[Trame] L'Utopie Éternelle

Introduction
Il existe, enfouie dans les ténèbres du Gévaudan, une rumeur si ancienne et si impie que même les plus braves des villageois tremblent à l'idée de la nommer. Une rumeur sourde et rampante, transmise à demi-mot, comme si le simple fait d’y croire pouvait suffire à la faire venir.
Elle ne hurle pas. Elle murmure.
Un souffle venu des abysses, surgissant comme un écho oublié, un râle perdu au détour d’un silence trop lourd. Elle se glisse dans les veillées, s’accroche aux prières murmurées, ronge les cœurs quand la lune se voile.
On raconte qu’au nord, dans les hameaux , les enfants ne se réveillent plus. Que des hommes disparaissent en allant couper du bois. Que des femmes s’éteignent en silence, sans lutte, sans trace, sans adieu.
On raconte que des convois traversent la neige d'un silence de mort, laissant place aux crissements du givre sous des roues trop lourdes.
On raconte que des silhouettes encapuchonnées dont les visages ne sont plus tout à fait humains parcours les terres de Cendrevales.
Puis vient le nom.
Le seul que tous évitent.
Le seul que certains n’osent même plus penser.
Erythmion.
Un nom qui brûle comme le gel.
Un nom porté par les vents meurtriers des Cendrevales, qui se faufile dans les ruelles glacées et les caves où l’on serre les enfants pour les tenir éveillés.
On dit que les mères le murmurent en pleurant, puis se signent en silence, la gorge nouée.
On dit que les anciens l’ont entendu une fois… et que depuis, ils ne parlent plus.
On dit que des croix de fer noir portent le malheur à ceux osant poser leur regard dessus....
Il existe, enfouie dans les ténèbres du Gévaudan, une rumeur.... Annonciatrice d'un mal encore inconnu...
Elle ne hurle pas. Elle murmure.
Un souffle venu des abysses, surgissant comme un écho oublié, un râle perdu au détour d’un silence trop lourd. Elle se glisse dans les veillées, s’accroche aux prières murmurées, ronge les cœurs quand la lune se voile.
On raconte qu’au nord, dans les hameaux , les enfants ne se réveillent plus. Que des hommes disparaissent en allant couper du bois. Que des femmes s’éteignent en silence, sans lutte, sans trace, sans adieu.
On raconte que des convois traversent la neige d'un silence de mort, laissant place aux crissements du givre sous des roues trop lourdes.
On raconte que des silhouettes encapuchonnées dont les visages ne sont plus tout à fait humains parcours les terres de Cendrevales.
Puis vient le nom.
Le seul que tous évitent.
Le seul que certains n’osent même plus penser.
Erythmion.
Un nom qui brûle comme le gel.
Un nom porté par les vents meurtriers des Cendrevales, qui se faufile dans les ruelles glacées et les caves où l’on serre les enfants pour les tenir éveillés.
On dit que les mères le murmurent en pleurant, puis se signent en silence, la gorge nouée.
On dit que les anciens l’ont entendu une fois… et que depuis, ils ne parlent plus.
On dit que des croix de fer noir portent le malheur à ceux osant poser leur regard dessus....
Il existe, enfouie dans les ténèbres du Gévaudan, une rumeur.... Annonciatrice d'un mal encore inconnu...
Spoiler : cliquez pour afficherTrame de Mordred, je ne fais que la messagère pour poster ici nos trouvailles, vos textes, pour les embellir et les présenter sur un support forum et embellir notre vitrine.

Quand les souris sont alitées, les chats dansent.
La créature au pelage noir se glisse dans les bourrasques de neige. Elle est véloce, curieusement véloce pour un simple félin. Ses pas la mènent sur chaque site, revisitant de ses iris vermeille les scènes de l'avant-veille, et de la veille. Sa truffe se pose parfois dans les traces à peine perceptibles d'une boue noire et nauséabonde.
Elle a aussi observé, cachée à la faveur d'un arbre mort, d'un terrier glacial, les visages et les évènements. Un homme hurler à sa fille perdue, des armures de bleu guède, un faciès brûlé, et d'autres. La veille, elle a cru avec un peu d'espoir qu'il y aurait un mort de plus - mais l'a vu finalement survivre et être porté en urgence dans ce bâtiment qu'elle hait, la Tour.
Aujourd'hui, elle observera encore, profitant silencieusement d'une histoire qui s'écrit ligne à ligne, savourant l'ignorance des humains.
Et elle espère la destruction.
Elle a aussi observé, cachée à la faveur d'un arbre mort, d'un terrier glacial, les visages et les évènements. Un homme hurler à sa fille perdue, des armures de bleu guède, un faciès brûlé, et d'autres. La veille, elle a cru avec un peu d'espoir qu'il y aurait un mort de plus - mais l'a vu finalement survivre et être porté en urgence dans ce bâtiment qu'elle hait, la Tour.
Aujourd'hui, elle observera encore, profitant silencieusement d'une histoire qui s'écrit ligne à ligne, savourant l'ignorance des humains.
Et elle espère la destruction.


