[Nation] Ul'dah

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Le Chat Il y a 10 mois et 20 heures

Ul’dah

 

Au cœur de l’aride désert de l’Aldenard méridional se dresse Ul’dah, un centre commercial animé et la dirigeante de la région du Thanalan. La cité émerge soudainement après des malm et des malms d’étendues poussiéreuses, protégée des tempêtes de sable par l’étreinte de ses solides fortifications.

Drapeau : Le drapeau d’Ul’dah porte sur un champ de noir une balance d’or, qui semble peser le joyau de la prospérité à sa gauche, et la flamme du pouvoir à sa droite. Cet emblème a pour origine Belah’dia, où la balance pesait le pouvoir et la sagesse. Ainsi, ses héritières jumelles de cette civilisation en prirent chacune un sceau : Ul’dah la flamme, et Sil’dih les raisins de la connaissance.


 


Devise : Pour l’Argent et la Patrie.

Gouvernement : Les membres de la dynastie des Yl clament leur souveraineté par droit de naissance. Leurs volontés étant mise en œuvre par le Divan, un groupe de huit vizirs qui ont tout pouvoir en matière de loi, de finance, d’ingénierie, de politique intérieure, de commerce, de guerre, dans les affaires religieuses et celles du palais. Toutefois, l’influence des sultans va décroissant depuis quelques temps, et à présent, le vrai pouvoir est détenu par le Syndicat, un conseil incarné par six des plus influents et puissants personnages d’Ul’dah.

Dirigeant : Sultane Nanamo Ul Namo, dix-septième dans la lignée des Ul.

Corps dirigeant : En tant que Sultanat, toutes les organisations du gouvernement servent à faire réalité les volontés et la politique des dirigeant Uldéens.

Distribution raciale :
Hyur : 30%
Lalafell des Dunes : 40%
Hyurgoth : 10%
Roegadyn du clan du feu : 10%
Autres : 10%
Note : les races des réfugiés ne sont pas reflétées dans ces nombres.

Religion : Nald’thal, veille sur le monde du dessous, et incarne le dieu du commerce, il est la divinité gardienne d’Ul’dah. Alors que beaucoup croient qu’il possède une nature duale, les Uldéens le voient comme des jumaux, et vénèrent séparément Nald et Thal. Dans les âges anciens, l’Ordre de Nald’thal s’est dévoué lui-même à cette tâche, et encourage les dévots à donner leur argent, par vertu dans leur vie, et pour leur bonheur dans le royaume de Thal.

Guildes : Ul’dah est le foyer de plusieurs guildes, en particulier celle des gladiateurs, des pugilistes, des occultistes, des orfèvres, des couturiers, des alchimistes et des mineurs.

Industries :

Commerce : Avec une porte sur les cinq mers et des routes pour tous les coins du continent, Ul’dah a depuis longtemps fleurit comme un centre du commerce. Aujourd’hui, d’innombrables compagnies et consortiums, les deux plus ou moins grands, opèrent dans la cité-Etat.
Minage : Sous les terres du Thanalan courent d’innombrables veines de minerais de qualité, et cela a eu pour résultat, de développer le commerce de l’orfèvrerie.

Textiles : En plus de produire les tissus essentiels à l’usage quotidien, une vaste production de vêtements prestigieux a grandit sous les auspices d’un nombre sans cesse grandissant de personnes riches. Comme incarné par les Tapisseries de Soiesolaires, un grand nombre de marques importantes sont devenues populaire même hors des frontières d’Ul’dah.

Médecine : Grâce à l’étude inlassable des maux à l’étude de Frondale, Ul’dah s’est construit une réputation de producteur d’alchimie et de soins traditionnels.

Divertissement : La cité-Etat offre quelque chose pour tous les amateurs de plaisirs, des combats de gladiateurs au Colisée, aux jeux d’argents au Mirage de Platine, en passant par les jeux de chance au Gold Saucer des Manderville.

Croyances : Dans la cité des marchands, tout a un prix, et les affaires ont une place sur un piédestal presque sanctifié. Les commerçants ne montrent aucune pitié envers leurs rivaux, et quelqu’un qui perd tout son argent n’est pas vu comme une victime, mais bien plus comme un idiot. Pour les autres Eorzéens, les habitants de la cité peuvent être vu comme des escrocs qui ne travaille pour rien d’autre que le profit. Toutefois, le cœur des valeurs uldéennes sont le travail acharné et l’audace et ont mené de nombreux hommes à construire une grande fortune au cours de leur vie.

Cuisine : Peu de légumes poussent dans la chaleur du Thanalan, ainsi la cuisine uldéenne consiste largement en viandes et insectes, fortement assaisonnées avec des épices locaux ou importés, bien que certains affirment que cela cache simplement le gout de nourriture qui seraient normalement jugées impropres à la consommation. L’alcool d’autre part, est particulièrement apprécié, d’autant que les arts de la guilde des alchimistes ont donné naissance à des techniques de distillation utilisées pour des liqueurs aux saveurs complexes et subtiles.


         


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Source: Traduction de l'Encyclopedia Eorzea I
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Histoire :





Ascension et chute de Belah’dia :
L’aube de la Sixième Ere Astrale vit une grande souffrance des mages. Ils avaient dirigé le continent pour un âge, cependant leur art avait apporté une grande destruction, et nombre de gens demandèrent qu’elle soit carrément interdite. Naturellement, tout ceux qui maîtrisaient les sorts, même de façon lointaine firent face à une forme de persécution. Les rares personnes qui utilisaient la sorcellerie pour se protéger des pierres d’une paysannerie craintive étaient souvent soumis aux pires représailles. La seule voie laissée aux mages était de fuir et se cacher dans les périphéries éloignées de la civilisation.
Alors que le temps passait, peu à peu la mémoire devint Histoire, et l’Histoire, légende. Après plusieurs siècles, les hommes oublièrent leur peur de la magie, et finirent par désirer à nouveau celle-ci comme un moyen d’affirmer leur pouvoir militaire. Par conséquent, ce furent les héritiers lalafells de Mhach, l’une des civilisations de la Cinquième Ere Astrale, qui finalement réclamèrent la place légitime de mage. Se regroupant, ils firent leur les étendues sauvages du Thanalan, et ils y usèrent des arts de leurs ancêtres pour trouver l’eau coulant sous les terres desséchées. Ce qui avait commencé comme un puits devint une ville, et grossit jusqu’à devenir la nation de Belah’dia durant l’année 737.

Les jumeaux divisés :
La civilisation belah’dienne fleurit dans une paix relative durant deux cents ans. Cependant tout changeât en 964, quand le sultan tomba gravement malade et fut confiné dans son lit de malade. Ceci déclencha une lutte féroce entre Sasagan et Sasawefu, ses deux fils, pour savoir qui pourrait s’assoir sur le trône en tant qu’héritier légitime. Les jumeaux firent chacun appel à soldats qui leurs étaient loyaux et la nation fut bientôt ravagée par la guerre. La mort du sultan un an plus tard ne fit rien pour mettre fin aux combats, et durant l’année 969, les princes déchirèrent de manière définitive Beha’dia en deux. Chacun d’entre eux érigea une nouvelle cité dans le Thanalan, Sil’dih sous le règne de Sasawefu, et Ul’dah sous celui de Sasagan.
Pendant les siècles qui suivirent, les cites-Etats jumelles continuèrent d’alimenter le conflit. Néanmoins, ce fut les actions du roi Lalawefu de Sil’dih en 1159 qui brisa définitivement leurs relations. Instituant un contrôle sur l’eau pour sauver l’économie malade de sa nation, Lelawefu commença à puiser dans les eaux des échelons supérieurs des sources d’Ul’dah. L’action fut populaire à Sil’dhi, et le peuple proclama son monarque, le roi des Sources. Les Uldiens néanmoins, laissèrent siffler des malédictions à travers leurs lèvres desséchées. La scène ainsi, était prête pour la guerre.

