[Nation] Ala Mhigo

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Ala Mhigo





Ala Mhigo établit dans l’Extrême-Est à l’extrémité de l’échine d’Abalathia. Durant des siècles, elle commanda les terres de Gyr Abania, et fut connu comme la première puissance militaire des cités états éorzéennes. Dans le face à face avec les armées de Garlemald, néanmoins, cette puissance se révéla insuffisante pour repousser les armures de métal blindé de l’Empire, et ainsi Ala Mhigo a-t-elle supporté le joug impérial les vingt dernières années.
A fait d’une guerre sanglante, la cité d’Ala Mhigo a finalement gagné sa liberté après deux décennies sous le joug de l’étouffante loi impériale. La nation fait désormais parti des rangs de l’Alliance Eorzéenne, et a rejoint ceux qui aidèrent à sa libération à écrire de nouveaux chapitres de l’histoire.


Drapeau : Le drapeau mhigois est un champ pourpre sur lequel se tient un griffon d’argent tenant dans ses serres une épée. La créature ailée est le symbole de la maison royale de la nation, et la lame représente la force utilisée pour voir les autres clans plier le genou devant elle. Le pourpre est la couleur de Rhalgr, la divinité gardienne de la nation et est associé à son élément, la foudre. La présence de cette teinte sur le fanion représente le lien entre la royauté et l’ordre religieux du Poing de Rhalgr.





Devise : Avant la libération « Nés dans le sang ». Après la libération « La Liberté ou la Mort »


Gouvernement : Avant la libération, bien que Ala Mhigo fût longtemps dirigée par des rois, l’invasion garlemaldaise il y a deux décennies a mené à la fin de la monarchie. La cité état est désormais un territoire impérial provisoire, et son peuple, des sujets de l’Empereur bien que réticents. Sous le règne de fer du viceroi garlemaldais, tous les Mhigois n’ont pas gagné la citoyenneté et ses privilèges. Nombreux sont ceux qui vivent dans des conditions sordides, leur vie ne valant guère plus que celle d’un esclave. 
Après la libération, lors du rejet du joug de l’Empire, Ala Mhigo institua un gouvernement d’intérim construit autours de la structure de commandement de la Résistance. Les envoyés de nombreuses races, dirigeants et anciens de tout Gyr Abania, lorsqu’ils furent convoqués à un sommet pour décider du sort de la nation. Après de nombreux débats, l’assemblée représentative choisit de s’inspirer de la structure de la nouvelle république d’Ishgard, et confia la direction de la cité état à un conseil élut.


Dirigeant : Aucun

Corps dirigeant : Avant la libération, tous les domaines de la gouvernance échoyaient au viceroi, dépêché de Garlemald et son entourage.
Après la libération, Ala Migho est gouvernée par un conseil représentatif, ses membres élus pour parler au nom des divers établissements et tribus de Gyr Abania.


Distribution raciale :
Hyurgoth des Hautes Terres : 60%
Roegadyn du clan du feu : 10%
Hyur des Basses Terres : 10%
Chercheurs de Soleil Miqo’te : 10%
Autres : 10%


Religion : Durant la Sixième ère ombrale, les populations fuyant l’inondation remarquèrent une comète éclatante dans le ciel nocturne. Comme le sillage d’un météore était le symbole de Rhalgr, ils prirent ceci comme un signe du destructeur pour le monde, et ils la suivirent jusqu’à un nouveau foyer dans les hauteurs des montagnes. Ainsi, le culte du Destructeur prit racine dans les terres de Gyr Abania. Avec le temps, une secte connue comme le Poing de Rhalgr grandit en pouvoir et en influence, et finit par fleurir comme religion d’état. Néanmoins, le Roi Theodoric oppressa cette foi par le feu et l’épée, et les Garlemaldais, ne donnant aucune valeur au culte, interdirent complètement cette religion. 
Sous la souveraineté du roi Théodoric et ensuite sous la domination de l’Empire Garlemaldais, les croyants de Rhalgr furent oppressés et punit pour leurs croyances. Depuis la libération d’Ala Mhigo, néanmoins, le peuple est libre à nouveau de pratiquer leur foi, et cette résurgence a été accompagnée par l’apparition d’un jeune moine qui cherche à restaurer le Poing de Rhalgr. La position du Poing était autrefois le soutient à la citoyenneté et le nombre d’adhérents de l’ordre continue de grossir chaque jour.


Industrie :
Travail mercenaire : Dans les terres rocheuses de Gyr Abania, rares sont les espaces avec un sol arable. Il y toujours eut de nombreuses disputes à propos de celles existantes, jalousement gardées par leurs propriétaires et férocement convoitées par les autres. En conséquent, même après qu’Ala Mhigo unifia la région, seul de petites industries pouvaient s’épanouir dans ces terres. Les hommes et les femmes se mirent à vendre la seule chose qu’ils pouvaient, leur compétence dans les armes. Ils trouvèrent de nombreux acheteurs particulièrement durant les périodes de conflits entre les cités états éorzéennes. En effet, chaque nation dit avoir sa propre compagnie d’épée à louer mhigoise. Même aujourd’hui, nombre de ceux qui fuient la cité état choisissent de vivre comme mercenaires. Un grand nombre de réfugiés d’Ala Mhigo se sont largement voué dans le mercenariat, et même aujourd’hui, bien peu a changé pour la majorité. Bien que quelques-uns se soient embarqué sur la longue route de retour vers Gyr Abania, nombre de ceux qui se louent à des organisations comme les Lames de Bronze ou les Torches de Pierre, sont réticents à abandonner un métier et des revenus stables.  Jusqu’à ce que la restauration de leur terre natale soit complète, Les fils et les filles rebelles d’Ala Mhigo continuera de vivre en louant ses épées.

