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[Nation] Doma

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Le Chat Il y a 10 mois et 2 jours

Doma :

Pendant deux décennies et demie, ce royaume autrefois puissant sur les rives de la rivière Muni fut soumis au joug de Garlemald. Néanmoins, avec l’expulsion des forces impériales, Doma est une fois de plus libre de décider de sa destinée.

Drapeau : Le caractère domien du nom de la nation pare son centre alors que les bordures écarlates ornant ses bordures représentent le rôle ancestral de sa famille royale de gardien de la rivière Muni. Le fond qui emplit le reste est vert comme la couleur des plants de riz qui poussent dans tant de champs domiens.




 

Devise : Par la lame vertueuse. Nous sommes délivrés.

Gouvernement : Depuis la fondation de Doma, les fils du clan Rijin ont dirigé en tant que roi avec le support d’une caste de samouraïs éduqués. Durant les vingt cinq années de l’occupation garlemaldaise, un viceroi impérial a tenu le pouvoir absolue, mais la libération récente a vu le retour de l’ancien gouvernement, avec le dirigeant de la rébellion et la tête du clan Rijin restauré sur le trône.

Dirigeant : Hien Rijin

Corps dirigeant : Bien que le roi de Doma a le pouvoir d’intervenir dans tout les aspects de la gouvernance, il délègue une grande partie des affaires courantes à un entourage de conseillers samouraïs.

Distribution raciale :
Hyur d’Extrème Orient : 60%
Roegadyn d’Extrème Orient : 20%
Au ra Raen : 10%
Autres : 10%

Religion : Dans l’ensemble, les Domiens tendent à pratiquer leur foi en privé, et ne pratiquent pas le prosélytisme et ne jugent pas ce qui ne montrent pas les mêmes croyances qu’eux. Comme c’est le cas dans de nombreuses région de l’Extrême Orient, ils vouent un culte aux esprits désignés comme Kami. Bien que ces divinités soient souvent des personnifications de la nature, des sages éclairés ou des animaux de légende à la vie longue que l’on définit comme Kami. De plus pour compliquer toute tentative de les catégoriser ces entités s’y ajoute tout ceux qui habitent d’anciennes reliques.

Industries :
Agriculture : Les berges de la rivière Muni ont longtemps été considérés comme l’une des plus fertiles terres agricoles de l’Othard oriental, particulièrement la région entourant les bouches de la Muni en Yanxia. Le riz reste la principale récolte, bien que les kakis et les prunes sont également très présentes.

Pêche : Les Domiens ont vécu sur les bords de la Rivière Muni et les Bassins Rutilants depuis l’antiquité. Alors que le royaume s’étendit au-delà, son peuple en vint à construire des villages sur la côte de la Mer de Rubis et s’aventurèrent de plus en plus loin vers l’Ouest. Alors que les sources de nourriture étaient abondantes, quelques-uns des plus pêcheurs les plus aventureux se mirent à chasser les tortues de mer pour leurs carapaces, qui étaient fortement désirées par les artisans de bien des façons pour leurs créations.

Papeteries : Les fibres des mûriers Yanxiens et l’eau de la rivière Muni sont les ingrédients clefs de la production du papier domien, lequel est prisé dans le monde entier à la fois pour sa durabilité et sa beauté. Non seulement est il considérés idéal pour faire des rouleaux et des documents qui doivent être préservés, mais il est aussi un moyen pour les artisans de créer des fanions, des lanternes et bien des créations complexes. Bien que l’industrie souffrît durant l’occupation impériale, les maîtres de la papèterie s’arrangèrent pour préserver le savoir de leurs techniques, et dans le sillage de la libération de Doma, ils entreprirent de reconstruire des moulins et de relancer la production.

Croyances : La loyauté est peut-être la plus vertueuse des qualités pour le peuple de Yanxia, que ce soit envers Doma, envers son Roi, ou ses vassaux. Les samouraïs croient en les Rijins, et le peuple croit en les samouraïs. De nombreux Domiens attesteraient qu’il suffit de regarder le carnage né des trahisons passées pour voir la sagesse de suivre cette vertu.

