Les Tribus Xaela Connues

Les Tribus Xaela Connues :
Les steppes othardienne sont une vaste région, par conséquent, de temps en temps, on peut croiser un Xaela avec un surnom qui ne peut être trouvé sur cette liste de cinquante et un. C’est peut-être le témoignage qu’il vient d’une tribu qui a été récemment détruite ou absorbée par une autre. Cela peut aussi vouloir dire qu’une nouvelle tribu a été formée par des membres en quittant une autre. Cela peut même signifier qu’il vient d’une tribu qui reste caché dans les montagnes nordiques.

Adarkim : La plus grande des tribus Xaela. Bien qu’ils ne soient pas les plus doués pour la bataille, ils submergent par leurs nombres, subissant de larges pertes dans la foulée, sachant qu’une victoire future sur une tribu plus faible comblera leurs effectifs.

Angura : Une petite tribu qui demeure majoritairement dans les montagnes nord est d’Othard. L’éclat reflété par les neiges éternelles des glaciers sur lesquels ils voyagent a donné à la couleur de leur peau un teint cuivré profond.

Arulaq : une tribu que l’on pensa perdue pendant deux cents ans, seulement récemment il fut découvert qu’un quelques-uns vivaient encore reclus dans une vallée des montagnes du Nord.

Avagnar : Bien que défaits et absorbés par les Adarkim, quelques braves membres de la tribu continuent d’user secrètement du nom ancestral de la tribu, sachant qu’ils risquent la mort s’ils sont découvert.

Bairon : Tribu d’une taille intermédiaire des déserts méridionaux et maître de la survie dans les climats arides, les Bairon se s’entrainent tous dès leur plus jeune âge à collecter et boire leurs propres fluides, leur offrant la possibilité de s’aventurer en des lieux où les autres tribus ne peuvent se rendre.

Bayaqud : Une tribu des steppes des confins occidentaux. Les femmes de la tribu des Bayaqud prennent traditionnellement plusieurs maris, comme le fit la matrone fondatrice, il y a deux milles ans.

Bolir : Une petite tribu qui vit en collectant les bouses troupeaux d’herbivores qui vagabondent dans les steppes. La bouse est séchée, puis transformée en combustible dans des fours temporaires et vendus aux autres tribus.

Borlaaq : Une tribu entièrement composée de femmes. Bien que le brassage avec des hommes venant d’autres tribus, si un garçon nait dans la tribu, il est abandonné un an après sa naissance ;

Buduga : Une tribu entièrement composée d’hommes, qui gonfle ses rangs seulement par la bataille et le kidnapping.

Dalamiq : Une des quelques rares tribus xaela qui a abandonné la vie nomade et construit un petit village sur un îlot au centre de l’étendue de deux malm de la grande rivière intérieure. Il est dit qu’ils adoraient autrefois la plus petite des Lunes désormais tombée.

Iriq : Une tribu qui suit les Borlaaq, récupérant les enfants abandonnés par les femmes guerrières et les élevant comme l’un des leurs.

Jhungid : La seconde plus grande tribu des Xaelas. Mortels ennemis des Kharlu, les Jhungid passent la plus grande partie de l’année à subjuguer de plus petites tribus pour gonfler leurs propres rangs en préparation de la bataille annuelle avec les Kharlu, le gagnant remportant le contrôle d’une large part des côtes orientales.

Kharlu : La troisième plus grande tribu xaela. Mortel ennemi des Jhungid, les Karlu passent la plus grande partie de l’année à subjuguer de plus petites tribus pour gonfler leurs propres rangs en préparation de la bataille annuelle avec les Jhungid, le gagnant remportant le contrôle d’une large part des côtes orientales.

Khatayin : Une tribu qui demeure largement invisible, chassant la chèvre dans les montagnes durant neuf lunes de l’année. Les trois lunes restantes sont passées au pied de la grande chaine du Nord, où ils survivent en consommant en consommant la viande séchée qu’ils ont stocké.

