[Job] Samouraï

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Samouraï

Dans la nation insulaire d’Hingashi, les grands seigneurs du royaume ont lutté pour la suprématie au cours d’un long et sanglant conflit. Et prenant part à la bataille au nom de leurs seigneurs liges étaient les nobles épéistes dont l’art fut forgé au creuset de la guerre : les samouraïs. Finalement, la nation fut unifiée sous une seule bannière, et ces guerriers en sont venu à mettre leurs katanas au service de la protection de la paix de leur nation.


Histoire :
A l’origine, « samouraï » fait référence à une position sociale dans la société d’Hingashi, un vassal combattant qui sert un seigneur lige en échange de certains privilèges. Le mot lui-même dérive de la racine « saburau » signifiant « servir », qui renforce le caractère fondamental de leur statut. Les annales de ces arrangements deviennent communes les quelques six cents dernières années, mais les exemples de l’art du combat des samouraïs peuvent être trouvé bien plus tôt dans l’Histoire.
Le style de combat, distinctes des pratiques continentales, furent trouvés par des guerriers qui pratiquaient le katana, et affiné au cours de vie de conflit. Ainsi ils conçurent des techniques d’infusion de leurs lames incurvées uniques avec le « Kenki », les samouraïs maîtrisaient également l’état de méditation du « Sen », qui ouvrit la voie pour le « Iaijutsu » et autres formes élevées d’escrime. L’art des samouraïs trouva finalement son chemin jusqu’au continent, et vit la naissance d’écoles nombreuses et variées. Dans un royaume choyé par une paix relative, néanmoins, le titre de samouraï est devenu largement héréditaire, ce que qui fait craindre que cet honneur autrefois durement gagné ne soit remplacé par une tradition vide de sens.


Equipement :




Armure myôchin :
Fabriquées dans le style des haori et des hakama par les armuriers de longue tradition du clan Myôchin, cet ensemble d’armure est un vêtement commun de nos jours pour les samouraïs. Bien qu’il ne semble guère plus qu’un kimono décoré, ces vêtements sont tissés pour être un moyen de renforcer le flot d’éther.

Kiku-ichimonji :
Kiku-ichimonji fut forgé par un forgeron légendaire hingashi, la preuve de ceci peut être trouvé dans sa signature gravée, les caractères « ichi » ou « un ». La lame se caractérise d’un point large, et un élégant motif ondulé de trempe sur toute la longueur de la lame, tandis que le fourreau aux ornementations serpentines amplifie les énergies du porteur quand il pratique le Iaijutsu.

L’armure sans nom :
 Cette armure plus élémentaire est dessinée pour les initiés samouraïs. Le togi et le hakama sont tout les deux tissés de soie enchantée pour renforcer la sensibilité du porteur aux flots d’éther, facilitant effectivement le novice à apprendre à reconnaitre la sensation du Kenki s’accumulant dans la lame et le fourreau. Teinte entièrement en noir, la couleur qui dissimule les éclaboussures de sang, qu’ils soient celui de l’ennemi ou du porteur lui-même, l’aidant à éloigner la panique de l’inexpérience une fois que l’adrénaline de la bataille s’est estompée.

Katayama :
Ce chef d’œuvre a été forgé par la branche Katayama de l’école Ichimonji des forgerons de sabre. Bien que Kiku-ichimonji, un katana forgé par leurs ancêtres, est considéré supérieur en tranchant et en beauté, Katayama (ou en entier, Katayama-ichi-monji) est encore célébré pour son exquise manufacture. 
La lame changea de main de nombreuses fois, jusqu’à ce que son dernier porteur l’emporte dans un pèlerinage guerrier vers l’Ouest, où elle fut perdue pour de longues années. Elle fut plus tard découvert que dans une quête pour trouver de puissants composants, le samouraï trop confiant était entré là où aucun homme ne pouvait marcher, et périt au fait d’une épique bataille. 