Agriculture : Dans certains des villages les plus pauvres, il y a eu un récent sursaut d’intérêt pour l’agriculture. Les habitants ont commencé à planter des dates et d’autres cultures qui peut prospérer même dans son sol sec et poussiéreux.

Orfèvrerie : sous les auspices de la Sultane Nanamo Ul Namo, une école a demandé l’aide des Ananta et leur maîtrise presque magique sur le métal, et l’initiative a gagné en intérêt en promettant une nouvelle industrie pour Ala Mhigo.

Manufactures de Sel : le commerce profitable du raffinement du sel des eaux du Loch Seld est une industrie clef en Ala Mhigo depuis avant même l’invasion de l’Empire. Avec les contributions du trésor royal d’Ul’dah et les liens mercantiles avec la Compagnie du Commerce de l’Aldenard Oriental, l’expansion des marais salant et la distribution conséquente de ces produits a progressé à un rythme phénoménal.

Manufactures magitek (Avant la libération) : Pendant des siècles, les hameaux de montagnes mhigois étaient auto-suffisant. Les villageois entretenaient les récoltes qui poussaient de leurs petits champs et élevaient des animaux pour leur laine. Néanmoins, l’invasion garlemaldaise mena à la fin de ce mode de vie grâce à la technologie magiteck. Désormais, les Mhigois sont forcés de travailler pour leur pitance dans de grandes usines aux cheminées fumantes, alors que Galemald pille richesses et luxe pour leur travailleurs.


Croyances : Pour mieux s’approcher du Destructeur, chercher la force du corps et de l’esprit, comme le porte les enseignements du Poing de Rhalgr. A travers les âges, cette idée a entièrement façonné tout ceux qui vivent dans leur domaine de montagnes. Ala Mhigo est également géographiquement vulnérable aux invasions venues d’Ilsabard, et ce fait toujours présente a donné naissance a une culture qui valorise beaucoup les prouesses martiales. 
Avec pour résultat des combats le long de la Vira durant la guerre pour la libération et bénéficiant de l’assistance continue de l’Alliance Eorzéenne, la population d’Ala Mhigo s’est rapidement adaptée à la présence de différents clans et races. Le peuple s’est mis à penser aux groupes disparates de réfugiés qui s’étaient uni dans les montagnes de Gyr Abania pour survivre à l’inondation de la Sixième Ere Ombrale, et les parallèles avec la situation est devenue une source d’espoir et de camaraderie.


Cuisine : Avec de si faibles récoltes, la cuisine mhigoise est une affaire plutôt austère. Néanmoins, en tant qu’étape des routes de commerces, la cité état a adopté quelques plats venus du Proche Orient et d’Ilsabard. L’influence étranges est dite être particulièrement visible dans l’usage des épices. Pour boissons, il est habituel de faire infuser des thés médicaux, comme en trempant des cornes moulues de bêtes dans de l’eau bouillante. 
Un large éventail de denrées alimentaires était expédié depuis Ilsabard durant les décennies où Ala Mhigo était une simple province de l’Empire, mais la plupart de ces importations étaient uniquement destinées aux salles à manger des officiels impériaux influents. Ainsi la cuisine des gens du commun est restée largement inchangée. La cuisine mhigoise est peut être devenue moins variée à cause de la rupture du commerce avec l’Orient et les pénuries conséquentes d’épices qui l’a suivi.


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Source: Encyclopédia Eorzea I, Encyclopédia Eorzea II
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Histoire :


Une litanie pour survivre :

Alors que la Cinquième Ere Astrale voyait se dessiner sa fin dans une nouvelle calamité, nombreux furent ceux qui fuirent leur demeures, poussés à l’errance sans destination claire en tête si ce n’est atteindre de plus hautes terres pour échapper à l’inondation montante. C’est alors qu’une comète de feu traversa le ciel nocturne et guide un grand nombre d’âmes errantes en Gyr Abania dans les étendues orientales de l’échine d’Abalathia. Là, ils trouvèrent le salut en échappant aux flots, bien que la vie parmi ces hauts sommets se soit révélée impitoyable. Les survivants étaient de différentes races et nations, et bientôt, ils se divisèrent en factions, se battant amèrement pour s’emparer des faibles ressources qu’ils possédaient.
Les querelles continuèrent pendant de longues années. A certaines occasions, un clan pouvait gagner une succession de victoires, et grossir largement en absorbant leurs adversaires défaits dans leurs rangs, seule pour être encerclé par une coalition des tribus restantes, et être frappé jusqu’à revenir en arrière. Suivant ces victoires, ces vastes alliances étaient dissoutes par manque d’ennemis communs. Cet état de fait se répéta encore et encore, et les combats montrèrent des signes de complicité.


L’unification :

Les changements étaient à venir néanmoins. Après l’année 1100 de la Sixième Ere Astrale, Anshelm Cotter, un homme d’une puissante lignée, planifia de soumettre un à un les autres clans. Naturellement, ils s’unirent contre lui. Cependant, Anshelm possédée un incomparable génie tactique, et ses ennemies furent dispersés devant la marche de ses forces. Pour la première fois de l’Histoire, les clans de Gyr Abania étaient unifiés.
En tant que seul passage entre l’Aldenard et l’Ilsabard, néanmoins, Gyr Abania était vulnérable à une attaque venue du Nord. Anshelm craignait que ces envahisseurs balaient les nations naissantes d’Eorzea, et cela lui fit poser les fondations de sa capitale sur les rives d’un lac à l’extrême Est de la région. Il bâti les murailles grandes et épaisses et nomma sa glorieuse citadelle Ala Mhigo. Depuis celle-ci, ces soldats veillaient à toute attaque étrangère, toujours prêt à défendre leurs frontières.
Ce plan prouva son efficacité. Les forces nordiques attaquant de temps à autre, cependant, elles ne furent jamais capable de briser les défenses vigoureuses de la cité. Les Mhigois établirent des tours de surveillance le long des routes comme une garantie à la sécurité des routes marchandes entre le Proche Orient et Eorzea, et facturait des taxes importantes pour le passage à travers son territoire. La cité état avec si peu de ressources naturelles avait sécurisé une source cruciale de revenus.