À peine Célestin et "son chat" avaient-ils quitté son bureau qu'elle s'appuya lourdement sur le dossier de son fauteuil, une main contre son coeur. C'était la première fois qu'elle accusait une crise de panique, épongeant du revers de sa main la sueur de son front. Comment garder contenance avec tout ce qu'il se passait à la seconde ? Elle venait à peine de redonner le poste de limier à Seluna qu'elle fut victime d'un maléfice. L'altercation avec Cyric n'arrangeait rien, et maintenant on venait lui apprendre que si elle n'avait pas levé le bouclier éthéré sur l'Oeil du Loup, son peuple aurait été contaminé par un éther corrompu. Sans parler de son enfant à naître.
Elle récupèra la lettre de Cyric, lissant lentement le pli. Elle en était bien consciente, sa condition n'allait pas s'arranger et il lui fallait un bras droit, le temps de gérer l'épidémie qui risquait d'éclater dans sa propre ville. Avec un peu de chance, Célestin ferait enfin ses preuves. En attendant, elle devait patienter, faire confiance.
Et penser à son enfant.
Elle récupèra la lettre de Cyric, lissant lentement le pli. Elle en était bien consciente, sa condition n'allait pas s'arranger et il lui fallait un bras droit, le temps de gérer l'épidémie qui risquait d'éclater dans sa propre ville. Avec un peu de chance, Célestin ferait enfin ses preuves. En attendant, elle devait patienter, faire confiance.
Et penser à son enfant.