Cuisine : Comme on pouvait s’y attendre aux vues de la taille des terres agricoles dévouées à sa culture, le riz est présent dans presque tous les plats domiens. A côté de cet ingrédient de base, néanmoins, la cuisine du centre et des régions côtières peut diverger à un degré surprenant. Porc, volaille et d’autres viandes ont la faveur des terres centrales de Doma, alors que les fruits de mer sont bien plus communs sur la côte. Les assaisonnements utilisés dans les préparations sont parfois tout aussi différents, alors que les villages côtiers portent leurs faveurs aux subtiles saveurs d’Hingashi, tandis que les épices les plus fortes de Radz-at-Han sont régulièrement incorporés dans les plats Yanxiens.


          

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Histoire :





Les Exploits de Ganen :

A toute fins utiles, l’Histoire de Doma commença avec un seul homme : Ganen Rijin. Il y a huit cents ans, suivant la mort de son père sur le champ de bataille alors qu’il n’avait pas plus de quatorze été, Ganen devint le seigneur de son clan. Malgré sa jeunesse, il comprit immédiatement que les Rijin, un clan pauvre et peu connu, serait considéré comme une proie trop facile pour être ignorée, et serait tôt ou tard attaqué par un des clans plus grands et plus agressifs en une lutte pour la suprématie. Sans surprise, il ne lui fallu pas longtemps pour que ses éclaireurs lui rapportent que les troupes ennemies se massaient près de ses frontières.
En imaginant sa stratégie de défense, Ganen considéra en premier comment un petit contingent de soldats pourrait défendre une position fortifiée contre une force plus nombreuse, ce qui le conduisit à concevoir un plus des plus rusés. Quand la cavalerie d’invasion des clans ennemis vit les soldats des Rijins, ils furent surpris de particulièrement mal équipés, à pied, sans cotte de mailles ni plaques. Ils fuirent, et les envahisseurs avides leurs donnèrent la chasse, seulement pour s’enfoncer dans les marais où leurs armures pesantes les enlisèrent. Sous le commandement de Ganen, le piège se referma, et un ost dissimulé d’archers fit pleuvoir leurs flèches sur l’armée sans espoir de secours. Ceci débuta la légende du garçon général qui fondit plus tard un royaume.

La naissance d’un Royaume :

Nombreux étaient les accomplissements des seigneurs de guere qui avaient laissés leurs marques sur Yanxia à travers les siècles, mais Ganen avait deux qualités dont les autres manquaient. D’une part, alors qu’il était enfant, il avait appris l’art de la géomancie d’un sage ermite. Il pouvait lire les énergies élémentaires aussi bien que n’importe qu’elle pratiquant, et utilisait ses connaissances à son avantage pour décider où et quand engager ses ennemis.
L’autre force de Ganen était son mépris des questions de naissance ou d’origine. Qu’il s’agisse de fermiers, de pêcheurs, ou même d’anciens bandits, il pouvait accepter n’importe quelle recrue dans ses rangs du moment qu’ils possèdent des compétences et de l’ouverture d’esprit necessaire. Des races telles que les Lupins qui auraient été considérés comme des moins que rien par la plupart des Eorzéens étaient égaux aux hommes égaux à ses yeux, et il les accepta à son service les bras ouverts. Ganen se montra miséricordieux quand il défaisait ses ennemis, et il gagna ainsi leur respect et leur loyauté, ceux-ci venant renforcer les rangs de son armée. Chacune des victoires du clan Rijin le faisait devenir plus fort, et à l’entrée de la deuxième décennie, ils contrôlèrent l’intégralité de la rive orientale de la rivière Muni.
Sur la rive occidentale, néanmoins, les autres clans observaient l’expansion du clan Rijin avec une peur grandissante. Dirigé par le Koboku, ils assemblèrent une armée massive, et il devient alors évident que la confrontation était inévitable. Pendant huit années, la guerre opposante Est et Ouest fit rage durement sans le moindre jour de repos, jusqu’à ce que le général Ganen finisse par mener ses armées à la victoire avec l’aide de messager Namazu et d’espions, qui fournirent une inestimable aide dans l’espionnage militaire. Ayant uni Yanxia sous sa bannière, il décréta alors la naissance du royaume de Doma.