La guerre de l’Automne :

Bien que Ala Mhigo prospérât grâce aux routes de commerces pour un temps, sa fortune ne dura pas. Après 1190, Ul’dah gagna le contrôle du Thanalan et se lança dans le commerce en haute mer. Malgré la menace toujours présente des pirates, les navires Uldiens étaient large et pouvaient transporter loin davantage de biens que les caravanes. Un simple voyage furent plus profitable qu’une suite d’hommes traversant les longues routes continentales. De plus, personne ne faisait payer de taxes pour faire voile sur les flots. Bien que le changement fût graduel, le commerce avec le Proche Orient se détourna vers les mers.
Alors que le flot d’argent venu des marchands errants se tarissait, Le roi Manfred d’Ala Mhigo rechercha la survie dans la conquête de terres étrangères. En 1468, il poussa des revendications sur le Linceul de l’Est, et lança une grande armée contre Gridania, souveraine de la forêt des Douze. Ce conflit serait plus tard connu comme la guerre de l’Automne, et elle provoqua une désastreuse défaite pour Ala Mhigo. Cependant, les osts de Manfred semblaient inarrêtables au début, ils écrasèrent les forces gridaniennes à la décisive première bataille de la Tinolqa et s’enfonça dans les profondeurs de Sombrelinceul. Le sens de la marée se retourna une année plus tard quand les forces coalisées de Limsa Lominsa, Ul’dah, et Ishgard répondirent à l’appel à l’aide de Gridania. Lors de la seconde bataille de la Tinolqa, les Mighois souffrirent de la perte du général Gylbarde, un brillant tacticien qui avait auparavant guidé sa nation à la victoire à la tête d’un régiment de soldat chevauchant des griffons. L’armée de Manfred fut brise, et il perdit la guerre.


Le règne de Théodoric :

Le pari de Manfred avait transporté les esprits de son peuple et l’économie de la nation. Avec la défaite finale, néanmoins, Ala Mhigo entra dans une période d’austérité amère. Son armée avait été assemblée à grands frais, cependant les soldats vaincus revinrent sans ramener de butin de guerre en leur nom. Le pouvoir du roi décru, et des troubles apparurent partout dans le pays. Au milieu des masses insatisfaites, le Poing de Rhalgr et ses moines émergeât comme une force politique, son pouvoir grandissant jour après jour. De peur de voir leur régime s’effondrer face à la foi, la monarchie choisit d’embrasser ce changement, et nomme le Poing de Rhalgr comme religion d’Etat. Ils employèrent des moines de haut rang comme conseillés pour le trône, et ces sollicitations stabilisèrent la nation. Bien que ceci rencontra quelques succès, la voix de la secte religieuse se faisait toujours plus présente dans les halls du gouvernement.
En 1546, Théodoric le Point monta sur le trône. Il allait être le dernier roi d’Ala Mhigo et son règne apporterait la ruine sur sa patrie. Cherchant à se libérer de l’influence du Poing de Rhalgr, il proclama avoir été désigné par Nyméa elle-même pour diriger la nation, et interdit le culte du Destructeur. Il demanda plutôt au peuple de s’incliner devant lui comme l’émissaire de la Tisseuse. Naturellement, le Poing de Rhalgr protesta, comme Théodoric l’avait prévu. En 1552, il mena une grande armée sur le site du plus grand temple de la communauté monastique et le livra aux flammes. Tout ceux à l’intérieur, qu’ils soient prêtres ou réfugiés périrent dans le brasier. Les quelques-uns qui parvinrent à s’échapper rencontrèrent une fin similaire des lames des soldats qui les attendaient à l’extérieur.


Le prix de la Révolution :

Bien que Théodoric eût purgé le Poing de Rhalgr, sa brutalité n’allait pas s’arrêter ici. Convaincu que ses terres étaient pleines de traitres cherchant à s’assoir sur le trône, il commença par faire exécuter le reste de la famille royale. Une fois que ses rangs furent amincis, les têtes de leurs vassaux tombèrent sous des accusations inventées, la purge s’étendit jusqu’aux petites gens qui avaient accumulé quelques richesses. Ne pouvant supporter plus longtemps ce massacre, la reine elle-même conspira avec un groupe de nobles pour assassiner le souverain. Le complot échoua par la trahison d’un noble seul, et tout ceux impliqués, y comprit le traitre noble, furent exécutés. Le palais se transforme en une scène tirée du plus profond des sept enfers, les effusions de sang sans fin étant observée par de méprisables sycophantes et meurtriers.
En 1557, le peuple se révolta finalement et prit d’assaut le palais. La garde chargée de stopper leur avancée ouvrit les portes et rejoignit les protestataires. La foule était si grande que la brigade meurtrière qui avait loyalement assassiné nobles et hommes riches, fuit par crainte des représailles. Ainsi, le règne du Roi de la Ruine prit fin, seul et abandonné.
Ala Mhigo aurait pu être libre. Cependant, cette victoire durement gagnée par la paysannerie allait être arrachée par l’armée de Garlemald. Les troupes impériales stationnées juste au Nord, attendaient la déposition du roi, et se jetèrent sur la cité alors qu’elle était affaiblie. Ni l’armée mighoise ni les combattants laïcs ne pouvaient avoir la moindre chance face à un tel flot de soldats. La fière nation devint un territoire garlemaldais, dirigée par Gaius van Baelsar, le premier vice-roi d’Ala Mhigo et légat de la XIVème Légion.