Les astuces du métier :
Le malheur des vivants : tout ceux qui vivent sont condamnés à mourir. Le samouraï dépeint la vie de l’ennemi avec d’innombrables entailles de sa lame, et met fin à sa vie avec une seule frappe infusée d’éther, puis rengaine son arme pour dépeindre symboliquement la fugacité de la vie.

Hissatsu : Kyuten : L’une des plus formidables techniques de Hissatsu du samouraî, Kyuten est un mot qui exprime neuf directions, les huit points cardinaux qui se joignent au centre. Conçu pour abattre tous les adversaires qui l’entourent d’une seule frappe. 

Tenka Goken : Une forme de Iaijutsu par laquelle le samouraï façonne l’éther accumulé dans son katana en des lames fantômes, et frappe comme s’il portait les cinq lames légendaires, les Tenka Goken.

Midare Setsugekka : Setsu. Getsu. Ka. Il est dit que lorsque l’on les trois états du Sen, le fil de la vie de l’ennemi peut être perçu. Ce sublime Iaijutsu est dévoué à couper ce fil.


Musosai :
Race (clan) : Hyur (Extrême Orient)
Genre : Homme
Âge : 78 ans
Surnom : Aucun
Un maître escrimeur venu d’Hingashi. Musosai voyage en Eorzea à la recherche d’un disciple pour hériter des compétences de combats qu’il passa toute une vie à perfectionner. A cette fin, Musosai employa l’aide de Momozigo, un maître des spectacles Ul’dien pour organiser un tournoi au Colisée. Il fut plus tard révélé que Musosai n’était nul autre que le célèbre « Kogarashi », un noble samouraï qui corrigeait les injustices à travers Hingashi, un homme qui avait été forcé d’abandonner sa terre natale pour suivre les agissements démoniaques d’Ugetsu, son premier disciple. Rattrapé par la maladie et l’avancée de son grand âge, Musosai était parti pour des rivages étranger pour trouver un puissant successeur à sa légende. 

Ugetsu Tachikake :
Race (clan) : Hyur (Extrême Orient)
Genre : Homme
Âge : 31 ans
Surnom : le Tueur des Milles Âmes. 
Un talentueux épéiste, et dirigeant d’un groupe d’insurgé. Aux côtés de son maître Musosai, le jeune Ugetsu fut embarqué dans un pèlerinage pour corriger les injustices à travers Hingashi, mais il fut plutôt exaspéré par la corruption étranglant sa patrie dont il fut témoin. Se convainquant que ceux au pouvoir étaient devenu avides et complaisant après des années de paix, Ugetsu jura d’abattre le bakufu dans le sang et le feu. Il rassemblant une bande de suivant pensant comme lui, et commença à exécuter dignitaires après dignitaires dans une série d’assassinats. 
Sa philosophie de trancher l’ancien pour laisser place au nouveau lui valut peu d’alliés, néanmoins, et ses méthodes se firent de plus en plus extrêmes. Une confrontation avec le Sekiseigumi le vit trancher le capitaine Kongo, mais Ugetsu rencontra finalement sa fin des mains du disciple de Musosai, aidé par Makoto, une samouraï du Sekiseigumi qui était, en vérité, sa propre sœur, Kagetsu. 


Kenki :
Dans les terres de l’Extrème Orient, un flux d’éther est souvent nommé comme « ki ». Le Kenki des samouraïs est une exploitation de ces énergies, permettant à l’épéiste d’accumuler le ki dans leur lame et de là libérer des techniques mortelles. A cet égard, des techniques comme « Hissatsu » peuvent être interprétées comme une forme martiale de magie de guerre.

Iaijutsu :
Ces techniques sont effectuées en concentrant l’énergie dans un katana rengainé, et alors en relâchant l’entièreté de la réserve d’énergies lorsque la lame est dégainée. Exécuter le Iaijutsu correctement requiert un contrôle complet de tous les états de son esprit, un exploit réalisé en entrant dans une trance de bataille connue sous le nom de « Sen ». Les samouraïs atteignent une telle maîtrise de la méditation seulement à travers un entrainement et une discipline intense. 



Spoiler : cliquez pour afficherSource: Traduction de l'Encyclopedia Eorzea II

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