Malqir : Une tribu des steppes occidentales caractérisée par son rituel unique pour choisir son dirigeant lequel, au lieu de l’habituel test de force, est un jeu de Kharaqid, un jeu semblable aux échecs sur un plateau circulaire divisé en trois anneaux.

Mankhad : Une tribu côtière qui se bât à coup de fléchettes faites d’os trempés dans le poison d’un poisson-globe. Les Mankhad usent les sarbacanes de la tribu avec tant de régularité,, qu’ils peuvent toucher une cible à deux cents pas.

Mierqid : Une tribu du désert qui, au cours de l’année, voyage entre une centaine de caches de ravitaillement secrètes enterrées qu’ils réalimentent au cours de leur voyage annuel.

Noykin : Maître éleveurs des chevaux sauvages qui peuplent la plus grande part de la steppe. Il est dit que les cavaliers des Noykin peuvent dompter n’importe quelle bête qui leur est confiée en une semaine.

Olkund : L’élevage sélectif de la tribu des Olkund habitant les steppes centrales a permit aux hommes d’atteindre deux yalm et demi. Les femmes, quoiqu’il en soit la raison, gardent une taille normale.

Dazkar : Les taches ménagères, comme la cuisine, le ménage et l’éducation des enfants est gérée par les hommes des Dazkar, qui à part lorsqu’ils voyagent, quittent rarement la yourte de la famille. Les femmes Dazkar sont chargées de la chasse, et connues à travers la steppe pour être parmi les archers les plus précis du continent.

Oronir : Tout les membres de la tribu des Oronir se croient eux même les descendants d’Azim, le dieu du soleil de la tribu.

Oroq : Les Oroq créent des traineaux fait de roseaux trempés de graisse de cheval pour les aider à transporter leurs possessions et leurs jeunes enfants dans les prairies intérieures.

Qerel : Les guerriers de cette tribu portent tous des tenues complète fait à partir d’os de tigre de la steppe qu’ils ont tué de leurs propres mains à leur majorité.

Torgud : Cette tribu du désert ne porte aucun vêtement, choisissant plutôt de couvrir leur corps entièrement d’une peinture blanche fait à partir de boue, de chaux et de poudre d’os. Les peinturent les aident à refléter l’impitoyable soleil du désert.

Tumet : Les enfants des Tumet, avant d’avoir atteint leur dixième anniversaire, sont attaché à un arbre sacré pendant que le reste de la tribu fait ses paquetages et part pour son prochain campement. Ces enfants doivent se débrouiller pour se libérer de ses liens et rattraper la tribu à son ancien campement, pour recevoir un nom est être accueillit dans la tribu.

Ugund : Quand un membre de cette tribu meurt, leur tête est séparée de leur corps et placée dans une jarre de lait de chèvre fermentée. Une fois que le liquide a été bu par la tête (en d’autres mots, s’est évaporé), la tête est ensuite enterrée sous une fourmilière pour que les petits ouvriers puissent guider l’esprit dans l’après vie. Le voyage est considéré comme terrible, la route étant remplie des fantômes des damnés, c’est pour cela que l’on s’assure que l’esprit est ivre pour l’aider à traverser cette journée.

Uyagir : Une des rares tribus xaela qui a abandonnée la vie nomade. Les Uyagir réside dans un système de grottes calcaires dans la frange nord est du désert qu’ils croient avoir été creusées par une race de coléoptères géants ressemblant à des éléphants qui auraient été placé sur ces terres par les dieux pour punir les anciennes tribus d’avoir été trop avides.

Dhoro : Une insaisissable tribu qui évite le contact avec la plupart des autres tribus. Des sentinelles sont postées tout autour de leur camp avec des ordre pour prendre la fuite quand un étranger est remarqué.

Orben : Une tribu qui monte et descend la grande rivière intérieure avec des bateaux tissés de roseaux et renforcés avec leurs propres écailles.