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Source: Encyclopédia Eorzea I, Encyclopédia Eorzea II
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Chronologie de la sixième ère astrale :


An 1 : Le climat glacé apporté par le grand déluge se calme, annonçant l’avènement de la Sixième Ere Astrale.

An 10 : Les survivants de la Sixième Ere Ombrale forment de petites communautés en Gyr Abania, conduisant à des conflits pour le contrôle des rares zones de ressources. Nombreux sont ceux à fuir Abalathia complétement quand les flots se retirent.

An 1135 : Anshelm Cotter unifie par la force militaire les clans divisés de Gyr Abania et construit une citadelle sur les rivages des lacs orientaux, marquant la naissance de la cité Etat d’Ala Mhigo.

An 1150 : Un système de péage est établi pour être collecté auprès des marchants voyageant à travers Ala Mhigo et Gyr Abania en échange d’un passage sur entre Eorzea et le Proche Orient.

An 1154 : Les piquiers Mhigois repoussent une invasion de nomades hyurois issus de l’Othard septentrional et les récits de courage et de leurs prouesses martiales résonnent partout en Eorzea.

An 1179 : Ul’dah enrôle à son service des mercenaires Mhigois, et des soldats de fortune afin de renforcer leurs rangs pour assiéger le royaume de Sil’dih.

An 1190 : Avec l’expansion du commerce maritime, le nombre de marchands Ul’déens empruntant la route commerciale terrestre pour l’Orient commence à décliner, et Ala Mhigo se retrouve à lutter pour maintenir elle-même ses maigres péages.

An 1313 : Sharlayan encore à son service des mercenaires mhigois pour subjuguer les bêtes vagabondant dans l’arrière-pays Dravanien et assurer la sécurité de leur avant-poste.

An 1353 : Des mercenaires mhigois passent un contrat avec Ul’dah pour soutenir les efforts du Sultanat afin de nettoyer les conduites d’eau de la présence des morts vivants.

An 1468 : Le Roi Manfred proclame brutalement sa souveraineté sur Sombrelinceuil Orientale, déployant le général Gylbarde et ses hommes à travers la rivière Velodyna afin de s’emparer du territoire Gridanien. Cette incursion marque le début de la guerre de l’Automne.

Le général Gylbarde tend une embuscade aux troupes Gridanienne sur la route de Sablefin, Noyant du sang des six milles hommes de la colonne gridanienne les terres alentours.

Le général Gylbarde détourne par trois fois les efforts désespérés du général Osbern de le ralentir. En plus de la capture d’Osbern et de nombre de ses officiers, l’armée de Gylbarde prend possession de Claustrum, l’équipe du légendaire Loin-Voyant. La première bataille de Tinoqla se conclue par une victoire décisive des Mhigois.

An 1469 : Les nations d’Ishgard, Ul’dah, et Limsa Lominsa viennent au secours de Gridania, et leur forces combinées forces l’armée mhigoise à stopper leurs avancées à la fin de l’Est. Le général Gylbarde tombe au combat, et le roi Manfred est blessé quand il se précipite sur le front pour restaurer le moral. La seconde battle de Tinolqa se conclue par la victoire décisive pour l’Alliance.

An 1476 : Les grandes caravanes marchandes utilisant des chariots chocobo sont organisées, et s’ébranlent vers l’Est. Pendant ce temps, Ala Mhigo est forcée de réduire énormément ses taxes routières comme une partie des termes du traité concluant la guerre de l’Automne. Cela a pour résultat u regain de popularité du transport terrestre comme alternative aux routes maritimes menacées par les pirates.

An 1477 : Le commerce florissant et les échanges transfrontaliers sont prompt à nécessité une standardisation des devises et des mesures. Par un consensus des six cités-états, le gil, l’ancienne monnaies d’Alag est ressuscité et adoptée comme devise universelle, ainsi que le système ilm/onze est adopté comme système de poids et mesure.

An 1539 : Les Pillards de la Lumière Sombre, un groupe de mercenaire sous le commandement de Gerbald le Rouge, éradique un énorme serpent empoisonné dans le Vale d’Aurum, se couvrant de gloire t de fortune.

An 1544 : Les Pilleurs de la Lumière Sombre échouent à purger le Gouffre Hurlant de la chimère qui se cache dans ses profondeurs. Le groupe de mercenaire se dissous de lui-même alors que la plupart de ses membres sont morts.

An 1546 : Theodoric le Premier monte sur le trône du roi d’Ala Mhigo.

An 1552 : Le conflit entre le roi Theodoric et le Poing de Rhalgr s’intensifie. Au nom de la répression d’une insurrection, le roi mène sa vaste armée sur le site du principal temple de l’ordre monastique, le rasant jusqu’au sol et massacrant ses disciples.

A l’âge de 19 ans, Rauhahn Aldynn se voit ordonner de supprimer monstre furieux par un officier de l’armée d’Ala Mhigo. Il gagne un grand renom en réussissant sa tache sans verser la moindre goutte de son sang.

An 1554 : Raubahn est assigner aux forces frontalières alors que la XIVème Légion est proche de celle-ci. Lui est ses camarades mènent une série de manœuvres de diversion qui rencontrent un grand succès, forçant les forces impériales à garder leurs distances.

An 1555 : Raubahn mène un rapide combat contre un contingent magiteck impérial lors d’une escarmouche frontalière, jouant avec l’ennemi, et étant promit à une position de haut commandeur pour cet acte. Ses accomplissements impressionnant sur le champ de bataille lui permettent de gagner la confiance et la reconnaissance de ses hommes.

