapté au désert peut se voir dans leur peau tannée, capable de supporter les rayons harassant du soleil qui tombe sur le Thanalan, et leurs yeux, clairs comme de la glace avec des pupilles couvertes par une fine membrane de peau pour repousser les grains de sable. De nombreux Dunaires sont béni d’une aptitude pour la magie, avec laquelle le peuple des dunes compte de nombreux accomplissement thaumaturgique comme des membres du clergé de Nald’thal de haut rang. Les mineurs du peuple des dunes n’ont pour seul rival que les Roegadyn dans le nombre et les accomplissements, compensant leur manque de force brute par leurs ressources et leur habilité à creuser dans les plus étroits tunnels.
Nomenclature : Les noms du peuple des Dunes sont, à première vue, similaire à ceux de leurs cousins des plaines, mais à y regarder de plus près, on devine de subtiles mais évidentes différences dans leurs schémas de rimes. Les noms masculins du peuple des dunes suivent le schama « AAB – CCB » comme on peut le voir avec « Lolorito Nanarito », alors que les noms féminins comme « Momodi Modi » se conforme au modèle « AAB – AB ». Dans son ensemble, les noms lalafells sont très différents à la fois dans leur orthographe comme dans leur prononciation de ceux des autres races, dû au fait que la vieille langue lalafell contient seulement cinq voyelles distinctes : a, e, i, o et u.
Culture : Alors que nombreux sont ceux familiers avec la coutume du peuple des dunes d’attacher de petits orbes sur leurs fronts comme un symbole de leur divinité gardienne, il est bien moins connu que cette pratique remonte, et sert avec honneur, à leurs ancêtres, les sorciers de Mhach. Une autre pratique unique du peuple des dunes est de faire avaler à leurs enfants une coupe de thé infusé avec une minuscule quantité de poison de venin de serpent et de scorpion. Ainsi, le peuple des dunes élevé dans les traditions anciennes affichent souvent une remarquable résistance à certains poisons.
Spoiler : cliquez pour afficher
Source: Encyclopédia Eorzea I
[quote]Le Chat
[center]
Les Lalafell :[/center]
[center]
[img]https://vignette.wikia.nocookie.net/finalfantasy/images/6/6e/FfXIV-lalafell.jpg/revision/latest/top-crop/width/300/height/300?cb=20121122030412[/img][/center]
Petit et trapu de statures, les Lalafells sont de loin la plus petite race d’Eorzea. Conservant généralement une apparence de jeunesse même à un âge avancé, le véritable âge d’un Lalafell est difficile à deviner pour les membres d’autres races.
[b][u]Histoire :[/u][/b]
Originellement un peuple d’agriculteur issus des îles du Sud, les Lalafells migrèrent graduellement vers Eorzea au cours des années pour faire prospérer leur commerce. Ils jouèrent un rôle clef durant la Cinquième Ere Astrale dans la fondation des cités de Nym en Vylbrand et de Mhach dans les basses terres de Yafaem. Quand les deux civilisations s’effondrèrent au cours de la Cinquième Ere Ombrale, les Lalafells furent forcés de trouver de nouveaux foyers. Les Lalafells nymiens employèrent leurs talents de marins pour retourner dans les îles des mers du sud alors que les survivants de Mhach errèrent à travers les terres avant de s’établir dans les étendues sauvages du Thanalan.
[b][u]Clans :[/u][/b]
Les Lalafells sont principalement organisés en deux clans : les habitants traditionnels du peuple des plaines, et les habitants du désert du peuple des dunes, tout deux ayant pour racines les îles des mers du Sud. Néanmoins de petites différences dans l’apparence physique ont émergées après de nombreuses générations de vies séparées, les deux clans n’éprouvent pas de ressentiments particuliers entre eux, et les mariages inter-claniques sont communs, avec de nombreux lalafell possédant aujourd’hui à la fois le sang du peuple des plaines et celui des dunes.
