[Nation] Dalmasca
Le Chat
Il y a 10 mois et 2 jours
Le Royaume de Dalmasca
Construit dans les sables du désert de Dalmasca au Sud de la chaîne de Range, ce royaume prospère depuis les nuits d’un millier d’années sous le règne de la lignée royale des B’nargin. Trente ans plus tôt, néanmoins, Damalsca tomba sous le joug de l’Empire de Garlemald, et la région devint cependant une nouvelle province subjuguée.
Drapeau : Quand Dalmasca était un royaume, le blason de la famille royale B’nargin, connu comme le « Croissant Solaire », était érigé comme le drapeau de la nation. Les Garlemaldais interdirent bientôt aux Damalsciens de faire flotter leur bannière, et le plus fameux symbole de la nation désertique baignée de soleil a disparu des regards.
Devise : Avec Prévoyance, la Conscience n’est pas.
Gouvernement : Une monarchie couronnée de succès, la dynastie B’nargin traversa les siècles. En tant que l’un des corridors entre Ilsabard et les terres orientales d’Othard, Damalsca occupe une position géopolitiquement vitale. Malgré qu’elle ai été la cible de nombreuses invasions, le royaume a historiquement repoussé même les conquérants les plus déterminés. Jusqu’à finalement tomber face à l’Empire Garlmaldais à cause de la route d’incursion inattendue des Légions Impériales de l’Empire Garlemaldais : leurs aéronefs survolèrent les étendues désolées l’Escarre, et vinrent d’au-dessus de la Chaîne de Skatay pour fondre sur les frontières septentrionales peu défendues de Damalsca.
Dirigeant : Ramnias B’nargin Damalsca
Corps dirigeant : Le Conseil Bleu était l’assemblée des officiels qui gouvernaient sous l’autorité du roi. Son nom tire son origine du carrelage bleu de la salle du conseil.
Répartition raciale :
Hyur Damalscien : 40%
Bangaa : 20%
Seeq : 10%
Viera : 5%
Autres : 25%
Religion : La Lumière de Kiltia est une religion polythéiste basée en premier lieu sur la foi dans le Dieu de Lumière, et ses élises ont exercés une influence significative sur la société de Damalsca depuis les temps anciens. Il y eut une période de l’Histoire néanmoins, où les fidèles cherchaient à se mêler aux questions séculières de gouvernance. Ceci suscita une volée de désapprobation, avec pour résultat la séparation forcée des affaires de l’Eglise et de l’Etat. Malgré cette présence autrefois omniprésente, cette facette de la culture damalscaise, fut également ensevelie sous le talon de l’occupation garlemaldaise. Les lieux de foi furent démolis par l’armée impériale, ou vidés et réutilisés à d’autres taches.
Industries :
Commerce : Le Désert Dalmascien et les terres désolées connues comme l’Escarre sont les seules routes terrestres existantes entre les continents d’Ilsabard et d’Othard. Mais alors que le désert a des oasis, l’Escarre n’en compte aucun, la profusion d’eau fait du choix de la route une question simple. Durant des siècles, Dalmasca prospéra comme un point de passage obligé pour les caravanes marchandes, avec pour capitale royale Rabanastre, amassant une riche collection de biens rares venant tant de l’Est que de l’Ouest qui menèrent les balades à nommer la cité, « Le Saphir du Désert ».
Navigation : La mention de Dalmasca invoque des images d’un royaume surgissant du désert, mais à la bordure des sables se dresse la cité portuaire de Valnain, connue pour son histoire de centre pour la navigation. Dans la mer de Valnard au Sud, le Phare perché sur le fait des cataractes de Ridorana, une gueule abyssale dans l’Océan que l’on croit ouvrir sur le septième enfer. Cette tour illumine le passage vers les routes maritimes septentrionales, et de là vers les docks de Valnain. Avec l’avancée des techniques de navigation Gyr Abanienne, les caravanes terrestres prennent doucement le chemin des navires marchands, mais la possession d’une voie maritime continue d’assurer que sa prospérité perdure.