An 1556 : Raubahn est touché par le tir d’un sniper impérial, souffrant de graves blessures. Evacué de la ligne de front, il retourne dans son village natal dans les montagnes de Gyr Abania pour sa convalescence.

An 1557 : Le peuple d’Ala Mhigo se soulève contre la tyrannie du roi Theodoric. La garde royale est complice du soulèvement, ignorant les ordres de son seigneur et ouvrant les portes du palais aux révolutionnaires.

Profitant l’opportunité provoquée par la confusion et l’agitation politique, la XIVème Légion envahit et annexe Ala Mhigo malgré une faible résistance.

Toujours à soigner ses blessures, Raubahn quitte Gyr Abania à l’âge de trente quatre ans pour errer sur le continent.

An 1571 : Les archontes du Cercle de la Connaissance infiltrent les territoires occupés de Gyr Abania dans l’intention d’assister les Mhigois cherchant asile à l’étranger, mais de nombreuses vies sont perdues quand les Garlemaldais ont vent de la défection.

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Source: Traduction de l'Encyclopedia Eorzea I
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Organisations :




Le poing de Rhalgr :

Quand les terres d’Eorzea furent engloutie durant la Sixième ère ombrale, certains survécurent en suivant la piste d’une comète enflammée jusqu’aux montagnes de Gyr Abania. Croyant que Rhalgr avait envoyé ce signe pour leur permettre d’échapper à la mort, ces réfugiés montrèrent une grande gratitude à la divinité, et en firent désormais du Destructeur leur protecteur et leur sauveur. Leur foi unit se divisa finalement en plusieurs factions, la plus grandes d’entre elles était le « Poing de Rhalgr ». La nature impitoyable de la vie dans les sommets encourageant la propagation de leurs enseignements, entrainement dévoué de l’esprit et du corps pour s’approcher de la perfection du Destructeur, octroyant la force de survivre aussi brutale que soit la lutte. Ce conditionnement fervent servait également les disciples de Rhalgr dans leur combat contre les prédateurs sauvages de la région, et produisait de solides soldats pour le mercenariat.
Suivant le chemin de la méditation et de la discipline physique, les membres du Poing de Rhalgr cultivaient des techniques martiales uniques, et se forgèrent une véritable armée de moines-guerriers. Et comme leurs rangs croissaient, il en allait de même de leur présence, jusqu’à ce que leur influence sur la société de Gyr Abania crût suffisamment pour ne pouvoir être ignorée de personne. Au lieu de chercher à réprimer ce pouvoir grandissant, la famille royale choisit de l’intégrer dans les forces de la nation. La religion du Poing devient la religion d’Ala Mhigo, et en retour de la reconnaissance officielle de leur foi, les moines étaient tenus de répondre quand la tourmente menaçait l’Etat.
Ces relations continuèrent de bénéficier aux deux partis pour un temps, mais allait connaitre une fin brutale et tragique durant le règne du roi fou Théodoric. Le franc-parler des anciens du Poing était comme une mauvaise herbe pour le parti de Théodoric, et donc le monarque proclama que son autorité portait la volonté divine de Nyméa, elle qui se tient au-dessus de Rhalgr.
Sans surprise, les moines rechignèrent à la demande de Théodoric de vénérer sa personne royale. Comme si c’était le signal, les soldats du roi procédèrent à l’arrestation de tous les anciens au motif de la trahison, les soumettant à la torture jusqu’à ce qu’ils confessent leurs plans pour renverser le trône. Les prisonniers furent exécutés pour leurs « crimes » durant l’année 1552, Théodoric lança alors ses forces pour raser le Temple du Poing et fit massacrer tout ceux qui priaient à l’intérieur. Les moines furent massacrés dans le feu et le sang, leur ordre ne laissant que des ruines fumantes, cependant, au cours des années récentes, on peut entendre des nouvelles comme quoi un survivant auto-proclamé serait retourné en Gyr Abania, et qu’il chercherait désormais à reconstruire la gloire passée du Poing de Rhalgr.



L'Etendue de Rhalgr fut construire au pied du Temple du Poing, et il est dit qu’elle reçoit la grâce de la présence du Destructeur lui-même, cela en fit un des lieux favoris pour l’entrainement des moines. Le site resta une ruine noircit durant de longues années suivant l’exécution des ordres macabres du roi fou, mais il sert désormais de donjon à la résistance ala mhigoise.

Rhalgr est généralement décri comme un mage portant un bâton de bronze, et son apparence ajoutée à son pouvoir de commander la foudre, a laissé penser aux érudits qu’il se confond avec Ramuh, le dieu des Sylphs. La théorie avance qu’ils sont chacun un aspect d’une ancienne divinité, et que c’est seulement les légendes transmises par les différentes races qui a donné naissance à la perception de deux divinités distinctes.



La tribu des M :

Ayant pour demeure les franges depuis les ères passées, la tribu des M a joué un rôle vital dans la lutte pour la libération d’Ala Mhigo. Que cette tribu ait survécu jusqu’à ce jour n’est pas à moitié due aux efforts de sa tribu, qu’ils soient grands ou petit.