Ejinn : Une tribu de la rivière qui choisit de nager de lieu en lieu plutôt que de marcher ou utiliser des bateaux. Il est dit que les Ejinn peuvent retenir leur souffle pendant près d’un quart d’heure, et migrent souvent entièrement submergés dans le but d’échapper aux tribus hostiles.

Dotharl : Une tribu extrêmement violente dont les membres se délectent des massacres et auxquels on enseigne dès leur plus jeune âge à ne pas craindre la mort. Bien qu’ils attaquent très souvent les autres tribus, leurs pertes sont très nombreuses, assurant que leur nombre ne grandissent jamais trop.

Hotgo : Une tribu récemment massacrée par les Dotharl. Les seuls membres survivants sont ceux qui voyageaient par eux même et n’étaient pas présent durant le massacre. Les Hotgo sont connus pour leurs peintures faciales colorées que les membres changent constamment en fonction de leur humeur.

Sagahl : Une tribu qui voit tous les animaux comme des égaux des hommes, ainsi, ils refusent de manger ou les utiliser comme bête de somme. Avec pour résultat que le régime des consiste en racines et nuisibles de la steppe.

Kahkol : Une tribu constituée des réfugiés et des orphelins de tribus défaites ou détruite. Nombreux ont choisit de combiner le nom de leur ancienne tribu avec les Kahkol.

Kha : A la différence de la plupart des Xaela, les Kha vivent aux marges des terres xaela, cherchant activement le contact avec les peuples non Auri, introduisant de nombreux aspects de leur culture dans la leur.

Mol : Une petite tribu d’adorateur dévots des anciens dieux, les Mol consultent leurs divinités (sous la conduite d’un chaman) avant de prendre la moindre décision relative à la tribu, comme la direction de la prochaine migration, pour les bêtes qui vont chasser chaque jour pour se nourrir.

Gesi : Les Gesi sont les maîtres de la sagaie, un javelot de taille moyenne gravé dans une dent de mammouth laquelle, au lieu d’être jetée à la main, elle est jetée avec une fronde en cuir pour augmenter sa portée, sa vitesse, et sa puissance mortelle.

Kagon : Les Kagon sont une tribu nocturne du désert qui croit en Nhama, déesse de la lune et ennemi mortel d’Azim, dieu du soleil. Eduqués par leur déesse que marcher sous le soleil, c’est succomber aux maléfices d’Azim, ils passent les heures de jour dans leur tentes, émergeant seulement pour chasser et migrer durant la nuit. Le résultat en est une peau d’une pâleur inhabituelle pour un groupe de gens vivant dans un lieu où il fait presque toujours beau.

Goro : Les Goro croient que les chevaux sont la plus parfaite des choses, et chaque homme ou femme, lorsqu’ils arrivent en âge, sont mariés à un cheval du sexe opposer. Les partenaires reproducteurs sont choisis par tirage au sort.

Gharl : Avant chaque migration, les Gharl remplissent une urne sacrée avec le sol du lieu où ils viennent de camper. Ce sol est ensuite déversé à leur arrivée en un nouveau lieu. Cette tradition a été maintenant pendant des milliers d’années, menant les gens à croire que le sol de la plus grande partie de la steppe n’en forme plus qu’un.

Dataq : Les Dataq couvre le plus de distance possible durant leur migration, faisant qu’ils ne passent que rarement plus de quelques heures en un lieu. Dormant à même le sol, et ne dressant leurs tentes que lorsque la pluie est forte et insupportable.

Haragin : Les légendes de cette tribu côtière parlent d’un groupe de leurs ancêtres qui construisirent un navire géant et naviguèrent à travers les océans orientaux infinis. Les explorateurs disent en être revenu avec des contes d’une île terrible couvert de monolithes gris et massif et habitée par des démons cracheurs de feu d’aciers.

Ura : Cette tribu habitant les montagnes est l’une des quelques-unes qui au lieu de chasser, mine les précieux minerais des pics et les échangent avec les tribus des steppes contre de la nourriture.