La mort en marche :
En 1177, une sécheresse survint dans le Thanalan et le roi Lalawefu succomba à la maladie. Cette malchance poussa Ul’dah à l’action, la nation sœur de Sil’dih tirant profit de la confusion. L’année suivante, la cité-Etat marcha avec toute ses forces sur Sil’dih pour réclammer ses sources d’eau. L’élite de Sil’dih néanmoins ne resta pas passive. Elle unit sa nation pour faire face à la crise et opposa à Ul’dah sa propre armée. La guerre qui en résultat fut longue et sanglante. Cependant, malgré d’innombrables étés de campagne l’une contre l’autre, aucun des partis ne pouvait clammer sa supériorité, et le conflit montra peu à peu des signes de tirer vers sa fin.
En 1181, néanmoins, Ul’dah trouva un moyen de sortir de l’impasse, une poudre conçue par les occultistes, qui transformait le corps des humains en zombis. Ayant posé le siège de Sil’dih, les Uldéens utilisèrent leurs catapultes pour lancer la substance sur les citoyens enfermé à l’intérieur. Ce qui suivit fut une scène toute droit sortie des sept enfers. Les corps de ceux ayant succombés à la faim se relevant un à un et attaquèrent leurs propres concitoyens.
Pour expliquer les cris de souffrance, Sasagan Ul Sisiga, le troisième du nom et dirigeant d’Ul’dah conçu un conte fictif : Sil’dih avait transformé ses propres morts en zombis pour tenter de gagner la guerre. Proclamant une croisade sacrée pour rendre ses zombis à Thal, il ordonna aux soldats de la Flamme Immortelle, une unité d’élite, d’entrer dans la cité. Derrière eux suivit un vaste ost, et ensemble, ils purgèrent les morts animés. Ainsi, Sil’dih tomba.

Une nouvelle dynastie :
Ayant apporté la fin aux troubles d’Ul’dah, Sasagan Ul Sisigan plaça la poudre restante sous protection rapprochée, et garda cachée la vérité aux masses sur la fin de Sil’dih. Le silence fut maintenu pendant quarante années, jusqu’à ce que Baldurf Thorne, un Hyurois de sang noble, apprenne la vérité, et accuse Sasagan pour son crime. Surprit, le dirigeant âgé sombra dans la rage, et demanda la tête de l’offenseur. Néanmoins, nul ne bougeat un doigt, encore moins une arme, car Baldurf était connu comme un homme vertueux. Sasagan fut emprisoné et passa le reste de ses jours dans la fosse de Marasaja.
Ceux entourant Baldurf lui demandèrent de servir comme sultan. Bien qu’il refusât en premier lieu, il finit par accepter à la condition qu’il soit un intendant, dirigeant jusqu’à ce que la cité-Etat soit redevenue stable. Le nouveau sultan ne fit jamais connaitre l’existence de la poudre au public, de peur qu’elle ne tombe en de mauvaises mains. Au lieu de cela, il établit les Arbitres de la Vérité, un groupe dévoué à préserver la vérité sur la chute de Sil’dih pour le futur.
La dynastie Throen régna pendant deux cents étés suivants, et produisit de nombreuses réformes importantes. En 1270, l’on déplaça Ul’dah presque au-dessus de l’endroit où sa cité sœur s’était autrefois dressée. Quand les morts-vivants se dressèrent des anciens vestiges des canalisations de Sil’dih en 1353, l’on demanda l’aide des Amalj’aa, de féroces ennemis d’Ul’dah. En s’appuyant sur la croyance que le Thanalan était sacré, ils se joignirent rapidement aux Ul’diens pour exterminer la présence impure. Avec ce fait, les héritiers des Thorne sentirent que leur devoir était accompli, et rendirent le pouvoir à la dynastie des Ul.

Le Syndicat :
Les Amalj’aa n’étant plus une menace, Ul’dah avait gagné le contrôle du Thanalan par la destruction de sa voisine Sil’dih. C’est alors que la cité-Etat commença à vraiment s’établir comme un pouvoir commercial, embauchant des marins et achetant des navires limséens au début de l’année 1190. Ainsi s’ouvirt le commerce avec Radz-at-Han et le reste du Proche Orient. Derrière la direction de la dynastie Thorne qui avait restaurait les marchés ul’diens et les routes terrestres après le déplacement de la cité. Héritant de leur vision de la nation, la seconde dynastie des Yl travailla à améliorer le commerce, et sous sa loi, la nation fleurit.
Cependant, cette même politique permit à la classe marchand de grandir en puissance alors que ses coffres se remplissaient, en dérobant de son influence au sultanat dans une égale mesure. Ainsi, durant l’année 1401, la ligéne désemparées des Ul vit l’établissement du Syndicat, un groupe de six conseillés choisit parmi les marchands les plus riches d’Ul’dah. Ce groupe en vint à prend le contrôle du gouvernement, et représente désormais le vrai pouvoir dans la cité-Etat.

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Source: Traduction de l'Encyclopedia Eorzea I
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Chronologie :




Sixième Ère Astrale:

An 1 : Le climat glacé apporté par le grand déluge se calme, annonçant l’avènement de la Sixième Ère Astrale.

An 350 : Les tribus hyurs émigrent en masse depuis le continent nordique d’Ilsabard dans la première des grandes migrations, et leur nombre en Eorzea commence à croître.

An 660 : Les Hyurs émigrent en masse au cours de la seconde grande migration.

An 700 : Les descendants lalafells des mages de Mhach arrivent sur les frontières lointaines du Thanalan.

An 737 : Les colons mhachois dans le Thanalan fondent le royaume de Beha’dia.

An 750 : Les Hyurs émigrent en masse durant la troisième et dernière grande vague migratoire.

An 755 : Albin le Cendreux, un chef hyur, guide sa bande d’hommes pour envahir le Thanalan, et ils sont rapidement dispersés par les forces de Beha’dia.

An 871 : Lalafuto III, sultan de Beha’dia, disparait dans d’étranges circonstances.

An 873 : La longue recherche du roi Lalafuto III est abandonné et son épouse Memeto est couronnée sultane régnante.

An 902 : Les Sharlayanais signent un accord avec Beha’dia pour construire un réseau d’éthérites à travers le Thanalan, menant au développement du premier réseau à part entière d’Eorzea.

An 964 : La guerre civile éclate à Beha’dia entre les princes jumeaux Sasagan et Sasawefu chacun réclamant leur droit sur le trône.

L’armée de Sasawefu utilisent les éthérites pour une attaque surprise sur le camp de Sasagan. En représailles, l’armée de Sasagan détruit une éthérite en cours d’utilisation, causant la perte de près de huit cents hommes de Sasawefu qui disparaissent sans la moindre trace.

An 969 : Beha’dia est divisée en deux nouveaux royaumes : Sil’dih sous le règne de Sasawefu, Ul’dah sous celui de Sasagan.

Le père fondateur d’Ul’dah, Sasagan Ul Sisigan forme les Casques d'Argent à partir des chevaliers qui contribuèrent à la naissance de la nation. La lame sacrée « la Gardienne du Serment » est confiée à leur dirigeant, et trois des meilleurs paladins se voient offrir les épées « Curtana », « Joyeuse », « Durandal » forgés à partir de la même pierre.

An 1000 : Ul’dah fait pour la première fois appel aux mercenaires roegadyn et hyurgoth pour poursuivre sa guerre contre Sil’dih.

An 1100 : Un colisée permanent est édifié alors que la culture des combats de gladiateurs s’ancre profondément à Ul’dah.

An 1159 : Lalawefu Sil Tatawefu monte sur le trône de Sil’dih et augmente les taxes pour soutenir ses réformes économiques.

An 1162 : Lalawefu prend des mesures pour sécuriser des ressources d’eau stables, et il est surnommé le « Roi des Sources » par son peuple. Cet acte est un coup sérieux porté à Ul’dah alors que l’approvisionnement en eau de Sil’dih est détourné des réservoirs les plus hauts du sultanat frère.

An 1177 : Lalawefu de Sil’dih succombe à la maladie.