L’intercession des Shinobis :

Pendant sept siècles, le clan Rijin conserva fermement son contrôle sur Doma, bien que leur règne largement calme fût ponctué par des périodes occasionnelles de troubles. L’un des exemples le plus notable fut le règne du roi Seien il y a presque trois siècles, qui même dans son enfance semblait destiné à semer des ravages. Il était un dirigeant impétueux et impulsif qui menait d’extravagantes fêtes durant nuit et jours et se livrer à ses nombreux vices, sans la moindre considération de coût. Alors que les coffres de Doma se retrouvaient à sec, il se tourna vers les clans marchands pour renflouer ses caisses, et quand le temps de rembourser s’approcha, il taxa ses sujets pour augmenter ses richesses. Seien étaient sous tout les aspects incapable de régner.
Dans ses temps troublés, le royaume trouva son salut dans un allié inattendu. Sasuke, un shinobi du clan Kagekakushi qui était venu à Doma pour mener une mission secrète, fut émut par la situation critique du peuple. Après avoir rempli son devoir, il rechercha le jeune frère de Seien, Shoen, un homme bien plus sensible dont les tentatives de restreindre les appétits du roi n’avait mené qu’à libérer son ire, et le libéra de la captivité où il se trouvait. Ensemble, tout deux menèrent une armée rebelle et renversèrent Seien, ce qui referma l’un chapitre sombre de l’Histoire domienne.

L’occupation garlemaldaise :

Le nouvellement couronné Shoen implora son ami Sasuke de rester à Doma, mais pas comme un simple mandataire. Le roi redoutait ce que pourrait devenir le royaume si un homme comme son frère venait à réclamer le trône et voyait les shinobis comme une sécurité contre la tyrannie, des défenseurs loyaux à Doma et non à son dirigeant. Sasuke partageait les préoccupations de Shoen et accepta facilement la proposition. Il forma peu après le village caché de Shinobi_no_Sato dans les profondeurs des montagnes de Yanxia. Où il entraina des disciples à l’art du ninjutsu, et pour les trois cents ans suivants, le royaume de Doma connu la paix et la tranquillité.
Hélas, de telles choses ne furent pas les dernières. Durant le règne du quarante troisième roi de Doma, Kaien Rijin, l’empire de Garlemald envahi Yanxia par l’Ouest. Après avoir établit une tête du pont sur la rivière Muni, les forces impériales furent renforcés par des aéronefs massifs qu’ils utilisèrent pour sécuriser les îles flottantes dans le but de lancer une attaque sur plusieurs fronts. Avec le support du Castrum Fluminis hâtivement construit, l’Empire était prêt pour mettre le royaume de Doma à genoux. En premier lieu, le seigneur Kaeien et ses vassaux étaient déterminés à repousser les Garlemaldais hors de ses terres, mais alors que les envahisseurs approchaient avec leurs aéronefs et leurs armures, les pertes ne cessèrent de monter, et bientôt il devient clair que les défenseurs étaient surclassés. Doma se rendit, et pour les trente cinq années suivantes fut soumise à la loi impériale, jusqu’à ce qu’un groupe de rebelle finalement se soulève et mette à bas leur oppresseurs pour réclamer leur liberté.

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Organisations :



Le clan Rijin :
Depuis sa naissance il y a plus de sept-cents ans, le Royaume de Doma a été dirigé par un seul clan, qui fut le premier à unir les peuples de Yanxia sous une seule bannière. Les Rijin sont vu par beaucoup comme le cœur et l’âme de Doma, des dirigeants méritant une loyauté inconditionnelle, et qui en retour doivent agir comme d’inébranlables défenseurs de Doma, tel que Lord Kaien le fit lorsque lui et ses samouraïs combattirent vaillamment pour repousser les envahisseurs impériaux.
Reconnaissant l’influence qu’exerçait les Rijin, Garlemald nomma le monarque déposé au rôle de vice-roi dans la quatrième année d’occupation, dans l’espoir que cet arrangement rende la population plus docile à la loi impériale. Néanmoins, alors que Kaien jouait le collaborateur, il continuait de travailler en secret à coordonner les activités du Front de Libération, jusqu’à deux décennies plus tard où il prit la tête le commandement pour mettre ses plans en œuvre.
Les rebelles forts et bien préparés, assez pour pouvoir s’emparer du château de Doma et repousser le gros des forces impériales hors de Doma pour un temps. Malheureusement, il n’avaiet pas prévu que la guerre de succession se terminerait si vite, accordant à Zenos yae Galvus le commandement de la XIIème qu’il conduisit à Doma pour réaffirmer le contrôle de l’Empire. Avec la mort du Seigneur Kaien et la disparition de son fils Hien, la rébellion fut écrasée, et la lignée du clan Rijin s’éteignait… Ou du moins, il le semblait. En vérité, l’héritier du trône avait fuit jusqu’aux steppes d’Azim, où il fut soigné jusqu’à sa rémission par une tribu Xaela. C’est là-bas qu’il rencontra les Héritiers de la Septième Aube, avec l’aide desquels Hien entreprit de revenir à Doma et détrôner la gouverneur Yotsuyu goe Brutus, libérant son peuple du jour de l’oppression impériale une fois pour toute.