Moks : Une tribu invisible par le fait que ses membres s’installent dans de nombreuses autres tribus (dans le secret pour celles-ci). Communiquant entre membre a lieu en de rares occasions quand deux tribus se rencontrent, grâce à un ancien signe de main que seul peuvent reconnaitre ceux qui savent ce qu’ils regardent.

Genep : En plus du langage commun utilité par la plupart des Xaela dans les communications inter-tribales, les Geneq emploient un système complexe de sifflements et de cliquetis qui ressemblent au bruit des nuages et des vagues de la steppe.

Horo : Pour ceux qui vivent avec le plus maigre des modes de vie des habitants de la steppe, être gros est un symbole d’influence et de pouvoir. Pour apparaitre plus gros que leur rang, les membres des Horo boivent d’importantes quantités d’eau pour gonfler leur ventre.

Himaa : Pour des raisons inconnues, une grossesse sur trois chez les Himaa a pour résultat des jumeaux. Cela a pour résultat, que plus de la moitié des membres de la tribu ont un double. Cela peut offrir un avantage durant les attaques, en portant la confusion chez leurs ennemis qui croient que leurs morts reviennent à la vie.

Malaguld : Une des seules tribus qui acceptent le peuple Raen, ceux qui furent exilés, ou ceux qui ont fuit les persécutions, dans leur cercle.

Urumet : Cette tribu du désert a l’étrange coutume de voyager avec leurs anciens portés sur leurs épaules. C’est une croyance du au fait quand dans les étendues plates du désert, cela donne l’avantage à la tribu de pouvoir voir plus loin.

Qalli : Aussi connu comme les oiseaux chanteurs de la steppe, les Qalli communiquent seulement par des chants, attachant une mélodie à leurs morts pour ajouter encore plus d’émotion à leur sens.

Qestir : Cette tribu refuse de parler, croyant que tous les mots sont des mensonges, et que seul les actions d’un homme est une forme pure de communication.
Spoiler : cliquez pour afficher
Source : Traduction de l’Encyclopedia Eorzea I
Images issues des fans arts de l'artiste Ojiyaff http://ojiyaff.tumblr.com/tagged/51scales