[b][u]Identité :[/u][/b]
Alors qu’ils placent une grande importance dans les liens familiaux, les Lalafells ne font aucunement preuve d’exclusivité. Cela se manifeste dans les relations cordiales dont ils jouissent avec les autres races, et le succès qu’ils ont gagné comme une race de commerçants et de marchands. Bien que la nature singulière de leur esprit commerçant a pu les mener à être percu comme cupides et calculateurs, quelques-uns peuvent au fond de leur cœur trouver une répulsion pour les Lalafells, avec leur héritage lumineux et leur nature joviale. Cependant, les exemples de Lalafells qui furent persécutés sont anciens et éloignés désormais.
[b][u]Langue :[/u][/b]
Comme il convient à leur statut de race de commerçants, les Lalafells furent sans surprises parmi les premiers à adopter et maîtriser la langue commune des Hyurs. Néanmoins, il est dit que la vielle langue lalafellin est toujours parlée aujourd’hui dans leurs foyers insulaires du Sud.
[b][u]Vêtements :[/u][/b]
Un élément distinctif des vêtements traditionnels lalafells est leur écharpe, qui sert également pour une fonction éminemment pratique, elle peut être déployée pour servir de drapeau de signal dans les étendues sauvages des océans ou des vastes déserts, permettant a un Lalafell de ressortir bien au-delà de ce qui sa modeste stature laisserait penser. Ils sont aussi connus pour favoriser les habites confortables et amples, qui conviennent à leur stature naturellement ronde.
[center]
Le peuple des Plaines :[/center]
[center]
[img]https://lh3.googleusercontent.com/proxy/CVVNgILFTink7E0oQrKeCNl7xV04jlubip-bT7WS2eZ55HnLgwCW5uCV69dEyZZQ5WTD_UQIa4Ksjp5KsvgmN0dBToWPOY9f1xaVFDNHsedAYlk8ETwuYAuWroIcGsUQ[/img][/center]
Trouvé en grand nombre sur l’île de Vylbrand, le peuple des Plaines trace leur histoire depuis les marchands maritimes qui s’établirent à Limsa Lominsa pour négocier les marchandises volées et pillées. Dans les années qui suivirent, ils furent rejoints par leurs familles qui allaient devenir les pionniers de l’ensemble de la région de La Noscea. Tandis que leurs descendants sont majoritairement des fermiers, il y en a qui se tournent vers la navigation et la pêche quand les affrontements avec les Kobolds mirent un point d’arrêt à l’exploration du continent. Aujourd’hui, le peuple des Plaines représente une part significative de la population limséenne, et est connu pour leur style de vie relaxant et confortable.
[b][u]Présence :[/u][/b] La Noscea (Limsa Lominsa), les Îles des Mers du Sud
[b]Attributs physiques :[/b] Faisant en moyenne trente-cinq ilm de haut (1 m 15), les Lalafells sont de loin le peuple le plus petit d’Eorzea. Leur manque de force physique, néanmoins, est plus que composé par la rapidité de leurs reflexes et leur esprit net. Sous-estimer un Lalafell a été une erreur couteuse pour plus d’un homme. Les cheveux couleur d’herbe ou de terre sont commun parmi le peuple des Plaines, avec de douteuses théories déclarant qu’elles ont évoluées pour camoufler leurs porteurs aux redoutables vautours qui parcourent les cieux au-dessus de leur île natale.
[b][u]Nomenclature :[/u][/b] Les noms lalafell sont fait d’un prénom et d’un nom de « courtoisie » accordé lors qu’ils atteignent l’âge adulte. Ce dernier n’est pas un nom de famille, mais plutôt un nom unique aux individus. Les noms lalafells trouvent leurs origines dans les chants et les poèmes de la vieille langue, et sont marqués par des rythmes, des rimes et des répétitions. Les noms masculins du peuple des plaines, comme « Alka Zolka », suivent un schéma de rimes « AB – CB » alors que les noms féminins, comme « Mimomo Mimi » suivant une rime ABB- AB.