Une sécheresse s’abat sur le Thanalan. Sil’dih est frappée par un déclin économique, et son peuple fait entendre sa voix pour faire valoir son mécontentement contre les taxations excessives du Sultanat.

An 1178 : Ul’dah envahi Sil’dih pour reprendre ses ressources en eau. Sil’dih prend avantage de la crise pour unifier son peuple derrière une cause commune, et mène une guerre de résistance contre sa cité-Etat sœur.

An 1179 : Ul’dah emploie les services de mercenaires mighois et de soldats de fortunes pour grossir ses rangs afin de mener le siège de Sil’dih.

An 1181 : Les occultistes d’Ul’dah développent le « Mépris des Marchands », une décoction alchimique ayant le pouvoir de réanimer les morts. Avec cette arme dévastatrice, ils sèment la dévastation dans Sil’dih.

An 1190 :  Après sont triomphe sur Sil’dih, les émissaires venus d’une Ul’dah florissante acquièrent des vaisseaux construit à Limsa Lominsa font voile vers le Proche Oreitn pour établir des routes de commerce.

An 1200 : Les marchands Ul’déens commencent à armer leurs navires pour protéger leurs marchandises en haute mer, mais luttent pour repousser les pirates limséens et leur maîtrise supérieure de la navigation.

An 1224 : Sasagan III est emprisonné et déchue de son trône lors d’un coup politique. Baldric Thorne est couronné sultan, marquant le début de la dynastie Thorne.

An 1267 : La fille unique de Baldric Thorne, Edvya disparait du palais. Craignant le pire, le sultan ordonne une fouille complète de la cité pour retrouver la princesse. Les Casques d'Argent retrouvent finalement Edvya avec l’aide d’une jeune fille de basse naissance. L’incident sera plus tard retenu comme un jour férié national, « Le jour de la petite dame ».

An 1270 : Ul’dah déplace sa capitale au-dessus des ruines de la Sil’dih brisée.

An 1272 : Les esclaves géants hecatonchires de la mine de Clochecuivre se révoltent contre leurs maîtres quand les enchantements de leurs heaumes se brisent, et les mineurs forcent l’effondrement des passages les plus profonds pour bloquer les géants avec. La mine est fermée après que ses veines de minerais se sont taries.

An 1353 : Des vagues de morts vivants se déversent des conduites d’eau souterraines de Sil’dih sous la cité.

Répondant à une série d’attaques de zombis à travers le Thanalan, le sultanat approche leurs ennemis de toujours, les Amalj’aa, leur proposant de joindre leurs forces contre leur ennemi commun zombi. Les Amalj’aa désireux de nettoyer leurs terres sacrées des morts qui marchent, acceptent l’offre, et Zahar’ak est établie comme une garnison conjointe.

Des mercenaires mighois sont employés par Ul’dah, dans l’effort du sultanat de purger la cité des morts-vivants.

An 1355 : Avec l’aide des mercenaires mhigois, le sultanat réussit à se débarrasser la cité des morts vivants pour longtemps.
La maison royale des Thorne abdique du trône et restaure la souveraineté de la maison Ul, marquant l’ascension de la seconde dynastie des Ul.

An 1388 : Sasamo Ul Samo échoue dans son complot pour détrôner la sultane régnante, sa sœur ainée.

An 1415 : Un gisement important de mythril rare est découvert dans le Thanalan, débutant la course folle au mythril et une période sans précédent de prospérité.

An 1421 : La propriétaire de la taverne Amajina recrute de nombre de ses clients réguliers pour fonder le Consortium minéral Amajina et Fils, une exploitation minière.

An 1466 : La guilde des orfèvres d’Ul’dah adapte les mécanismes d’horloge pour créer le premier pantin, une poupée vivante. Le prototype de pantin est nommé Mnejing.

An 1469 : L’occultiste Ququruka Tataruka est déclaré coupable de pratique de magie interdite et emprisonné dans le puits de Marasaja.

Les nations d’Ishgard, Ul’dah, et Limsa Lominsa viennent au secours de Gridania, et leur forces combinées forces l’armée mhigoise à stopper leurs avancées à la fin de l’Est. Le général Gylbarde tombe au combat, et le roi Manfred est blessé quand il se précipite sur le front pour restaurer le moral. La seconde battle de Tinolqa se conclue par la victoire décisive pour l’Alliance.

An 1476 : Le marchand ul’dien Tatanora achète un dirigeable confisqué aux Ixali par les Flèches Divines à Gridania. Utilisant ses connaissances des vapeurs de ceruleum découvert lors de ses travaux, il amasse une fortune dans la production et la vente de caravanes chocobo.

Les grandes caravanes marchandes utilisant des chariots chocobo sont organisées, et s’ébranlent vers l’Est. Pendant ce temps, Ala Mhigo est forcée de réduire énormément ses taxes routières comme une partie des termes du traité concluant la guerre de l’Automne. Cela a pour résultat u regain de popularité du transport terrestre comme alternative aux routes maritimes menacées par les pirates.

An 1477 : Le commerce florissant et les échanges transfrontaliers sont prompt à nécessité une standardisation des devises et des mesures. Par un consensus des six cités-états, le gil, l’ancienne monnaies d’Alag est ressuscité et adoptée comme devise universelle, ainsi que le système ilm/onze est adopté comme système de poids et mesure.

An 1481 : De riches marchands investissent de larges sommes dans le Colisées, lequel utilise ces fonds pour construire Halatali, un terrain d’entrainement pour gladiateurs professionnels.

An 1520 : La légendaire bagarreuse Cornelia unit les gladiateurs versés dans le pugilat dans l’espoir de faire perdurer son incomparable style de combat à main nue aux futures générations.

An 1522 : Tatanora réussi à reproduire les technologies ixali et à construire des dirigeables en grande quantité, conduisant à une explosion de l’exploration des airs.

An 1531 : Tatanora utilise son immense fortune pour fonder Highwind Skyways, une compagnie privée tournée vers le tourisme et les voyages commerciaux du trafic aérien.

An 1555 : Le sultan régnant, Sasabaru Ul Sisibaru est marié à Nanasha Ul Nasha.

An 1556 : Nanamo Ul Namo, première fille du sultan et héritière du trône est née.

An 1559 : Sous l’influence du Syndicat, le sultanat passe une loi interdisant le commerce avec les tribus d’Hommes-bêtes. Tous les hommes bêtes sont chassés de la cité, sont épargnés seulement une poignée de riches marchands Qiqirn et d’autres rares exceptions.

Raubanh, désormais âgé de vingt sept ans, arrive dans le Sultanat et est pris à tort pour un espion impérial. Il est emprisonné par les Lames de Cuivre et est forcé à se battre dans les fosses à gladiateurs.

An 1561 : Le sultan Sasabaru et la sultane Nanasha périssent dans un accident alors qu’ils voyageaient à l’étranger. Nanamo Ul Namo est couronnée dix-septième souverain régnant à l’âge de cinq ans.

Limsa Lominsa, Gridania, Ul’dah et Ishgard forment une alliance militaire conjointe pour faire face à la menace imminente d’une invasion garlemaldaise, et l’Alliance éorzéenne est formellement établit.

An 1562 : Un gobbue brise se libère de ses chaines arcaniques durant une parade et se lance dans une course éperdue à travers les rues. Ascilia, une des spectatrices devint orpheline à l’âge de douze ans quand son père est tué par la bête déchaînée.

An 1563 : L’alliance éorzéenne militaire conjointe se disperse après l’abandon des troupes ishgardiennes, jusqu’alors le plus gros contingent de tout les membres. Un conseil de sécurité allié est établi à la place, ne reste de l’alliance militaire que son nom.

Highwinds Skyways annonce un partenariat avec les forges de Garlond, une collaboration qui porte ses fruits sous la forme d’un modèle de vaisseau léger utilisant une propulsion au céruleum. Avec cette nouvelle technologie, Hinghwind Skyways commence à offrir des services de voyages passagers réguliers connectant les trois grandes cités-Etats.