Croyance : En tant que nation d’une grande diversité de peuple, Dalmasca adopta une philosophie de « vivre et laisser vivre » pour éviter les conflits incessants. Chaque races, clans, et tribus s’en sont tenus à leurs éthiques et standards moraux, mais aussi longtemps qu’aucune loi n’est brisée, les actions questionnables des autres races sont largement ignorées. Après de nombreuses affreuses et violentes disputes motivées par les différences raciales, il semble que les Dalmasciens aient apprit le bénéfice de garder leurs pensées pour eux même.
Cuisine : Ainsi que les épices et denrées alimentaires viennent de partout à travers le monde, le commerce vibrant de Dalmasca a apporté avec lui de nombreuses recettes, et ceci les anciens dalmascais utilisaient toutes sortes de plats culinaires. Une chose particulière à noter est le plat local inhabituel fait à partir de cactus sauvage du désert. Le vignoble de Lea Monde est également fameux pour sa production d « Valens », un vin rouge exquis aux saveurs complexes et délicates, cependant sa rareté est désormais telle qu’une simple bouteille peut être commandée pour une petite fortune.
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Source: Traduction de l'Encyclopedia Eorzea II
Le Chat
Il y a 10 mois et 2 jours
Les rues de Rabanastre :
Après un soulèvement raté contre la loi contre ses dirigeants impériaux, la capitale dalmascaise de Rabanastre souffrit de violentes représailles qui ravagea la ville. Dans un retournement décisif, l’attaque destinée à laissée la cité à l’état de ruine servit à révéler les vestiges antiques jusqu’alors cachés en dessous.
Le Pont éboulé :
Une artère en pierre menant à la porte principale de la cité, cette structure fut construite pour supporter le poids de nombreuses douzaines de chariots se croisant en même temps. Sa solidité néanmoins n’était d’aucune protection contre la puissance de feu explosive des navires de l’Empire, et la perte de cette issue de secours résultat en de nombreuses victimes parmi les résidents de la capitale.
Le Bazar de Muthru :
Cette place du marché à l’intérieur des murs de Rabanastre était autrefois remplie d’étals animés. Les caravanes qui arrivaient dans la capitale royale menaient leurs premiers échanges ici, déchargeant les caisses et autres chargement lourd, alors que les marchands sur le départ remplissaient leurs chariots et leurs wagons avec des biens pour la route au-delà.
La Place du Palais :
Une riche place s’étendant dans l’alignement à l’extérieur du palais, ce site était réservé aux mariages royaux, aux parades militaires et autres évènements publiques. Quand les chambres du palais furent occupées par le vice-roi impérial, la place devint la demeure d’un contingent vigilent de soldats garlemaldais.
La fin du Nord :
Quartier résidentiel de Rabanastre, autrefois recouvert d’auvents colorés de boutiques ouvertes sur la rue vendant des biens bons marchés et de tavernes accueillantes, l’occupation garlemaldaise est visible dans les salles vides et rénovées pour l’usage exclusif des citoyens impériaux.
L’aqueduc de Garamsythe :
Se prolongeant loin en dessous des rues de Rabanastre, ce canal fut construit pour amener les eaux des sources de la chaîne de Skatay depuis le Nord. L’architecture en treillis de l’aqueduc est confuse pour se repérer, et ceux qui s’y risquent perdent leur sens de l’orientation et il leur est presque impossible de retrouver leur chemin vers l’extérieur.
Le jardin en ruine de Lesalia :
Ces ruines d’une ancienne civilisation furent découvertes loin en dessous de la surface. Jenonis cen Lexentale, l’homme qui les découvrit insiste sur le fait qu’elles sont les vestiges de la légendaire Lesalia, la capitale royale d’Ivalice, mais des études archéologiques approfondies doivent être conduite pour soutenir ses affirmations.
Les Ruines du Temple de Lesalia :
Pensé pour être un monument voué aux dieux, la véritable nature de cette édifice impressionnant mais usé par le temps, et la religion pratiquée autrefois à l’intérieur demeurent une énigme. Les académiciens attendent avec impatience que le calme revienne à Dalmasca pour tenter une évaluation plus précise.
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Source: Traduction de l'Encyclopedia Eorzea II