Fan Lore : Tribu des Horo
Provenance : Steppes de la grande rivière
Couleurs principales :
- Orange couchant réservée à l'aristocratie que sont les panses plaines.
- Mélange de Bleu rivière et Vert eau réservé au commun que sont les outres d'eau
Résumé officiel : Pour ceux qui vivent avec le plus maigre des modes de vie des habitants de la steppe, être gros est un symbole d’influence et de pouvoir. Pour apparaitre plus gros que leur rang, les membres des Horo boivent d’importantes quantités d’eau pour gonfler leur ventre.
Les ajouts :
- En bref :
La culture Horo favorise et encourage le surpoids. Mais plus encore cette tribu est passée maîtresse dans l'art de l'excès et de l'ostentatoire. Bien que le poids est la forme la plus pure de puissance, car qui dit être enrobé dit qu'on se nourrit plus que convenablement. Tout se qui peut être un signe extérieur de puissance est le bienvenu.
On peut alors très aisément voir une surabondance de bijoux, des étoffes nobles, et autres excentricité tant sur les tenues, les yourtes, et les chevaux des Horo. Un bibelos aux yeux d'un eorzéen est une rareté dans les steppes et de fait un signe évident de puissance aux yeux d'un Horo.
On peut alors très aisément voir une surabondance de bijoux, des étoffes nobles, et autres excentricité tant sur les tenues, les yourtes, et les chevaux des Horo. Un bibelos aux yeux d'un eorzéen est une rareté dans les steppes et de fait un signe évident de puissance aux yeux d'un Horo.
- Socialement :
L'on peut distinguer deux types de Horo.La panse pleine : Celui qui est assez fort pour prendre de la graisse et surtout la conserver. Généralement vêtue d'un orange couchant très criard
L'outre d'eau : Celui qui, pas assez fort, remplie son ventre d'eau pour le faire gonfler artificiellement. Vêtue d'un mélange de vert pâle et de turquoise.
La culture de la table est également une donnée primordiale chez les Horo. Il n'y a pas plus grand déshonneur pour un Horo que de savoir qu'un invité quitte sa yourte sans être dans un état de satiété.
Le banquet tient également une grande place. Un Khan se doit de tenir régulièrement de copieux banquets. Scellant ainsi un pacte social avec ceux qui vont se battre à ses côtés. Généralement les Banquets ont lieu avant et après les Nadaams et autres batailles. De fait partager un repas avec un Horo est le signe le plus sûr que ce dernier vous considère amicalement. Cependant toute raison est bonne pour la mise en place d'un banquet. Que ce soit une naissance, une mort, un mariage, la fin et/ou le début d'une saison, la venue d'un invité de marque ou d'un étranger etc etc...
En résumé pour déterminer la puissance d'un ou d'une Horo il faut, dans l'ordre décroissant d'importance :
1 - Aviser son poids. S'il est ventre plein ou outre d'eau
2 - Aviser sa tenue (éclat de la teinture> qualité des étoffes> Abondance de bijoux> rareté et autres excentricité)
3 - Aviser la beauté et les décorations de sa monture voir de son cheptel de bêtes d'élevage
4 - Aviser le côté ostentatoire de sa yourte. (les yourtes des Horo les plus puissants croûlent sous le poids des décorations)
5 - Aviser son "trésor" généralement visible à l'entrée de sa yourte
- Au combat
On aurait tort de penser qu'un.e Horo est qu'un.e gros.se balourd.e et peu sportif. Ces derniers bien que très en chair sont des guerriers acharnés. Pour l'essentiel les Horo sont des fantassins, le cheval et l'hainag servant principalement de bêtes de trait pour tirer les imposantes yourtes et les tout aussi titanesque "tas d'or" qui composent leur force extérieure.Ces derniers peuvent déployer une force et une endurance tout bonnement improbable. Toutefois de telles prouesses demandent une consommation calorifique et une consommation d'éther corporelle astronomique. Un Horo est donc un véritable fou de guerre dans les premiers instants d'une bataille ; instants cruciaux où l'adversaire, s'il désire être vainqueur, doit impérativement tenir la distance et éviter à tout prix le contact.
L’existence chez un Horo
Mode de vie