Durant l’âge du froid sans fin, une grande vague migratoire vit les tribus de Miqo’te traverser les mers gelées d’Eorzea. Suivant la rivière Velodyna vers le Nord, ils arrivèrent finalement dans la région désormais connue comme Gyr Abania.
Comme les glaces fondait, ouvrant la voie à la Cinquième Ere Astrale, la majorité de ces tribus se dispersèrent à travers le continent, mais les J et les M choisirent de rester, s’établissant définitivement dans les sommets qui seraient plus tard nommé les Marges comme terrains de chasse.
Depuis ces temps-là, la tribu des M a vécu tranquillement dans ces domaines de l’Est de la Velodyna, hors de portée des changements qui se poursuivaient autours d’eux. Ils regardèrent au loin la cité état de Skalla s’élever et retomber dans les Lochs voisins, et survécurent aux flots de la Sixième Ere Astrale et tout ce qui suivit. Bien qu’ils entrassent occasionnellement dans des alliances avec les autres races, ils préservèrent toujours leur identité distincte et foyer niché sur une haute falaise.
Cependant, la résilience de la tribu fut grandement mise à l’épreuve sous la loi impériale. Devenu indésirable sur leur propre terre, ils durent se résoudre à faire tout leur possible pour survivre. Pour limiter le nombre de bouche à nourrir, ils prirent des actions drastiques en abandonnant leur second Nunh, mais cela n’était qu’une solution permanente pour surmonter leurs épreuves. Cela les fit joindre leurs efforts à la résistance mighoise, alors qu’ils recherchaient la paix pour simplement vivre leur vie.

M’rahz Nunh
« Il fut un temps où j’étais le plus faible des hommes de la tribu des M. Ce n’était pas simple, mais à travers un entrainement rigoureux, j’ai finalement grandi pour devenir l’homme que vous pouvez voir aujourd’hui. »
M’rahz avait seulement vingt trois ans quand il défia son prédécesseur en duel et le remplaça comme Nunh, le mâle reproducteur. Bien que ce fut un exploit impressionnant en soit, le Chercheur du Soleil fut le premier à reconnaitre que la partie la plus dure était à venir. Dans les premiers jours, il semblait qu’il ne pouvait plaire à aucune femme, mais la douleur se révéla un professeur efficace, et il prouva rapidement sa sensibilité aux besoins des autres.
Durant les vingt-sept années suivantes, il a protégé son peuple comme mari et comme père. Un défi déjà aux meilleurs moments, cela devint plus difficile quand l’Empire envahi le pays deux décennies plus tôt. Avec leurs terrains de chasses rétrécit et la nourriture se faisant plus rare chaque saison, de nombreuses décisions difficiles furent à prendre. Et l’une des plus dures de toutes fut celles qui son cher ami et second Nunh M’aht devoir quitter le village. Dû à leur histoire, il porte une grande affection à M’zhet, le fils spirituel de M’aht.

M’hahtoa Lhan
« Viens, viens, mange tout ton soul et bois pour retrouver tes esprits. Il y en a plus qu’assez pour tous. »
Selon sa fille M’naago, M’hahtoa est le véritable dirigeant de la tribu des M. Une auditrice attentive et une cuisinière accomplie, accueillant depuis quarante-deux ans ceux qui veulent décharger leurs ennuis et remplir leur ventre dans son foyer, et voient ainsi disparaitre leurs soucis en même temps que leur faim. Que les membres de la tribu, de fort charactère par nature, soit capable de se rallier derrière un seul nunh n’est pas peu dû à sa présence réconfortante.
A côté de ses talents pour la cuisine, la Chercheuse du Soleil est également une chasseuse hors pair, et elle forma M’naago à l’arc de ses propres mains. En de rares moments, elle peut fabriquer des pointes de flèche, mais nul n’est conseillé de la distraire lorsqu’elle travaille.

M’zhet Tia
« Est-ce le bruit d’une demoiselle en détresse ? Ne craignez rien ! Vos cris de désespoir ne resteront pas sans réponses ! Le futur nunh de la tribu des M, M’zhet Tia est arrivé ! »
M’zhet est le fils de M’aht, un ancien nunh de la tribu des M. Avant qu’il n’ait atteint son sixième été, il quitta Le Rocher d’Aguet avec son père qui abandonna volontairement son titre. La décision fut incitée par leur terres de chasses réduite, la conséquence de la loi impériale, mais ces faits n’étaient pas connus du jeune lionceau. Son père serait plus tard assassiné en protégeant leur village, le laissant comme orphelin. Et il dût survivre par lui-même, privé de tout présence pour le guider, il grandit naïf des manières du monde, en en particulier du regard pour les femmes de sa tribu, un manque crucial pour celui qui veut fonder une famille et aspirait à devenir un nunh.
Désormais âgé de vingt cinq ans, le Cherche du Soleil est au sommet de ses années, avec de la résistance pour survivre même aux explosions de grenades (mais avec une faible quantité de poudre), mais seul le temps dira s’il réussira à établit son propre harem.

M’aht Nunh :
« Mes pas pourraient me mener au bout du monde, mais mon cœur sera toujours ici. »
Ensemble avec son co-nunh, M’rahz, ce chercheur du soleil dirigea le peuple de la tribu des M. Quand la nécessité les força à revenir sous la loi d’un seul nunh, plutôt que de faire face à son ami dans un défit comme le dictait la tradition, il abandonna son titre et quitta le village. Il prit avec lui son cher fils, M’zhet et tout deux vécurent isolé dans les montagnes des Franges. Cependant, M’aht n’oublia jamais son peuple et continua de les observer de loin. Au cours d’une de ces patrouilles, il eut vent d’un horrible complot des Qalyana pour déchainer des bêtes sauvages sur son village. Faisant seul face aux créatures, il réussit à les rassembler dans une caverne, mais il ne pût éviter d’être touché par le poison néfaste de ces créatures qui le pétrifia. Avec ses dernières forces, il ensevelit les bêtes sous les pierres, avant d’être lui-même changé en pierre. Il avait seulement vingt-cinq ans.