[b][u]Culture :[/u][/b] Sur leurs îles d’origine dans le Sud, le peuple des plaines vit en tant que fermiers, résidant dans des maisons au toit de chaume reliées par des tunnels souterrains comme une colonie de fourmis. Leurs talents de jardiniers et d’horticulteurs ne connaissent pas de rivaux, et ce sont ces capacités qui les font briller en tant que pionniers des nouvelles terres jusqu’ici intouchées. Tirant le meilleur parti de leur légèreté et de leur corps compact, ils traversent des distances remarquables dans de simple mais robustes canoés, développant leur propre méthode de navigation qu’ils ont employée avec un grand succès comme pêcheur et commerçant maritime jusqu’à aujourd’hui.
[center]
Peuple des Dunes[/center]
[center]
[img]https://encrypted-tbn0.gstatic.com/images?q=tbn%3AANd9GcQI_FTT26T0r1yvF1ohnWSaxPXuf9HRMfhgYMMmrnQkx9a14SOm&usqp=CAU[/img][/center]
Les fils de Mhach la déchue se cachèrent eux même dans des terres reculées pendant un temps, avant de s’aventurer dans le Thanalan en des caravanes constituées de bêtes de somme. Vivant une existence nomade dans les étendues sablonneuses, ils en virent à être appelé par le nom qu’on leur connait aujourd’hui. Ce fut le peuple des dunes qui fonda la grande civilisation de Belah’dia, qui se scinderait plus tard en Sil’dih et Ul’dah, la seconde des deux prospérant jusqu’à aujourd’hui. Pratiques par nature et prompt à mettre les idées en action, leur tempérament est bien adapté à saisir les opportunités commerciales, et ce n’est pas une surprise si ils jouèrent un si grand rôle dans la construction d’Ul’dah comme le centre animé de commerce et d’échanges que l’on connait aujourd’hui.
[b][u]Présence :[/u][/b] Thanalan (Ul’dah)
[b][u]Attributs physiques :[/u][/b] Le degré auquel le Peuple des Dunes s’est adapté au désert peut se voir dans leur peau tannée, capable de supporter les rayons harassant du soleil qui tombe sur le Thanalan, et leurs yeux, clairs comme de la glace avec des pupilles couvertes par une fine membrane de peau pour repousser les grains de sable. De nombreux Dunaires sont béni d’une aptitude pour la magie, avec laquelle le peuple des dunes compte de nombreux accomplissement thaumaturgique comme des membres du clergé de Nald’thal de haut rang. Les mineurs du peuple des dunes n’ont pour seul rival que les Roegadyn dans le nombre et les accomplissements, compensant leur manque de force brute par leurs ressources et leur habilité à creuser dans les plus étroits tunnels.
[b][u]Nomenclature :[/u][/b] Les noms du peuple des Dunes sont, à première vue, similaire à ceux de leurs cousins des plaines, mais à y regarder de plus près, on devine de subtiles mais évidentes différences dans leurs schémas de rimes. Les noms masculins du peuple des dunes suivent le schama « AAB – CCB » comme on peut le voir avec « Lolorito Nanarito », alors que les noms féminins comme « Momodi Modi » se conforme au modèle « AAB – AB ». Dans son ensemble, les noms lalafells sont très différents à la fois dans leur orthographe comme dans leur prononciation de ceux des autres races, dû au fait que la vieille langue lalafell contient seulement cinq voyelles distinctes : a, e, i, o et u.
[b][u]Culture :[/u][/b] Alors que nombreux sont ceux familiers avec la coutume du peuple des dunes d’attacher de petits orbes sur leurs fronts comme un symbole de leur divinité gardienne, il est bien moins connu que cette pratique remonte, et sert avec honneur, à leurs ancêtres, les sorciers de Mhach. Une autre pratique unique du peuple des dunes est de faire avaler à leurs enfants une coupe de thé infusé avec une minuscule quantité de poison de venin de serpent et de scorpion. Ainsi, le peuple des dunes élevé dans les traditions anciennes affichent souvent une remarquable résistance à certains poisons.
[spoiler]
[right]
Source: Encyclopédia Eorzea I[/right][/spoiler][/quote]