Malgré le foisonnement de possession personnelle d’un Horo, toujours dans le but de « tricher » et de prouver d’un point de vu extérieur sa puissance. Il s’agit là d’une tribu particulièrement nomade et prompt aux déplacements. Voir la tribu se déplacer, dans son entièreté, est d'après certains chroniqueurs Eorzéens un train ininterrompu et titanesque de chariots si chargés qu'ils creusent des sillons dans les terres les plus sèches. La longueur saurait presque se perdre par delà l'horizon. Bien évidemment, ces propos sont à prendre avec quelques pincettes. Il s'agit très certainement d'une vision d'un orient aussi sauvage que fantasmé.Ces derniers pratiquent, comme bon nombre de leurs semblables de part les steppes, le pastoralisme et vivent essentiellement, pour ne pas dire principalement, de l’élevage. Que ce soit des moutons, chevaux et Hainag. Tant pour leurs lait, que leurs viande, que les peaux et laines qu’ils peuvent en tirer. Les Horos désireux de devenir et surtout conserver leur titre de « panse pleine » possèdent ainsi de grands troupeaux. Toutefois cette abondance, pour ne pas dire surabondance, de têtes de bétail, ou museaux, impose une organisation stricte et une attention rigoureuse à la nature les entourant. Il est très important de ne jamais rester longtemps au même endroit afin de laisser la nature se renouveler.
Contrairement aux rumeurs persistantes comme quoi les Horos vident les rivières de leurs poissons, assèchent ses dernières et rendent stériles les pâturages pendant des années entières.
La vie et la mort d'un Horo
Pour un Horo il n’y a pas plus belle mort que celle de vieillesse. Bien-sûr périr auréolé de gloire pour figurer dans les légendes est un honneur. Mais il est bien souvent plus profitable de s’en vanter de son vivant. Il est d'ailleurs amusant de noter que la vantardise, le déballement ostentatoire de ses prouesses, tant de manière visuelles que verbale, est la souche de la structure sociale d'un Horo. Les Horos se compétitionnent entre eux pour tout et rien. Et sont très prompts à la prise de paris souvent insensés dans le seul but d'avoir raison. La lutte ou bien l'Azim Buhk est également une composante importante de la structure sociale des Horo. Véritable arbitre pour résoudre un conflit, moyen d'élévation sociale, ou simple jeu compétitif. La lutte revêt un caractère presque sacré et chaque Xaela, masculin comme féminin, pratique cette discipline avec assiduité. Bien évidemment, et là il est important de le mettre en gras, s'il y a bien une tribu que les Horo tiennent en haute estime ce sont les Buduga pour leur pratique et leur niveau légendaire à cette discipline martialeC’est à la mort du Horo que ce dernier entre réellement en communion avec les rivières nourricières de sa steppe. Le horo vit en terrien et meurt en étant à cheval entre la terre et l’eau. Outre le banquet, composante in errante au mode de vie des Horo, et les fêtes mortuaires les funérailles des Horo se font dans des tourbières. Le cadavre empaqueté dans de beaux atours, seins de ses armes, est abandonné dans ces marais épais et mouvants qui l’engloutiront pour mener le corps et l'âme vers Nhaama. Ses possessions mortelles, comme ses bijoux, ses parements, tous ses qui faisait sa puissance extérieure, sont alors abandonnés dans le grand lac sacré lorsque l'été vient et que la route de la tribu atteint enfin cet amont. On raconte d’ailleurs que certaines nuits lorsque la pleine lune embrasse l’ondée le grand lac s’illumine d’une constellation d’or et d’argent des richesses des Horo disparus gisant au fond des eaux.
Orgueil et décadance
Elevation sociale
Pour qu’un Horo s’élève socialement. Qu’il passe d’Outre d’eau à Panse pleine. Il doit réussir à accomplir divers critères. La première avoir un cheptel de bêtes suffisamment grand pour garantir la prise et le maintiens d’un surpoids pour lui et l’ensemble de sa famille. Réussir à conserver ce cheptel est une chose. Empêcher que l’arrivée de ces nouvelles bêtes mette en péril le pastoralisme du reste de la tribu en est une autre. Il faut avoir accompli des hauts faits pour avoir de quoi se vanter auprès de ses pairs. Et enfin défier et vaincre des Panses pleines à l’Azim Bukh. Seulement, une fois après avoir atteint l’aristocratie Horo le tout est de le rester. Démarre ainsi un véritable marathon d’orgueil. Où l’amassement, la poursuites de la gloire devient le seul et unique objectif. Un Horo qui se laisse aller à l’oisiveté (outre celle de la digestion) sera très rapidement supplanté par ses pairs et relégué auprès des Outres d’eau.
La voie des Horo