An 1564 : Le puits de mythril T-3, un site d’excavation dans le sud du Thanalan dirigé par le consortium minéral Amajina & fils, est détruit par ce qui est décrit comme « un mammouth monstrueux auréolé de flammes ». Ceci est plus tard déterminé comme la première rencontre enregistrée d’une observation d’Ifrit, le seigneur des Enfers.

An 1565 : La sultane Nanamo Ul Namo montre de la miséricorde pour le gladiateur Raubahn, l’épargnant quand sa vie est en danger lors d’un combat truqué dans le Colisée.

An 1567 : Hildibrand Helidor Maximilian Manderville, fils de Godbert et héritier de la puissante maison Manderville, s’enfuit de chez lui.

An 1568 : Minfilia, âgée de dix huit ans, fait sa première rencontre avec l’archonte Louisoix par le biais de son ami Thancred, et apprend qu’elle possède un pouvoir connu comme l’écho.

An 1570 : Highwind Skyway suspend ses services aériens de voyages réguliers de façon indéfinie après des attaques répétées par les forces garlemaldaises sur les vaisseaux civils, limitant les vols à des circonstances extraordinaires.

Raubahn conclue un cycle de milles victoires sans précédent dans l’arène. Il achète ensuite le Colisée avec l’argent de ses prix et gagne pour lui-même un siège au Syndicat.

Au Colisée, le maître de guilde de la guilde des gladiateurs perd la vie un combat fixe qui choque la nation. En conséquence de l’incident, le gladiateur populaire, Aldys, connu comme l’épée de Nald est banni d’Ul’dah.

A l’âge de vingt ans, Minfilia fonde le Passage des Douze, où ceux qui possèdent le pouvoir de l’Echo peuvent se regroupent et explorer comment l’étendue de leurs pouvoirs peuvent servir au bien commun.

An 1572 : Les cités-États de Limsa Lominsa, Ul’dah et Gridania forment leurs grandes compagnies.

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La Flamme Immortelle :




Établissement :

L’impulsion initiale pour restructurer les forces armées d’Ul’dah vient de Raubahn Aldynn, et prit ses racines dans sa loyauté à la sultane, quelque chose qui n’est pas partagé avec ses confrères membres du Syndicat. Comme le gros de la force militaire d’Ul’dah vient de leurs osts de mercenaires, et du contingent désormais déclinant des gardes du palais connus sous le nom de Casques d’Argent, Raubahn proposa une armée permanente pour amener de l’ordre dans leurs rangs et superviser un entrainement supplémentaire en ces temps de guerre. Finalement, c’était un moyen pour renforcer la puissance globale d’Ul’dah, et après d’intenses consultations avec le Syndicat, la sultane ordonna que cette grande compagnie soit établie.

Symbole :

A la différence des Casques d’Argent, qui sont chargés de la protection du Sultan et du palais, les Immortels furent jadis une force d’élite crée pour assurer la victoire d’Ul’dah sur le champ de bataille. Leur esprit combattant était légendaire, et innombrables sont les chants qui parlent deux et de leurs valeureuse croisade pour vaincre les zombis à l’intérieur des murs de Sil’dih.
Bien que la dynastie Thorne démantela les Immortels, les Ul’diens continuèrent de les voir comme des héros qui contribuèrent à la prospérité de la nation. Dans les faits, c’était largement la pensée de Raubahn pour choisir ce nom pour sa Grande Compagnie, précidement parce qu’il pouvait ainsi souffler sur la flamme du patriotisme ul’déen, et par conséquent aider à la faire de son organisation une réalité.

Caractéristique :

Actuellement, les Immortels sont connus comme l’ossature des forces de l’Alliance Eorzéenne, mais elles sont moins nombreuses que celles du Maelstrom ou de l’Ordre des Deux Vipères. En effet, la principale force est composé de trois Grandes Brigades de seulement deux cent trente-six hommes chacune, bien que cela ne prenne pas en compte les Sangs jurés, qui servent directement le général Immortel Raubahn, dirigeant de la Flamme Immortelle. Cependant s’ils sont moindres par leurs nombres, les Grandes Bridages dirigent les bandes d’épées louées des Lames de Bronze et des Torches de Pierre dans leurs formations, et leurs efforts ont produit une force armée incomparable.
Les Bridages Étrangères, une autre particularité des Immortels, sont une unité crée par l’ordre de Raubahn. Comme un moyen de renforcement pour les forces d’Ul’dah, son choix de recruter des soldats dans les réfugiés mhigois s’est avéré très profitable. Le mouvement, néanmoins, a également rendu les Monétaristes prudent, la faction dirigeante du Syndicat, qui craint le pouvoir grandissant de la Sultane et de ses conseillers.



Raubahn Aldynn :
« La ligne entre victoire et mort est tirée par la rapidité et la foulée pour tuer ».
Né dans un hameau sans ressources au plus profond de Gyr Abanya, Raubahn Aldynn rejoignit les forces armées de sa nation maternelle, Ala Mhigo, et fit beaucoup pour défendre ses frontières des attaques garlemaldaises. Quand le Hyurgoth eut vingt cinq ans néanmoins, sa nation tomba. Raubahn s’échappa avec à peine plus que sa vie, et passa deux années à vagabonder avant d’arriver à Ul’dah. Où il fut par erreur prit pour un espion impérial et immédiatement emprisonné.
Durant les années suivantes, Raubahn combattit en tant que gladiateur dans les sables du Colisée. Maniant l’ancienne technique de danseur des lames de Gyr Abania, il gagna sa liberté, l’amour du peuple et un surnom, « le Taureau d’Ala Mhigo ». Au moment de son trente septièmes anniversaires, il finit par avoir cumulé un millier de victoires. Avec ses gains, il acheta le Colisée lui-même, et gagna ainsi pour lui-même une place parmi le Syndicat.
Désormais âgé de quarante quatre ans, certains de se demandent si ses plus dures batailles n’attendent pas encore le seul membre du Syndicat loyal à la Sultane.

Tizona :
Les Tizonas sont un jeu d’armes composées de deux lames courbes, et furent prise des mains d’un ancien rival dans le Colisée. Avec un nom que l’on pourrait grossièrement traduire par « Epée des flammes », sa magie maudite est si puissante que l’arme embrasera tout ceux qui ne peuvent la contrôler.

Pipin Tarupin :
« Je refuse d’abandonner Ul’dah aux Monétaristes et leurs amis. »
Le Vice-maréchal de vingt-cinq ans des Immortels, Pipin Tarupin est né d’un père ivrogne qui le vendit à un homme du Colisée pour remplir sa chope. Là, le garçon fit la rencontre du Taureau d’Ala Mhigo, qui gagna sa liberté. Cependant, le jeune Lalafell des Dunes réalise qu’il serait rapidement revendu à nouveau s’il retourné chez lui, et supplia Raubahn de l’entrainer comme un gladiateur. Touché par le désir du garçon de prendre en main son propre futur, le Mhigois trouva un moyen légal d’adopter Pipin comme son fils. Grandissant sous la protection de Raubahn, Pipin en vint à connaitre un grand succès en tant que mercenaire, et fut impliqué dans la fondation des Immortels. Finalement, il en vint à servir comme Sang juré directement sous les ordres de son père adoptif.
Bien que mortellement sérieux sur la question du devoir, Pipin peut profiter d’une bonne dose de spiritueux Uldéens chaque soir, le plus fort, le meilleur.

Swift Ryder :
« A jamais nous jurons de respecter notre serment : Pour l’argent et la patrie ! »
Second fils d’une famille marchande hyuroise, Swift Ryder ne manquait de rien dans sa jeunesse. En effet sa passion pour les courses de chocobo guida sa jeunesse aisée. Toutefois, il choisit de devenir un aventurier, et se fit embaucher dans les troupes de son frère ainé, Jakys. Tout deux avaient apprit comment se défendre l’un l’autre à l’épée dans leur enfance, et ce savoir les mena tout deux vers un grand succès. Swift se distingua lui-même contre les Amalj’aa et sorti bientôt du lot de ceux de la profession. Il rejoignit les Immortels sous les ordres de son frère. Quand son frère périt à la bataille de Carteneau, Swift fut brisé par le chagrin, les deux ayant rarement été séparés. Finalement, il se remit, et a prêté deux serments qu’il tient fermement dans son cœur même aujourd’hui à l’âge de vingt-huit ans : l’un étant de servir en tant que commandeur de la Brigade Franche, et l’autre de venger la mort de son frère.