La résistance Ala Mhigoise :

Cette organisation est formée avec pour objectif la libération de la cité état d’Ala Mhigo de sa soumission aux mains de l’Empire Garlemaldais. Le cœur de la Résistance inclue des révolutionnaires qui se tenaient face la tyrannie du Roi de la Ruine, et est souvent considéré comme un regroupement des mêmes forces qui furent brisées par l’invasion impériale. Plus qu’une force unique et cohérente néanmoins, la Résistance est davantage un rassemblent de nombreux petits groupes, chacun avec ses propres idées et priorités, une organisation qui sert à protéger le mouvement dans son ensemble des agressions impériales. En agissant comme des unités individuelles, la perte d’une cellule ne peut pas mettre en danger la poursuite des objectifs du reste de l’organisation.

Raubahn Aldynn :
« Désormais il est venu le temps où nous, le peuple d’Ala Mhigo, devons décider de la manière dont nous voulons construire pour nous même et les générations futures. »
Raubahn est un Hyurgoth né à Âtrefroid il y a environ quarante quatre hivers, il est connu pour ses armes mortelles, Tizona, et son penchant pour une bonne bouteille d’arak. Il a éprouvé sa perspicacité tactique encore et encore, à la fois comme général de la Flamme Immortelle et comme dirigeant qui coordonna l’Alliance et les forces d’Ala Mhigo durant la guerre pour la libération d’Ala Mhigo.
Après avoir réaliser l’ambition de tout une vie en libérant sa terre natale, Raubahn tenta de revenir à Ul’dah, mais ce fut Nanamo, la sultane auquel il avait juré fidélité, avec le Guerrier de la Lumière, qui encourage son éventuelle décision de rester à Ala Mhigo.
Accueillit à bras ouvert, le général vétéran fut introduit dans le rôle de tête de l’état par intérim et lui fut confié le commandement de l’armée de la nation. Son premier acte fut de proclamée la « Résistance » comme titre officiel de l’armée, un acte qui assura que les luttes et les sacrifices des hommes de la nation ne seraient jamais oubliés.

Lyse Hext :
« Pendant vingt ans, l’Empire nous a dirigé, mais pas plus longtemps. La liberté ou la Mort. La liberté ou la mort. »
Issue du village d’Ala Gannha, cette femme Hyurgoth vécu sous l’identité de sa sœur ainée, Yda, durant la plus grande partie de ses vingt-cinq années. Quand elle revint pour libérer Ala Mhigo, néanmoins elle abandonna ce nom pour le sien, et se mit finalement à porter le costume traditionnel de sa fratrie comme un moyen d’honorer leur mémoire. Aux côtés de ses compagnons des Héritiers, Lyse combatti les forces de l’Empire à travers tout Gyr Abania, et ce fut à la suite d’une de ces escarmouches que Conrad mourant lui confia le commandement inattendu de ses combattants de la liberté. Les actions de Lyse au cours de la guerre furent primordiales pour la victoire dans la libération de sa patrie. Suivant la victoire d’Ala Mhigo, Lyse quitta les Héritiers, ne pouvant concilier leur neutralité avec son rôle de commandant des troupes de la Résistance dans les Marges.

Curtis Hext :
« Mourir est facile soldat. Vivre est plus difficile ».
Un héro de la révolution Mighoise, Curtis était l’un des gardes employés par la maison royale. Incapable de supporter la loi oppressive du roi Théodoric, néanmoins, il prit la fuite avec ses deux filles adorées, Yda et Lyse, pour vivre de la terre comme chasseur. Cependant, la tyrannie de Roi Fou empirait de jour en jour, et Curtis, prit le commandement de ses anciens camarades dans le but de rejoindre les rangs de l’insurrection nouvellement formée. Son charisme naturel lui fit rapidement atteindre une position de commandement, et après de nombreuses batailles durement acquises, il mena la charge qui mit à bas le Roi Fou de son trône. Mais cette victoire fut de courte durée. L’Empire y vit une opportunité de lancer l’invasion dans le sillage chaotique de la révolution et Curtis, à l’âge de quarante et un an fut tué dans les violences qui suivirent, une fin tragique pour un homme qui voulait seulement un futur pacifique pour ses enfants.

Conrad Kemp :
« Bien que nous venions d’une longue route, nous devons aller plus loin encore. Mais nous nous battrons pour chaque ilm, et tôt ou tard, nous arriverons à Ala Mhigo. »
Conrad devint le chef de combattants de l’étendue de Rhalgr d’une bande de la résistance tardivement dans sa vie, mais sa première vocation était celle de praticien de la médecine traditionnelle de Gyr Abania, une forme de soin qui incorporait à la fois la thaumaturgie et l’apothicairerie. Il évita les batailles menées durant le règne du roi Théodoric, mais le conflit finit par le retrouver, sous la loi impériale, il fut persécuté pour ses croyances religieuses et enfermé dans un camp d’internement. Témoin de première main des atrocités perpétrées par ses tourmenteurs, Conrad fut convaincu de rejoindre le mouvement de Résistance et se battit pour le futur de sa patrie assiégée. Sa décision l’éloignât de sa femme, Grede, mais au travers du sacrifice de son mariage pour l’amour de sa nation, cet homme déterminé de soixante dix hivers qui périt sur le champ de bataille, la liberté d’Ala Mhigo fut finalement gagnée.

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Source: Encyclopédia Eorzea I, Encyclopédia Eorzea II
Le Chat Il y a 10 mois et 2 jours
La résistance d’Ala Mhigo :



Un mouvement fondé pour briser les chaines de l’oppression impériale, la Résistance fut construite sur un cœur de membres vétérans, révolutionnaires qui se soulevèrent contre le roi Théodoric dans les derniers jours de la monarchie Ala Mhigoise. Depuis la libération d’Ala Mhigo, la Résistance a depuis été établie comme force militaire officielle de la nation.