S'il y a bien une chose, outre leur largeur, qui fait la fierté des Horos c'est bien leur art martial nommé sobrement "la voie des Horo". Cette discipline ressemble à s'y méprendre à une version plus violence de la lutte des Steppes "l'Azim Bukh", couplé à des ressemblances pour la lutte sumo mais aussi l'art monial de Gyr Abania. Définir l'origine et la création de cette discipline martiale est tout simplement impossible. Les Xaela privilégiant la tradition orale et ne semblent conserver des écris qu'en de rarissimes contextes. Les origines de la Voie des Horo sont désormais aussi floues que multiples. La version la plus répandue à Horo Iloh serait que le premier Khan des Horo aurait crée cette discipline en revenant d'un grand voyage à travers le monde. Confirmant ainsi les ressemblances avec d'autres disciplines et l'hypothèse d'un potentiel brassage culturel. Mais ces informations sont à prendre avec des pincettes par leur grande incertitude et la multiplicité croissante des versions de cette légende.Il y a autant de manière de pratiquer la Voie des Horos qu'il y a de Panses pleines. Toutefois toutes les manières de portent en elles un tronc commun. Avant de le décrire plus en détail un léger nota bene s'impose. Les Horo usent de plusieurs terminaisons pour désigner l'éther. Ils l'appellent "feu intérieur" ou bien utilisent parfois la terminaisons domienne du "Chi". Il est d'ailleurs amusant de se rendre compte qu'au sein de cette tribu, comme dans une cité ou un pays entier, une même discipline possède plusieurs écoles. Les deux principales écoles étant :
- La discipline du foyer intérieur (du champs lexical du feu) et la discipline de la mer du Chi (usant du champs lexical de l'eau). Après une étude approfondie nous nous sommes rendu compte que ces deux disciplines étaient en tout point identiques. Les Horo étaient particulièrement querelleur sur tout et rien des dissensions sont apparues vis à vis de ces simples terminaisons. Pour des soucis de praticité nous prendrons la discipline du Chi.
Comment cela fonctionne
la voie des Horo se traduit par un flux et reflux constant du Chi (éther corporel) au travers de tout le corps. Ces flux de chi permettant au Horo de pouvoir, au même titre qu'un moine de Gyr Abania, transcender son corps et parvenir à des prouesses physiques et martiales jusqu'alors impossible pour le commun des mortels. Mais là où Gyr Abania pouvait se vanter d'avoir autant d'écoles pour diversifier ses disciplines les Horos n'en abordent qu'une. Une discipline bien en adéquation avec leurs corpulence, basée sur l'utilisation d'une force brute démesurée ainsi que d'une résistance à toute épreuve. Ces derniers devenant capables de briser des rocs à main nue et rendre leur corps tout aussi résistant cas échéant.Toutefois, il serait très mal avisé de sous estimer la souplesse de ces guerriers. En effet, la rigueur martiale des Horo empruntant cette voie là fait d'eux des êtres aussi très souple. Pour eux les flux de Chi sont facilités si les confluents (articulations) peuvent se mouvoir et s'étirer à loisir, sous réserve de leur corpulence personnelle. Ainsi l'on peut voir très régulièrement les Horo pratiquer de nombreux étirements qui donneraient à rappeler des praticiens du Yoga ou du Tai-shi mais également le Sumotori d'Hingashi.
En détail
Pour faire simple, les Horo sont passés maître dans l'art des flux de Chi (éther corporel) au travers de leur corps. Concentrant toute cette énergie dans leur ventre qu'ils appellent la "mer du chi" ou "le foyer intérieur" pour ensuite le délivrer avec facilité et praticité au travers de tout le corps. Certaines panses pleines parlent même d'océan de Chi ou de Magma intérieur lorsque leur ventre est si disproportionné qu'ils peuvent concentrer des quantités folles de Chi.Cette discipline est réservée uniquement aux Panses pleines. En effet, sa pratique est immensément énergivore, l'éther corporel (ou Chi, ou feu intérieur) est brûlé à des degrés faramineux, pouvant mettre en danger la vie du Horo si ce dernier n'est pas prudent. Ainsi les praticiens se doivent de consommer des quantités absolument folles de nourriture on parle même d'une vie rythmée par des myriades de grignotages entre des repas très riches.