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Organisations :



La Dynastie Ul :
La lignée des Ul remonte à Sasagan Ul Sisigan, le premier du nom et fondateur d’Ul’dah. Depuis que leurs droits à dirigé a été restauré par la famille Thorne, la seconde dynastie des Ul a régnée de façon ininterrompue. A présent, la sultane Nanamo Ul Namo, la fille unique de Sasabal Ul Sisibal et Nanasha Ul Nasha porte la couronne. Dix-septième de la lignée, elle accéda au trône suivant la mort malheureuse de ses parents. Néanmoins, la sultane n’exerce que le peu du précieux petit pouvoir qui lui reste à côté de la puissance du Syndicat.

Nanamo Ul Namo :



« La vrai force d’Ul’dah repose sur la santé, le bonheur et l’espoir de ses citoyens ».
Une fille du peuple des Dunes de sang royal, Nanamo Ul Namo arriva au pouvoir à l’âge tendre de cinq ans quand son père trépassa. Naturellement, personne d’aussi jeune ne pouvait naviguer dans les intrications du gouvernement, et la Sultane fut reléguée au rôle de fantoche royal. Bien qu’elle ait dirigé durant plus d’une décennie et demie jusqu’à ce jour, beaucoup osent l’accuser de n’être rien de plus qu’une marionnette portant la parole du Syndicat.
Elle n’est cependant pas sans alliés. A l’âge de neuf an, elle surprit la cité-état en pardonnant Raubah Aldynn par caprice. Quand celui-ci obtint les gains de ses combats du Colisée, le Taureau d’Ala Mhigo jura serment éternel de servir comme épée de la Sultane. Quand il rejoignit le Syndicat, Raubahn tint sa promesse, et resta entièrement loyal à Nanamo.
Bien qu’elle soit une image de droiture quand elle s’assit sur le trône, Nanamo est toujours une jeune femme de vingt et un an, et a un côté plus espiègle. Elle est connue pour quitter le palais incognito, et prendre le thé et des crumpet au Sable Mouvant.


Le Syndicat :
Le Syndicat est composé d’une demi-douzaine de siège, chacun occupé par un de ceux qui a le plus contribué à remplir les coffres d’Ul’dah. Bien qu’ils servissent initialement en tant que conseillés, à présent, il est le corps dirigeant de la nation. Les Monétaristes, la faction dirigeante, travaillent à établir leur propre gouvernance, bien que Raubahn agisse comme un obstacle à leurs attentes. Toutefois, l’opinion de la Sultane pèse peu de poids.
Compte tenue de la portée du pouvoir offert par le Syndicat, les luttes entre membres sont toujours féroces. Un exemple récent est Eolande Quiveron, qui y siégeait jusqu’à ce qu’il périsse durant la Septième Calamité Ombrale. Le siège resta vacant par l’ancien maître de la Phrontisterie de Frondale qu’il soit offert à Godbert Manderville, cependant, des rumeurs courent abondamment sur le fait qu’Eorlande fut assassiné à la suite d’une querelle au sein des rangs monétaristes.

Membre du Syndicat :
Directeur Lolorito Nanarito, Compagnie Commerciale de l’Aldernard Oriental
Prince Teledji Adeledji, Trust des Mirages
Chef Contremaître Fyrgeiss Loetkilbsyn, Consortium Minier d’Amajina & Fils
Général de la Flamme Raubahn Aldynn, la Flamme Immortelle
Grande Prêtresse Dewlala Dawla
Président Godbert Manderville, Manderville & Manderville


Les Heaumes d’Argent :
Les Heaumes d’Argent, garde personnelle du sultan, furent formé en 969 par décrets de Sasagan Ul Sisigan. Originellement constitué des paladins qui aidèrent à fonder Ul’dah, ils sont restés des défenseurs loyaux de la lignée royale depuis cinq cents ans, même lorsque les dynasties changèrent.
Tandis que leur fidélité demeure à la sultane, les Monétaristes ont manœuvré pour couper les ressources de l’organisation de moitié par rapport au temps de leurs jours glorieux. Ainsi, les Heaumes d’Argent doivent désormais accepter l’aide des Lames de Cuivre même pour garder le Palais Royal. La perte de Garde-Serment, la lame de Sasagan offrit au premier capitaine des Heaumes d’Argent, a eu un effet particulièrement délétère et persistant sur leur pouvoir.

Papashan Nonoshan :
« Au cours de mon mandat officiel comme Heaume d’Argent, j’ai voyagé de long et large à travers Eorzea. Ces expériences m’ont modelé en l’homme que je suis aujourd’hui ».
A homme fier du peuple des Dunes, Papashan se compta autrefois parmi les Heaumes d’Argent, ayant même agit comme bras droit de Solkzagyl, le capitaine en titre. Quand Nanamo monta sur le trône, il la servit comme garde du corps personnel. Pour la jeune sultane qui n’avait plus aucune famille, il devint un second père.
Après son retrait du service actif, Papashan devint chef de gare à la gare de triage d’Ul’dah pour le compte du Consortium Minéralier Amajina & Fils, une prestigieuse position qui convient à un homme de soixante quatre Hivers. Néanmoins, derrière sa personnalité de vieil homme de bonne nature, il continue d’offrir secrètement son aide aux Heaumes d’Argent. Il aussi le grand plaisir de se balader avec Nanamo quand celle-ci quitte le palais sous le pseudonyme de « Dame Lilira », lui-même déguisé comme un intendant.


Les Lames de Cuivre :
Employé par les riches Ul’déens représentés par le Syndicat, les Lames de Cuivre sont des mercenaires chargés de maintenir la paix et l’ordre dans le Sultanat. Bien qu’ils tombent ostensiblement sous l’autorité du Divan, dans la réalité, ils ne sont que trop conscient de qui paient leurs salaires.
Donc, ils sont connus pour accorder des faveurs aux riches, et peu objecteraient qu’on les appelle l’armée privée des Monétaristes. Comme la loyauté des mercenaires peut être achetée, les cas de corruption ont grossit jusqu’à gagner le mépris des honnêtes citoyens. Néanmoins, pas toute les Lames de Cuivre sont sans scrupules, et un petit nombre sont apparemment honorable et sincère sur leur sens du devoir.

Structure et organisation :
Lames de Cuivre de la Rose : Thanalan Occidental
Lames de Cuivre de la Violette : Thanalan Central
Lames de Cuivre de l’Orchidée : Thanalan Oriental
Lames de Cuivre du Lotus : Thanalan Méridional
Lames de Cuivre du Baume : Ul’dah elle-même


Les Torches de Pierre :
Etablit par Fyrgeiss, directeur du Consortium Minéralier d’Amajina & Fils, les Torches de Pierre protègent les intérêts de la compagnie, que cela soit les sites miniers eux même, ou leurs trains de frets et les rails. Bien qu’ils soient une armée privée, les Torches de Pierre ont démontré leur bonne volonté à aider les Immortels, et peuvent recevoir leurs ordres de la Grande Compagnie si la situation l’exige.