Hien Rijin :
« Les murs de pierre ne font pas une nation. Son peuple si. Et aussi long que nous serons en vie, nous pourrons reconstruire. »
Mine, sa mère lui donna naissance peu après la défaite de Doma face à Garlemald, Hien ne connaissait rien de la vie avant l’occupation. Bien qu’il suivît le curriculum impérial officiel, il lui fut également possible d’étudier les arts et la culture domienne, et de cette éducation multiple, il développa une appréciation à la fois pour les valeurs traditionnelles et les philosophies modernes. Bien que sa mère mourût bientôt de maladie à ses quinze ans, le petit « Shun » profita d’une vie relativement joyeuse avec le conseiller de son père, Gosetsu.
Suivant sa mort, il se dévoua lui lui-même à la libération et la reconstruction de Doma. Cela dit, le jeune seigneur le temps de souper de nombreux plats de viande et profiter de la compagnie de ses camarades, qui n’ont jamais faillit à profiter de sa bonne compagnie.

Les conseillers royaux :
Bien que ce soit l’élite des samouraïs qui maintient l’ordre qui attire le plus l’attention, il y existe de nombreux autres conseillers qui conseillent les Rijins moins par leurs prouesses martiales que dans les matières administratives. Dans le passé, ces conseillers vivaient à Monzen, près du château, mais les deux sont désormais en ruines, et ils résident désormais dans des demeures de fortunes de l’Enclave Domienne.

Gosetsu Daito :
« Les Kami n’en ont cependant pas finit avec toi ! »
Ce guerrier à la carrure d’ours qui entra au service de Kaien dans sa jeunesse n’était pas seulement son bras droit en public mais aussi un ami proche et un confident du roi en privé. Tragiquement, durant le carnage que fut l’invasion garlemaldaise vingt cinq ans plus tôt, il perdit la vie de sa femme et de sa fille. Emprisonné comme un insurgé par la suite, il s’était préparé à embrasser la mort, jusqu’à ce qu’il soit retrouvé et que lui soit confié la sécurité du fils unique de Kaien, Hien.
Ayant trouvé un nouveau but, Gosetsu résolu à regagner sa liberté, et le fit en se battant en tant que mercenaire pendant de nombreuses années. Bien que ses hauts faits sur les champs de bataille lui aient donné redoutable réputation qui perdure jusqu’à aujourd’hui, Gosetsu ne parle que peu de ces jours sombres. Comme un guerrier qui a connu de terrible pertes, dont le destin s’est toujours joué de lui pour le mener sur les champs de bataille, il est heureux d’avoir pu poser sa lame une fois pour toute… Bien que ce répit ne vînt qu’après une dernière tragédie.

Hakuro Gunji :
« Le devoir vient avant tout ».
Connu comme le Blanc, Hakuro est le seigneur du clan Gunji âgé de trente trois ans, conseiller de la maison royale Rijin. Quand la chute de Doma, en tant qu’héritier d’une influente faction de Lupin, il fut placé sous la tutelle de l’Empire, après quoi il lui fut donné une éducation impériale et il fut conscrit dans l’armée. Cependant, malgré qu’il fût un jeune chiot de huit étés quand il fut pris, il savait qu’il était un peu plus qu’un simple otage. Dans le but de protéger les siens, il maintînt les apparences d’obéissance et attendit son moment, aiguisant toujours son style d’épée du hurlement mortel.
Le moment décisif vint quand lui et son unité, les Ferae Domitae furent déployés pour défendre Ala Mhigo. Là, ses pas croisèrent ceux d’Alphinaud et du Guerrier de la Lumière, qui le convainquit de faire défection et de retourner dans son foyer à Doma pour reprendre sa véritable place de seigneur.
Bien qu’il remplisse son devoir en tant que garde du corps, Hakuro peut être souvent trouvé à s’entrainer sur des mannequins au milieu de l’Enclave, entrainant une nouvelle génération de combattant, le seul vrai répit du Lupin provient d’une occasionnelle partie de mahjong avec son vieil ami et rival Otaya.