d'un point de vue extérieur on pourrait envier la vie d'un disciple de cette voie. Mais il n'en est rien. En effet, bien qu'exempt de toutes tâches relatives à la vie du campement, généralement relégué aux outres d'eau, le horo suivant cette voie doit désormais vouer sa vie à l'entrainement et à la prise et surtout au maintien de sa corpulence. Cette pratique dévorant des quantités immenses d'énergie, la perte de poids peut se faire de manière spectaculaire là où la prise d'une malheureuse onz est un combat de tout les instants. Pour se faire les Horo possèdent la recette d'une soupe que le praticien se doit de cuisiner tout les jours à l'aube et qui doit lui tenir la journée. Une soupe très grasse, très riche, à base de viande et de légumineux; une grande consommation de fromages est encouragée ainsi que la consommation d'alcool de fruit fermenté.
Après chaque repas c'est une sieste méditative qui attend le combattant avant les grands entrainements de l'après midi. Là, les combats et la discipline martiale atteint son paroxysme. Avec la pratique de danses rituelles destinées à faciliter les flux d'éther. L'hygiène corporelle tient également une immense importance, cette dernière permettant au Horo de se sentir bien dans son corps lui permet ainsi de mieux se concentrer et de ne pas être incommodé par divers petits tracas comme une odeur forte ou autres inconforts dûs à la saleté.
L'équivalent des Chakras ?
A l'image des guerriers d'Eorzea et des Chagans voir des Qerel, les Horo semblent eux aussi avoir une définition des Chakras. Appelée "torrent" pour la discipline de la mer de Chi et "souffle" pour la discipline du foyer intérieur. Ces dernières s'ouvrent exactement de la même façon. A ceci près que les Horo ne semblent pas pratiquer expressément le combat à mort pour les déverrouiller, comme faisait l'école de l'Obscurité Mhigoise. Ces derniers entreprennent plutôt des pèlerinages sur les sites sacrés aux travers de toute la steppe. Ces lieux sont choisi comme étant places de grands combats où tombes de grands guerriers. La sépulture de Chakha Zoh ou bien l'emplacement où le guerrier de la lumière a remporté le Naadam au nom des Mol sont des destinations privilégiées pour les Horo se sentant prêt à ces futures prouesses.Néanmoins, rares sont les Horo à réussir à déverrouiller plus de deux Chakras (ou Torrent ou Souffle) au court de leur vie. L'existence dans les steppes étant particulièrement fragile, dû aux incessantes querelles et guerres entre tribus, nous ne pouvons qu'imaginer et fantasmer la puissance qu'un Horo posséderait si ce dernier venait à déverrouiller les cinq chakras existant dans le corps humain.
- Extrait de l'ouvrage "Mes cinquantes et une vies dans les steppes." Auteurs multiples de Sharlayan
Mener les Horo au combat
- "Vous avez dit qu'un régiment de maraudeurs du Maelstrom était compliqué à commander ? Vous n'avez jamais observé les Horo partir sur le champs de bataille..."- Lieutenant Prayer Immortel après l'Onsal Hakair.
Un Horo c'est fier. Un Horo c'est orgueilleux, très orgueilleux même. Ainsi, même un Khan incroyablement respecté subira toutes les peines du monde à emmener ses troupes au combat. Tout les moyens sont bons pour chipoter, déblatérer inutilement, et partir dans d'interminables "débats" (ils disent débat, tout observateur extérieur dirait engueulade où le but est de gueuler plus fort que le voisin sans l'écouter) qui terminent bien souvent en bagarre générale, défie envers le Khan, combat de lutte du débat etc etc.
Lors de l'Onsal Hakair où les Immortels ont participés aux côtés des Horo c'était bien à l'unisson que les Horo se mirent d'accord pour refuser la présence des étrangers. Un débat de quatre jours eu alors lieu pour finalement accepter ces derniers dans leurs rangs à conditions qu'ils se mettent à la mode Horo. Des dires disent que l'année dernière était le fait qu'il n'y avait pas de Namazu au banquet pré-bataille et que l'Airag était mauvais.
Parfois, même durant la bataille des Horo peuvent se retourner les uns contre les autres pour des disputes et des querelles inutiles. Si un Horo charge plus vite qu'un autre. Si deux Horo se retrouvent l'un à côté de l'autre et qu'ils ne s'aiment pas. Tout est prétexte...
Toutefois ! Si le Khan parvient à garder l'unité de ses troupes un minimum et les faire charger à l'unisson il n'est pas impossible que l'adversaire passe la pire journée de sa vie.