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La compagnie commerciale de l’Aldenard Orientale :
La Compagnie commerciale de l’Aldenard Oriental est la plus grande entreprise de ce genre à Ul’dah, et possède des marques aussi célèbres que les Tapisseries des Soieries du Soleil, le Lapidaire d’Eshtaine, le Bric à Brac de Romululu, et le Jolly Raptor, un conglomérat maritime. Dans le passé, les marchands de la compagnie empruntaient les routes commerciales de l’Est, et ont fait leur fortune dans le processus. Depuis la chute d’Ala Mhigo, néanmoins, la Compagnie a prit le parti de mener son commerce à travers les mers à la recherche du profit, et sa sphère d’activité s’étend de Radz-at-Han jusqu’aux contrées lointaines de l’Extrême Orient. En effet, il a même couru la rumeur qu’elle a échangé avec des provinces sous le contrôle de l’Empire Garlemaldais pendant un temps.
La compagnie est connue pour ses pratiques habiles mais parfois déguisées. Il est bien connu qu’elle emploie les Lames de Cuivres pour éliminer les nouveaux venus des marchés, et les dires locaux soulignent que rien ne cause davantage le déplaisir de la compagnie que de perdre une de ses affaires à Ul’dah.

Lolorito Nanarito :
« La richesse d’Ul’dah n’est pas sans limites, mes amis. »
Le principal membre des Monétaristes, Lolorito Nanarito commença sa carrière en tant que porteur dans une caravane. Avec le temps, il créa la Compagnie Commerciale de l’Aldenard Oriental et sa fortune est désormais si vaste qu’elle ne peut être évaluée. Avec le temps, il commença à concentrer ses affaires sur le commerce international, et il est réputé pour avoir fait des relations avec l’élite garlemaldaise, et a même exploité ce lien comme un moyen de faire la paix avec l’Empire. Il est largement assumé que cette ouverture doit s’être terminée par un echec, néanmoins, Lolorito est également connu pour avoir offert son plein support à l’établissement de la Flamme Immortelle.
Ceux qui ont étudié le caractère de Lolorito sont souvent perplexe, comme s’il était un homme qui défie aisément les descriptions. D’une part, il est impitoyable, et n’hésite pas à s’associer avec des criminels au nom du profit. D’un autre côté, il a également montré être disposé à donner la moitié de son (inestimable) fortune pour son Ul’dah natale lorsqu’elle en a besoin.
Comme un homme riche du peuple des Dunes, Lolorito a développé un gout pour les meilleurs choses durant ses soixante-quatre années de vie. Sa principale passion est la nourriture, et il a un gout si exact qu’il est connu dans certains cercles réservés comme le « Gourmet ».


Le Trust des Mirages :
Bien que le Trust des Mirages est devenu célèbre comme le groupe qui exploite les jeux d’argent dans les halles du Mirage de Platine, son cœur d’activité est actuellement une banque, et le prêt d’argent est sa véritable douce de richesse. Le Sablier, la plus célèbre auberge d’Ul’dah, est un autre établissement qui fonctionne dans l’ombre du Trust.

Teledji Adeledji :
« Quand le gouvernement échoue à agir, c’est aux citoyens qu’en revient la responsabilité. »
Un homme Lalafell de cinquante cinq ans, Teledji Adeleji est né d’un père du peuple des plaines de Limsa Lominsa et d’une mère du peuple des dunes originaire d’Ul’dah. Il hérita beaucoup de ses parents, entre autres leur sens du commerce, et avec une petite fortune, il se fit la main dans l’entreprise de prêt d’argent. Accroissant ses fonds par la collecte à des taux usuraires, il commença à acheter des entreprises prometteuses et des petits commerces. Teledji gagna son renom quand il ouvrit le Mirage de Platine, et les fortunés affluèrent en masse pour tenter leur chance dans ses salles. Ses coffres se remplirent, tellement qu’il se mit à la collecte et la collection d’animaux exotiques. Depuis le Fléau, néanmoins, ses gains se sont ralentis. Son projet de loi de la Réclamation de Carteneau aurait pu être un moyen de contourner cela… Comme l’était son complot contre la vie de la Sultane.


Consortium Minier d’Amajine & Fils :
Une compagnie ne manquant pas de prestige, le Consortium Minier d’Amajina & Fils en est pour beaucoup dans le renom de l’industrie minière d’Ul’dah. Leurs opérations sont très nombreuses, des nombreux puits d’extraction jusqu’à leur contrôle des chemins de fer, une entreprise moderne qui commença ses opérations immédiatement après la Calamité. Cherchant déjà de nouvelles veines de minerai, le Consortium a construit un grand nombre de structures aux fins de prospections de la frontière. En faisant ainsi, ils attiraient continuellement la colère des Amalj’aa et autres créatures irritées. C’est pour cela, que les Torches de Pierre furent établies pour défendre leurs intérêts.

Fyrgeiss Loetkilbsyn :
« Les hommes sont fait par la transpiration de leur front et la force de leurs dos. »
Fyrgeiss est le patron du Consortium Minéralier d’Amajine & Fils, et un membre du prestigieux Syndicat. Comme on peut s’y attendre d’un homme avec sa propre armée, il peut parfois révéler un esprit quelque peu vindicatif. Il a une animosité particulière à l’égard des Amal’jaa qui ont, en d’innombrables occasions, détruit gratuitement les installations minières dont il avait la garde. Ceci peut également expliquer pourquoi Fyrgeiss favorisa la création des Immortels, en début qu’il soit un Monétariste.
Ayant un intérêt dans l’Histoire ancienne de son peuple, Fyrgeiss et ses trois fils ont chacun un nom dans l’ancienne langue des Roegadyns, une rareté parmi le Clan du Feu. Sa seconde grande passion est le Colisée, et avec sa richesse, accumulée pendant cinquante-six ans, rares sont les combats qu’il manque.


L’Ordre de Nald’thal :
L’Ordre de Nald’thal a une longue histoire de pratique de rites et de rituels pour les Commerçants. A travers les âges, ils sont devenus sages bien au-delà de la religion, mais également dans l’Histoire, les Arcanes, et la lecture des étoiles et des cieux. Les plus savants parmi l’Ordre sont consultés par la lignée royale d’Ul’dah et aident le Divan à rédiger les codes de loi élaborés de la cité-Etat. Ils ont amandé des sections entières de ces codes pour répondre à la demande du Syndicat suivant l’émergence des Monétaristes. Indépendamment de ces liens, l’Ordre maintient l’apparence de stricte neutralité en public, et tente de prendre une position à l’écart des conflits de pouvoir.

Dewlala Dewla :
« Si vous voulez voir la stabilité d’Ul’dah restaurée, nous devons mettre de côté nos différents. »
Une femme du peuple des Dunes, Dewlala Dewla est la tête de l’Ordre de Nald’thal et la grande prêtresse du Sacrarium de Milvaneth. Elle marche sur l’étroit passage entre les Monétaristes et les Sultanistes, et a largement restée au-dessus des luttes internes du Syndicat. Néanmoins, en tant qu’héritière de l’histoire de conseiller de la maison royale de l’Ordre, sa principale préoccupation en tant que dirigeant est le bien de la nation. Ainsi, quand les hostilités du Syndicat grandissent trop, elle est connue pour agir en tant que médiateur. Durant le complot pour assassiner la sultane par exemple, elle aida secrètement les héritiers de la Septième Aube pour sécuriser l’évasion de Raubahn de ses geôles. C’est également Dewlala Dewla qui persuada le seigneur Lolorito de revenir à la table des négociations.
A l’âge de cinquante deux ans, Dewlala a une grande expérience pour négocier sa précaire position. Cependant, elle sent de plus en plus le poids de ses responsabilités, et elle s’est mise à la broderie pour éloigner son stress.


Manderville & Manderville :
Marderville & Manderville est une entreprise remarquable qui a grandit rapidement dans les années qui suivirent la Calamité. Elle est dirigée conjointement par le seigneur Godbert, un membre du Syndicat, et sa femme, dame Julyan, et son nom est destiné à transmettre l’esprit de ce partenariat. Au début, la compagnie comprenait uniquement l’orfèvrerie faite main de Godbert, mais elle a plus récemment fait une percée dans les affaires du divertissement. Le résultat est le grand établissement connu comme le Gold Saucer Manderville situé aux franges du désert de Sagolii.

