Linguistique Eorzéenne

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Le Chat Il y a 10 mois et 2 jours

Un monde de mots :

Le langage est une entité vivante, grandissant et évoluant aux côtés de ceux qui l’utilisent ; à ce titre, il est largement admis que seul l’étude des langues peut offrir la clef de la compréhension des secrets de l’ancienne civilisation.

La langue commune :
Etant le foyer de myriades de peuples et de cultures, il n’est pas surprenant qu’Hydaelyn est également le foyer de nombre de langues uniques.
Dans les seuls trois continents, les érudits ont identifié dix langues uniques, et pensent que d’autres existent dans les coins les moins fréquentés du continent. Le plus fréquemment utilisé est de loin l’Eorzen, mais comment, exactement, ce phénomène s’est-il produit ?

La vie et la mort d’une langue :
La plupart des langues parlées aujourd’hui, incluant l’Eorzéen, peuvent être retracées jusqu’aux dialectes allagois qui dominèrent la Troisième Ere Astrale, un dialecte que les érudits allagois croyaient originaires originaire des anciennes tributs hyuroises d’Aldenard. La taille et la longévité de l’empire la langue impériale se rependre largement de l’Aldenard jusqu’à l’Othard, et même jusqu’au continent occidntal, rendant au fil du temps obsolète la plupart des autres langues des territoires occupés. Néanmoins, la venue de la Quatrième Ere Ombrale rompit les liens maintenait la cohésion de l’empire, forçant largement la plus grande partie des populations à un isolement relatif. Avec l’absence de moyens aisés pour communiquer sur de longues distances, le dialecte allagois éclata, chaque fragment expérimentant une évolution indépendante des autres, après des centaines de générations, naquit d’innombrables nouvelles langues.
Avec la Cinquième Ere Astrale et la réémergence de la civilisation, il existait tellement de langues uniques que cette abondance donna naissance à une nouvelle classe sociale de traducteurs et d’interprètes. Les difficultés de communications entre les cités et les nations résultaient souvent dans des tensions politiques croissantes, et il revenait aux traducteurs de faciliter les communications entre les partis. Il va sans dire que ces compétences permirent finalement aux membres de cette classe d’exercer une influence monétaire et politique significative.

Un retour triomphant :
Ce n’est pas avant la Sixième Ere Astrale qu’un dialecte ressemblant à l’Eorzéen moderne reprit racine en Aldenard, ramené par les mêmes tribus hyuroises dont les dialectes étaient déjà originaires. Bien que les Elezens soient arrivés les premiers dans ces terres, le choix de limiter leur sphère d’influence à Sombrelinceuil empêcha lueur langue de se répandre au-delà de leur propre usage. Les Hyurs , néanmoins, arrivèrent par vague, s’installant dans chaque coins d’Aldenard (Incluant Sombrelinceuil), et ce n’était qu’une question de temps avant que leur parlé ne se diffuse dans tout le continent. Cependant, alors que les Hyurs avaient toujours été connu pour leur adaptabilité, pour des raisons inconnues, ils se montrèrent catégoriques sur leurs réticences à adopter la langue dominante des Elezens.
Bien que les Elezens se soient battu pour préserver leur langue contre la marée vulgaire, leur échec était joué d’avance avec l’arrivée des marchands lalafells des Mers du Sud. Les Lalafells, plus intéressés plus intéressés par l’argent que par leur orgueil, reconnurent rapidement qu’il y avait plus de profit à apprendre la langue des Hyurs. Lorsque les tribus Miqo’tes emboitèrent le pas, le dialecte hyurois devint ce que nous appelons désormais l’Eorzéen.
 Après avoir sécurisé un pied à terre solide en Eorzea, les commerçants lalafells jetèrent leur dévolu sur Ilsabard et au-delà, emportant avec eux le dialecte simple mais expressif des hyurois qui avait déjà mené leurs coffres à se remplir de gils, ajoutant des termes qu’ils jugeaient nécessaire pour marchander. C’est grâce aux efforts de ces entrepreneurs que l’Eorzéen se répendit lentement, s’imposant comme le langage officiel pour la négociation. Désormais, il n’est pas rare de voir des marchands d’aussi loin qu’Hingashi ou Radz-at-Ha, gérer leurs transactions en commun avec le commerçant Eorzéens.

La prolifération de l’Eorzéen dans tout Hingashi a déclenché une renaissance culturelle dans cette nation autrefois isolée. L’accès à une multitude de mots imprimés amené d’au dekà des mers par les commerçants occidentaux a ouvert les yeux sur un nouveau monde de bizarreries et de coutumes exotiques, résultant souvent à un amalgame d’idées tout à fait unique qui se seraient avérées impossible sans l’usage de la langue commune. Comme un article sur la légende de Moogle, imprimé dans The Raven de Gridania conduisit à la production en masse de chauves-souris en bois à travers tout l’Extrême-Orient n’est qu’un exemple de la puissance indéniable du pouvoir de la langue.

L’Alphabet Eorzéen :
Alors que les lettres utilisées durant le règne allagois ressemblent étroitement à celles de l’écriture éozéenne moderne, les sons qu’elles représentent aujourd’hui ont été considérablement altérés au fil du temps. Cette dérivation a troublé les premiers érudits linguistes, les laissant croire qu’ils lisaient une langue entièrement indépendante. Ce n’est qu’après la découverte de mémoquartz contenant d’anciens enregistrements audios que les similitudes entre l’Allagois et l’Eorzéens furent prouvées et que les chercheurs purent en arriver à la conclusion qu’à un moment de l’Histoire, très probablement la Quatrième Ere Astrale, toute connaissance des lettres avaient été perdues, seulement pour être redécouvertes et réutilisées avec des erreurs durant la Cinquième Ere. 




L’alphabet éorzéen se compense de vingt-six lettres qui peuvent être décrites en majuscule et en minuscules. La forme de certaines lettres, ainsi que l’ordre des traits, ont donné lieu à la théorie que les lettres peuvent avoir été écrites autrefois avec la main gauche et de droite à gauche au lieu gauche à droite. 

Il est estimé que moins de la moitié de la population d’Eorzéen sait lire et écrire. Et parmi ceux qui peuvent, il a très peu de consensus sur comment les choses devraient s’épeler, être écrite en majuscule, ou même être ponctuées, résultant en une fâcheuse variation quand il s’agit de matériel imprimé.



Spoiler : cliquez pour afficherSource: Traduction de l'Encyclopedia Eorzea II

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