Shinobi-no-Sato :
Caché dans les profondeurs des montagnes de Yanxia, ce village fut fondé par Sasuke du clan Kagekakushima pour qu’il puisse enseigner à d’autres l’art du ninjutsu. Les shinobi domiens furent imaginés comme une organisation indépendante qui pourrait défendre le royaume de ses ennemis, même si les dits ennemis étaient le roi régnant de Yanxia. A cause de cette position unique, les shinobi furent divisés quant à leur rôle dans la rebellion de Kaien. Alors que beaucoup combattaient et mourraient pour la liberté de Doma, il y en eut d’autres qui s’opposèrent au Front de Libération de peur que le peuple en souffre.

Yugiri Marchebrume :
« Chaque jour, je prie pour mon foyer et pour le peuple que j’ai laissé derrière moi. Qui peut être épargné par le prix de la guerre, et vivre en paix, hors de portée de cette folie. »
Comme nombre de ceux étant né dans le sanctuaire caché sous les eaux de Sui-no-Sato, Yugiri était curieuse du monde extérieur, et dans son enfance elle et une amie s’éjourna à la surface pour espionner un village de pécheur côtiers. Bien que son amie prît peur et retourna à leur demeure seule, l’audacieuse Yugiri poursuivit son exploration à l’intérieur des terres et rencontra un garçon pas plus jeune qu’elle, qui partagea avec elle ses récits de Doma et de l’oppression impériale. Effrayée de ce qui pourrait arriver à son propre foyer, elle retourna à ses parents et les pressa de faire quelque chose pour aider le garçon et son peuple, mais ni eux ou aucun autre adulte ne voulurent l’écouter. En dépit de cela, Yugiri n’oublia jamais les mots du garçon, et lorsqu’elle fut assez âgée, elle quitta Sui-no-Sato pour étudier l’art du ninjutsu. Hélas, en faisant ceci, elle défia les volontés des anciens et fut pour toujours bannie de son foyer.
Quelques années plus tard, dans un curieux retournement du destin, alors qu’elle répondait à l’appel à l’aide du Front de Libération de Doma, elle fut accueillie par nul autre que le garçon, désormais un homme, celui qu’elle avait rencontré tant d’années avant : Hien Rijin.

Shazenkai :
Ce groupe modeste de citoyens travaille sans relache pour faciliter la reconstruction de l’enclave domienne. Nommé selon le shazenso, une herbe robuste qui peut résister même aux conditions les plus dures, le Shazenkai s’efforce de reconstruire l’industrie estropiée et de supporter les producteurs et artisans de Yanxia. La fondatrice du Shazenkai, Kozakura, peut souvent être vue plongée dans des documents jusque tard dans la nuit, pour un travail qui ne se termine jamais.

Kozakura Gyoji :
« Le Doma de notre mémoire et de notre cœur sera bientôt à nouveau notre. Jusqu’à ces jours bénis, nous ne perdrons jamais espoir »
Une jeune femme de trente cinq étés motivée et décidée, la devise personnelle de Kozakura est de faire une chose à la fois, un jour à la fois. C’est cette attitude sensible qui mena sur elle le regard des conseillers du seigneur Hien, qui lui confièrent la gestion des stocks de l’enclave et la mission de compiler les besoins et les volontés du peuple. Avec le temps, elle devint plus impliquée dans les affaires de chacun et devint plus confiante pour exprimer son opinion, et bien qu’elle fût au début profondément opposé à l’idée, elle se retrouva elle-même en charge du Shazenkai nouvellement formé. Comme Kozakura, nombre de membres sont plutôt jeunes mais motivés pour reconstruire leur nation, bien que bien peu sont engagés autant dans la cause qu’elle peut l’être.
Quand elle n’est pas occupée avec les affaires du Shazenkao, Kozakura se livre à ses hobbies comme le pliage de papier en des formes artistiques. Elle peut également être vue en train de jouer avec des matérias, bien que son front plissé suggère qu’elle n’ai pas encore pleinement saisit l’usage de celles-ci. 



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