Godbert Manderville :
« L’orfèvrerie de Goldbert est l’affaire d’un homme Manderville, forger comme seul le peut un Manderville, huilez-le et donnez-lui un bronzage, digne d’un homme Mander-Manderville ! »
Un Hyurgoth de cinquante six Hivers, le seigneur Godbert est indiscutablement le meilleur orfèvre de tout Eorzea. Il a un mépris affiché pour l’industrie de la joaillerie d’Ul’dah, qui selon lui ce concentre trop sur les dernières modes, et est donc parti pour un long voyage pour trouver son propre style. Dans chaque région, il chasse des montres exotiques pour leurs os, récoltant des coquilles nacrées sur des récifs oubliés, extrayant des pierres précieuses brutes des entrailles du continent, et avec ces matériaux commença à créer de superbes bijoux entièrement imaginé par lui-même. Après être revenu à Ul’dah, et avoir ouvert une boutique, il se retrouva lui-même un homme d’une richesse incroyable du jour au lendemain.  A présent, il gère au jour le jour les opérations de Manderville & Manderville, et sert en tant que membre du Syndicat, bien qu’il n’ait jamais exprimé le moindre intérêt en matière de gouvernance. Néanmoins, Godbert embauche des refugiés dans ses entreprises, et fait ce qu’il peut pour améliorer Ul’dah grâce à son domaine d’expertise.

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Source: Traduction de l'Encyclopedia Eorzea I
Le Chat Il y a 10 mois et 20 heures
L’Ordre de Nald’thal :




A la tête de ce qui est la première religion d’Ul’dah pour le nombre de ses pratiquants, l’Ordre de Nald’thal est une organisation dévouée au dieu du commerce et gardien du sous sous-monde. Nald’thal est traditionnellement dépeint comme un dieu unique à l’aspect dual, ou comme une déité jumelle, mais c’est cette dernière interprétation que l’Ordre a embrassée, encourageant la croyance que Nald et Thal sont des entités distinctes.
Selon les enseignements de l’Ordre, les jumeaux commerçants président chacun leur propre domaine : Nald, le monde des vivants, et Thal, les halls des morts. Quand il n’est pas en cours de rénovation, Le Sacrarium de Milvaneth, le temple de Nald, est maintes fois traversé par des marchands pieux cherchant à s’attirer faveurs et fortune sur leur vie. Inversement, l’Ossuaire d’Arrzaneth, le temple de Nald, est plus populaire chez les pauvres et les opprimés, qui prient pour leur richesse dans le royaume des morts. Comme on pouvait s’y attendre, l’Après-vie est le cœur du système de croyances de l’Ordre de Nald’thal.
L’Ossuaire d’Arrzaneth est également responsable de l’accomplissement des rites funaires, et c’est à travers les sortilèges destructeurs employés pour préparer les morts que ses prêtres perfectionnèrent l’art de l’Occultisme. C’est une connaissance courante que la fondation de ces magies a été posée dans la cité depuis longtemps brisée de Belah’dia, les plus anciennes racines que l’on peut suivre remontent même jusqu’à l’ancienne civilisation de Mhach. Il a été également bien documenté, néanmoins, que la divinité gardienne de Belah’dia était Azeyma, la Gardienne du Soleil, fournissant des preuves flagrantes que les voies de l’arcane et des lois religieuses ne convergent pas toujours.
Avec un œil surveillant la prospérité d’Ul’dah, les prêtres sages de l’Ordre ont longtemps servit la famille royale comme spécialiste de la loi et administrateur. Avec cette position privilégiée, ils furent approchés par les Princes Marchands et leurs semblables qui ambitionnaient de faire pencher la législation en leur faveur en leur offrant des quantités outrageuses d’argent. De telles relations profanes attirent le mépris des membres les plus spirituels du clergé, mais la Grande Prêtresse Dewlala, avec son siège sécurisé au Syndicat, ne montre pas le moindre signe de renoncement que ce soit pour elle ou sa solide autorité sur son organisation.

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Source: Traduction de l'Encyclopedia Eorzea II
Le Chat Il y a 10 mois et 20 heures
Les Guildes :




La Guilde des Gladiateurs :
A Belah’dia, l’épée était considérée comme l’arme du paladin, et la paysannerie n’avait pas de droit d’en porter. Durant la guerre des Sœurs, néanmoins, Ul’dah et Sil’dih eurent toute deux un besoin croissant en homme pour combattre, et n’avait pas d’autre choix que d’embaucher des mercenaires Roégadyns du Clan du Feu et Hyurgoth. Alors que de plus en plus d’habitants d’Ul’dah en venaient à porter les armes, les démonstrations d’habilité devinrent un spectacle courant.
Au départ, seulement les ennemis et les criminels étaient jetés aux sables de l’arène, mais alors que la pratique devenait une part de la culture ul’déenne, des hommes libres joignirent la mêlée à la recherche de richesse et de gloire.
Une organisation de combattants naquit, basée sur un esprit de prospérité mutuelle. Fournissant non seulement de l’aide aux gladiateurs blessés, mais aussi en organisant pour que d’autres combattent à leur place, et leur fournissant une allocation après leur retraite. Le groupe finit par ouvrir ses portes au public et devint la guide des gladiateurs.

Mylla Swordsong :
« Chaque homme et femme a le potentiel pour devenir un champion, mais c’est en vous, et vous seul, qui décide de votre destinée ».
Fille du précédent maître de guilde, Mylla entra dans la guide à l’âge de cinq ans, et a largement gagné ses compétences à l’épée depuis. La Hyurgoth devint Première Epée quand son père périt il y a sept ans. Bien qu’elle eût juste atteint son vingtième anniversaire, elle accomplit ce rôle admirablement. Désormais âgée de vingt-sept ans, elle a donné son meilleur pour aider la guide, bien que les rumeurs abondent qu’elle attend le retour de son amour tout ce temps.


La guilde des Pugilistes :
Dans les premières années du Colisée, tous les combattants étaient unis, répondant au même lanistae, s’entrainant dans le même ludii. A la fin, néanmoins, ceux qui se battaient avec leurs poings prirent un chemin différent de ceux qui maniaient l’épée. Depuis le début, ce nouveau groupe de pugiliste était largement à égalité avec ceux offrant un soutient à ses camarades combattants. Tout cela changea lorsque la légendaire combattante Cornelia prit la tête de l’association. Si magistraux étaient ses exploits dans les sables de l’arènes qu’hommes et femmes vinrent de tous les coins du continent pour apprendre sous sa supervision attentive. Avec le temps, l’organisation se dévoua elle-même à l’entrainement, et, cinquante ans plus tard, l’enseigne au-dessus de sa porte changea officiellement pour qu’on y lise « Guilde des Pugilistes ». En plus d’instruire de nouveaux talents, elle est également un point central pour ceux qui gagnent leur vie avec leurs poings.

Hamon Poing-Divin :
« Rien ne peut stopper le Poing Divin ! »
Le maître de la Guilde des Pugilistes, Hamon est un robuste Hyur qui clame avoir soixante étés depuis au moins la dernière décennie. Cependant, dans ses jours de gloire, il était un combattant de grand talent, les affiches portant l’effigie du « Poing Divin » étaient placardées dans toute la cité avant ses combats. Son style particulier combinant coups de poings et de pieds pour faire vaciller ses adversaires a influencé un grand nombre de pugilistes.


La Guilde des Occultistes :
Que l’étude de la magie dût fleurir à Ul’dah n’est pas une surprise, du fait que les fondateurs de la cité-Etat étaient des mages mhaquois. Les prêtres de l’Ordre de Nald’thal ont cultivé et transmit de nombreuses connaissances sur les Arcanes, particulièrement ceux qui travaillent à l’Ossuaire d’Arrzaneth. En ces lieux, ils perfectionnèrent leurs techniques, en relation avec les rites funaires, le blizzard glacé pour arrêter la décomposition, les feux enragés pour purifier les corps, et les éclairs pour chasser péchés de la vie mortelle. Comme ils découvrirent que ces magies avaient un grand effet sur les vivants, l’Ossuaire en vint à servir comme Guilde des Occultistes, où les magiciens sont entrainés et de nouveaux arts des arcanes naissaient.

