Halte-du-Preux
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Il y a 2 semaines et 2 jours
HALTE-DU-PREUX
Village fortifié dans l'ombre de Castralion, il se démarque par ses lourdes balistes érigées sur des tours de défense anti-aérienne aux quatre coins de ses murs. Notamment dirigé par le clan Chantespoir qui se charge de l'intendance, il parvient à subsister grâce aux terres relativement fertiles autour de la montagne. L'eau ruisselant depuis le pic enneigé sert autant aux habitants qu'à leur bétail grâce auquel ils produisent divers produits laitiers ou récupèrent laines, fourrures et peaux afin d'en tirer quelques gils.
Engoncé dans ses murs jonchés de balistes visant le ciel, le village dense de Halte-du-Preux a vu seulement récemment naître quelques faubourgs. Jusqu'alors, la guerre n'avait pas permis aux habitants de s'étendre par-delà l'enceinte, limitant l'expansion à l'horizontale et ne laissant d'autre choix que de construire des maisons hautes et solides malgré la menace. Avant la paix, chaque habitant était tenu de se rendre utile, car lorsque la place manque, il faut alors la mériter. Tous les villageois sont travailleurs, tous servent loyalement à la fois pour se nourrir mais aussi pour nourrir leurs protecteurs.
Les Chantespoir, vivant depuis des générations au sein de leur manoir ancien, gardent le moral et la foi au centre de la culture en louant les mérites de leurs seigneurs avec des chants bucoliques renforcés par l'éther ou le dynamis. Ainsi, la panique est chassée et les rangs ordonnés, alimentant dans l'esprit des habitants une volonté de faire partie de cette communauté dans la vertu serait ancestrale. À cet effet, nombreuses sont les légendes Belmont à conter, qu'elles soient récentes et précises ou vieilles et brumeuses.
Ils ne sont cependant pas simplement des redresseurs d'humeur, car en plus de s'assurer du contentement de la population, les Chantespoir participent activement à l'intendance du village, non sans parfois déléguer certaines tâches à d'autres familles influentes de la baronnie. Aussi, lorsque vient le conflit, il n'est pas rare de les voir au plus près des Belmont, renforçant leurs esprits pour les rendre inébranlables, inflexibles face à n'importe quelle menace.
Engoncé dans ses murs jonchés de balistes visant le ciel, le village dense de Halte-du-Preux a vu seulement récemment naître quelques faubourgs. Jusqu'alors, la guerre n'avait pas permis aux habitants de s'étendre par-delà l'enceinte, limitant l'expansion à l'horizontale et ne laissant d'autre choix que de construire des maisons hautes et solides malgré la menace. Avant la paix, chaque habitant était tenu de se rendre utile, car lorsque la place manque, il faut alors la mériter. Tous les villageois sont travailleurs, tous servent loyalement à la fois pour se nourrir mais aussi pour nourrir leurs protecteurs.
Les Chantespoir, vivant depuis des générations au sein de leur manoir ancien, gardent le moral et la foi au centre de la culture en louant les mérites de leurs seigneurs avec des chants bucoliques renforcés par l'éther ou le dynamis. Ainsi, la panique est chassée et les rangs ordonnés, alimentant dans l'esprit des habitants une volonté de faire partie de cette communauté dans la vertu serait ancestrale. À cet effet, nombreuses sont les légendes Belmont à conter, qu'elles soient récentes et précises ou vieilles et brumeuses.
Ils ne sont cependant pas simplement des redresseurs d'humeur, car en plus de s'assurer du contentement de la population, les Chantespoir participent activement à l'intendance du village, non sans parfois déléguer certaines tâches à d'autres familles influentes de la baronnie. Aussi, lorsque vient le conflit, il n'est pas rare de les voir au plus près des Belmont, renforçant leurs esprits pour les rendre inébranlables, inflexibles face à n'importe quelle menace.