Meffrid Noward :
« Nous sommes Ala Mhigois, et les Ala Mhigois n’abandonne jamais quelqu’un d’autres, Les difficultés soient maudites. »
Un homme Hyurgoth déterminé avec un style d’escrime apprit en autodidacte, Meffrid et ses compagnons fondèrent un sanctuaire à la Petite Ala Mhigo après qu’un aventurier les aient aidés à Sombrelinceul. Malgré les dangers que cela impliqué, Meffrid choisit de retourner en Gyr Abania, où il devint un membre pivot dans la bande des combattants de la liberté de Conrad. Il combattit bravement quand Zenos lança sont assaut sur la Brèche de Rhalgr, mais périt sous la lame de Fordola rem Lupus, chef des Cranes. Agé de vingt huit ans à l’heure de sa mort, Meffrind laisse derrière lui une femme et un enfant, une famille à laquelle il avait depuis longtemps fait ses adieux. Tel était son chemin pour les épargner des conséquences de son choix de consacrer sa vie à la Résistance.

M’naago Rahz :
« C’est l’attente qui me rend folle. Rester debout en sachant ce qui va arriver. Je ne m’y habituerais jamais. »
Cette jeune femme de vingt-deux ans originaire de la Roche de l’Aguet rejoignit la résistance pour aider à la libération de son peuple, la tribu des M, de la tyrannie de l’Empire. Alors que M’naago rêvait de se battre dès l’âge tendre de quinze ans, son père insista pour qu’elle devienne d’abord un maître de l’art de la chasse, de peur qu’elle ne devienne un fardeau pour la cause. Elle refuse d’apprendre des compétences banales comme la cuisine et autres pour se consacrer uniquement au perfectionnement de l’arc et de l’épée. Deux étés passèrent quand M’rahz Nunh, le seigneur de M’naago, lui donna finalement la permission de devenir un soldat de la Résistance. Connu pour sa forte personnalité et son implacable candeur, il revenait souvent à M’naago de ramener ses compagnons du bord du désespoir. Lors du réveil de la guerre, elle servit alors comme commandant en second de Lyse, et participa à l’obtention de fonds pour les familles endeuillées.

Wiscar Marshe :
« Je le rendrais fier. Je les rendrais tous fiers ! »
Désormais un fougueux jeune homme de vingt étés, Wiscar était autrefois un jeune hostile, désillusionné par une rude éducation dans le village frappé par la pauvreté d’Ala Gannha. Ce fut ce cœur dur qui lui permit de survivre quand les autres Ala Mhigois de son âge gobèrent chaque mot du Griffon et que ces volontaires pour cette mission ne revinrent jamais. Ainsi lorsque Lyse et Meffrid vinrent pour la première fois dans ce village pour recruter des combattants, Wiscar refusa d’écouter leurs supplications. Il fut forcé de réviser sa position quand un étranger porta secours à un de ses compagnons villageois, un homme que Wiscar avait donné pour mort. Il s’enrôla plus tard comme soldat dans la résistance, et apprit les bases de l’escrime de Meffrid. Encouragé par les conseils d’un aventurier, la philosophie du combat de ce jeune Hyurgoth devint l’idée « quand il y a un doute, double tes efforts. »

J’olhmyn Abah
« Ma ruse féminine ? Je suis un soldat. A peine le genre qui a des admirateurs secrets. »
Née dans la ville d’Ala Ghiri aux côtés de la tribu des J, J’ohlmyn grandit avec les auberges locales et les marchands approvisionnant les forces d’occupations, et elle ne fut pas étrangère aux cruautés désinvoltes des soldats impériaux. De telles expériences favorisèrent son désir de rejoindre ceux qui combattaient leurs oppresseurs, et le jour de ses dix-huit ans, elle brisa ses liens avec sa mère et s’enfuit de chez elle. L’explication qu’elle laissa dans une lettre était qu’elle voulait s’enrôler dans la Résistance.
Désormais âgée de vingt-trois étés et un soldat de plein droit, J’olhmyn formerait un lien avec Alpa, une Anantan sœur de bataille également stationnée à l’Etendue de Rhalgr, un lien qui fut appondis par le travail pour réutiliser Castellum Velodyna, et surmonta les différences entre leurs peuples.

Giff Boardshead :
« Aussi heureux que je sois que les chevaucheurs de griffons puissent aider à maintenir la sécurité de la région de la Velodyna. Ce n’est pas la position la plus simple de patrouiller à pied, donc je suis certain que cela fera la différence. »
Giff est un homme Hyurgoth de quarante deux étés, et il est le chef des maîtres des bêtes de la résistance mhigoise. Dans la période qui précéda l’invasion de l’empire, il appartenait au régiment royal des chevaucheurs de griffons, où il apprit à élever et entrainer les créatures volantes. Comme un fervent patriote, Giff exprima une répugnance pour l’architecture sans âme impériale, et se fit l’avocat de la destruction de Castellum Velodyna.

Orella Rushton :
« Trop de blessés, trop peu de médecins, beaucoup trop pour se faire du souci à ce propos. Donc, je ne m’en fais pas. A la place, je prie chaque jour pour que le combat prenne fin. »
Une femme Hyurgoth de vingt-neuf étés, Orella « Touchée des Cieux » travaille comme une infirmière soignant pour la Résistance. Quelques années plus tôt, elle et sa famille furent conscrit par l’Empire et force de travaille dans la construction d’un castrum. De longs heures de travail et des conditions insalubres mena au déclanchement d’une épidémie, et malgré les meilleurs efforts de l’infirmière pour rétablir leur santé, son père et ses frères succombèrent aux privations et à la maladie. En tant que membre engagé dans la résistance, Orella n’a jamais arrêté sa bataille contre la mort définitive.

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Source: Encyclopédia Eorzea I, Encyclopédia Eorzea II

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