Cocobuki Lolobuki :
« Feu, Foudre, Blizzard, Sommeil, l’Occultiste en appelle à un puissant arsenal d’incantations allant de l’offensif à l’incapacitant, et oblitérant de bien des manières ses adversaires. »
Agée de vingt trois ans, Cocobuki est le plus âgé d’une fratrie de six descendants d’une vieille lignée du peuple des Dunes. Tous sont des maîtres de la Guilde des Occultistes, à l’exception du plus jeune. En accord avec les désirs de la Sultane, ils firent beaucoup pour calmer la population quand les émeutes éclatèrent dans les rues durant le Fléau. Pour ces actes, ils furent nommés Maître de Guilde et successeur de l’ancien chef, un homme disgracié nommé Mumuepo, reconnu coupable de détournement de fond.


La Guilde des Orfèvres :
Les roches sous le Thanalan sont riches en métaux précieux et en joyaux et depuis les âges anciens les hommes ont travaillé dur pour transformer ce don en de merveilleux trésors. Suivant l’émergence d’Ul’dah comme un pouvoir marchand durant le treizième siècle de la Sixième Ere Astrale, la demande en joyaux cru aussi vite que la classe marchande elle-même. Avec l’augmentation de son patronage, l’art élégant de l’orfèvrerie éclot en un domaine hautement lucratif.
Ne se contentant pas de se reposer sur ses lauriers, un atelier populaire en son temps, l’Esthétique d’Eshtaime, invita des maîtres renommés d’Orient pour travailler dans ses halls. La tutelle de ces artisans permis à ces orfèvres de créer des pièces uniques qui s’arrachent sur les marchés ul’déens et l’industrie par lots entiers. L’organisation Ul’dienne fit signe à ces artisans de rejoindre leurs installations, devenant finalement la Guilde des Orfèvres. En plus des fonctions normales d’apprentissage, elle est aujourd’hui obligée de protéger sa réputation de l’afflux de travaux d’imitations.

Serendipity :
« Fondre, mouler, couper, polir… Nous utilisons toute ces techniques pour concevoir de magnifiques babioles qui font le délice des yeux. »
Ayant tout juste atteint dix neuf étés, Serendipity est l’une des plus jeunes maîtres de Guilde de l’Histoire d’Ul’dah, un testament de son rare talent. A l’âge treize ans, la Hyuroise traquait le légendaire orfèvre Colbernoux pendant des jours entiers avant de plaquer le pauvre homme à terre pour acquérir son apprentissage. Il ne fallu pas longtemps, néanmoins, avant que sa concentration offerte par les dieux, et sa dextérité incomparable pour la confection voit Serendipity grandir jusqu’à être l’une des plus éminentes orfèvres d’Ul’dah.


La Guilde des Couturiers :
L’industrie du textile a toujours prospérée dans le Thanalan. Ceci est partiellement due au climat : les habitants de la région ont toujours voulu des tissus légers et flottant qui ne les protégeraient pas seulement des rayons du soleil tout en permettant à leur peau de respirer, mais aussi d’accomplir l’impossible tâche de les garder à l’abri des nuits glacées du désert. En trouvant des chemins imaginatifs pour répondre à ces besoins, les tisserands en vinrent à exceller dans leur art.
Avec l’ouverture des routes de commerce vers le Proche Orient après 1190, néanmoins, des tissus peu couteux affluèrent sur le marché ul’dien. Les tisserands ne pouvaient pas faire le poids face à la quantité de textile importés, et recherchèrent à améliorer la qualité de leurs marchandises. Se rassemblant pour partager leurs techniques, ces nombreux artisans aux grands esprits fondèrent la Guide des Couturiers. Ensemble, ils réussirent à améliorer leurs tissus, et désormais, la guilde exporte des étoffes fines aux nations étrangères aussi loin qu’au Proche Orient.

Redolent Rose :
« Je serais franc, le tissage est un art, et, comme tous les vrais artistes, nous devons faire des sacrifices et souffrir pour nos créations. »
Redolent Rose est un acteur majeur de la Guilde des Couturiers. Comme on pouvait l’espérer, il a un intérêt profond dans la beauté, et un but qu’il poursuit inlassablement : la création de vêtements qui permette au porteur de, selon ses mots « découper une belle silhouette ». Le Roegadyn expert de la mode est également connu pour être un génie depuis la robe rose de cérémonie de la sultane, un honneur aux réalisations d’un homme qui n’a même pas encore vu sont vingt-septième été.


La Guilde des Alchimistes :
Un médium mystique qui peut transformer un métal vulgaire en or ou en argent, soigner toutes les maladies, et donner le don de la vie éternelle, tel est la pierre philosophale, le rêve fiévreux de tous les alchimistes à travers les âges. Pour atteindre leur graal, les pratiquants conduisent de toutes les façons possibles des expériences bizarres et non-naturelles, et par conséquent furent longtemps abhorré comme des hommes fous, leur art méprisé comme une démence.
La profession gagna finalement en crédibilité à travers son intégration dans la médecine traditionnelle par la Phrontisterie de Frondale. Par la suite, les alchimistes s’installèrent à Ul’dah, une place où ils peuvent mener les recherches qu’ils veulent sans craindre les persécutions, et finirent par fonder la Guilde des Alchimistes pour partager leurs découvertes.

Severian Lyctor :
« Souviens-toi : le monde est un creuset, et un alchimiste fait du banal des merveilles. »
Né d’une famille de Hyur respectée en lien avec le Syndicat, Maître Severian fut, dès son plus jeune âge, activement encouragé à poursuivre son art. Au cours des années, néanmoins, sa passion a pris le chemin d’une obsession, et il n’est pas rare que ses expérimentations ne poussent pas le maître de guilde à négliger toute les autres, comme de manger, dormir, ou les tâches typiques de son poste. Cette propension naturelle s’est aggravée depuis qu’il a perdu son amour de toujours durant le Fléau, et la vue de Severian recroquevillé sur le sol de son laboratoire sur un oreiller de parchemin est devenue un fait récurent à la Phrontisterie. Naturellement, cela a attisé les rumeurs car il ne s’agit guère du comportement d’un homme de trente-deux ans.


La Guilde des Mineurs :
Due à la richesse minérale de la région, le minage est depuis longtemps un pilier central de l’industrie ul’dienne. La folie de la Course au Mithril, déclenchée par la découverte d’une riche veine du lumineux mais pourtant durable minerai, a amené prospérité et gaieté à la cité-Etat mais il y a cent cinquante ans.
Cependant les mineurs eux même n’ont pas partagé la nouvelle richesse. Travaillant dans de difficiles conditions pour une maigre pitance, nombreux sont ceux à s’être retrouvé à vivre dans une désespérante pauvreté à la merci de contrats de temps de servitude à la légalité douteuse offert par des contremaîtres déshonorables. Leur mécontentement grandit, et avec le temps les hommes et les femmes se regroupèrent ensemble contre les intérêts miniers qui les exploitaient. Le résultat fut la Guilde des Mineurs, laquelle a loyalement travaillée pour améliorer les conditions de travail tout en offrant un exutoire à la transmission séculaire des savoirs faires de leur métier.

Adalberta Sterne :
« Ce n’est pas facile, de gérer un groupe turbulent de gars et filles qui aurait plutôt vidé une chope que de balancé leur pioche, mais je fais de mon mieux. »
Adalberta avait huit ans quand l’Empire Garlemaldais occupa Ala Mhigo, et fuit à Ul’dah en tant que réfugiée. Son modèle est encore et toujours son père, un Hyurgoth aux humbles débuts qui devint un miner pour aider sa fille avant de mourir dans un effondrement. Désormais âgée de vingt huit ans, Adalberta est devenue maître de guilde, et il est dit qu’elle concentre ses énergies sur l’entrainement de nouveaux mineurs pour une raison : afin qu’ils puissent développer suffisamment leurs compétences avec la pique et le marteau pour ne jamais être redevable, ou exploité par quiconque.

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