Assise au milieu des étudiants de l'Institut Riverhood, la jeune Elinor essayait de se changer les esprits. L'échange houleux avec Cyric n'avait pas tardé à faire le tour de l'académie, on ne parlait que d’elle, et de ce sang-froid qu’elle n’aurait pas su maîtriser, à en croire les rumeurs. D’ordinaire, les bruits de couloir ne l’atteignaient guère — elle était, après tout, la fille de la directrice, et incarnait à elle seule l’exigence impitoyable qu’on attendait des élèves. Mais cette fois, c’était différent.
On remarqua son manque de sang-froid. Certaines la saluaient pour avoir tenu tête à un chasseur Valsonge, d’autres voyaient là l’occasion rêvée de la faire tomber : elle n’avait, selon eux, pas été digne de son nom. Pourtant, Elinor fit ce que toute femme orgueilleuse fait en pareilles circonstances : elle se tint droite, demeura inflexible, et ne laissa rien paraître.
Elle passa le reste de l’après-midi dans la grande bibliothèque. Pas question d’étudier à demi-mot : elle s’était plongée dans tout ce qui touchait de près ou de loin à Erythmion et ses sbires. À l’image de ses aïeux, elle ne resterait pas là, immobile. Pas cette fois. Pas jamais.
Jusqu'à ce qu'on l'arrête et qu'on l'envoie aux cachots avec les autres sans qu'elle ne comprenne le sens.
Il n'était pas encore minuit, ceux qui ne dormaient pas encore -en même temps, comment dormir avec un lit par cellule ?- entendaient plusieurs pas dans les longs couloirs des cachots et des murmures inaudibles. On se débattait, une voix féminine s'élevait sans qu'une réponse ne lui parvienne et cela semblait encore plus l'énerver.
"Puisque je vous dis qu'il nous a insulté ! Et JE vais en prison ?!"
Placée dans une cellule en marge de tous, que ce soit par manque de place ou parce qu'elle était la fille de la directrice de l'Institut, elle trébucha au sol non sans qu'une colère froide ne la gagne. Elle ne comprenait pas, on ne lui avait rien expliqué. Elle qui n'était qu'une étudiante, la voilà derrière les barreaux pour avoir simplement osé dire les quatre vérités à ce Valsonge ?
Elle pesta, mais resta digne. Lorsque le garde blanc disparut, il n'y avait plus que ses pensées pour la bercer.
"... Dame Elinor ?"
La voix de Talaelys la ramena à elle bien assez tôt. Se redressant sur ses pieds, elle s'approcha des barreaux pour voir non pas un visage, mais plusieurs qu'elle reconnaissait. Dont celui de Cyric, caché à moitié par la pierre et les barreaux.
Ah.
On remarqua son manque de sang-froid. Certaines la saluaient pour avoir tenu tête à un chasseur Valsonge, d’autres voyaient là l’occasion rêvée de la faire tomber : elle n’avait, selon eux, pas été digne de son nom. Pourtant, Elinor fit ce que toute femme orgueilleuse fait en pareilles circonstances : elle se tint droite, demeura inflexible, et ne laissa rien paraître.
Elle passa le reste de l’après-midi dans la grande bibliothèque. Pas question d’étudier à demi-mot : elle s’était plongée dans tout ce qui touchait de près ou de loin à Erythmion et ses sbires. À l’image de ses aïeux, elle ne resterait pas là, immobile. Pas cette fois. Pas jamais.
Jusqu'à ce qu'on l'arrête et qu'on l'envoie aux cachots avec les autres sans qu'elle ne comprenne le sens.
Il n'était pas encore minuit, ceux qui ne dormaient pas encore -en même temps, comment dormir avec un lit par cellule ?- entendaient plusieurs pas dans les longs couloirs des cachots et des murmures inaudibles. On se débattait, une voix féminine s'élevait sans qu'une réponse ne lui parvienne et cela semblait encore plus l'énerver.
"Puisque je vous dis qu'il nous a insulté ! Et JE vais en prison ?!"
Placée dans une cellule en marge de tous, que ce soit par manque de place ou parce qu'elle était la fille de la directrice de l'Institut, elle trébucha au sol non sans qu'une colère froide ne la gagne. Elle ne comprenait pas, on ne lui avait rien expliqué. Elle qui n'était qu'une étudiante, la voilà derrière les barreaux pour avoir simplement osé dire les quatre vérités à ce Valsonge ?
Elle pesta, mais resta digne. Lorsque le garde blanc disparut, il n'y avait plus que ses pensées pour la bercer.
"... Dame Elinor ?"
La voix de Talaelys la ramena à elle bien assez tôt. Se redressant sur ses pieds, elle s'approcha des barreaux pour voir non pas un visage, mais plusieurs qu'elle reconnaissait. Dont celui de Cyric, caché à moitié par la pierre et les barreaux.
Ah.


La nuit aura été longue pour les plusieurs personnes gardées en cellules, bien que leur confort aura été assuré au "meilleur" des capacités que les geôles offraient. Les tests auront été conduits pour chacun, sortis de leur cellule avant d'y être ramenés, les uns après les autres, en présence d'un groupe de quelques membres de la tour et médecins de Gévaudan. Puis l'espace d'un temps, plus rien... Le soleil se lève, bien qu'ils l'ignorent, la journée commmence, ses premiers sons de cloche se déroulent.
Finalement, une silhouette finira par apparaître dans l'aile où les potentiels infectés sont reçus, une personne portant un long manteau bleu, ses cheveux blonds rabattus en arrière. Le vicomte de Riverhood observe les personnes, certaines peut-être encore endormies, derrière les barreaux avec les sourcils froncés, un agacement certains se lisant sur son visage tandis qu'un chevalier blanc se trouve à ses côtés, l'un des gardes de la prison également.
"Sortez-les de là.
— Messire, vous êtes sûr ? L'héritier Valsonge nous a bien fait com-
— Servez-vous l'héritier Valsonge ou servez-vous mon blason ? Si je dois vous le mettre dans la figure pour vous le rappeler, je n'hésiterai pas espèce d'abruti. Les tests sont terminés, vous me les libérez tous sur le champ."
C'est sur ces mots que le calvaire prendra fin après une longue nuit pour ceux mis en quarantaine. Les habitants de Gévaudan forcés à se rendre ici auront tous reçu une compensation en ressources à ramener chez eux, et le jeune enfant à peine né ainsi que sa mère auront pu recevoir toute l'attention du médecin de la famille seigneuriale afin de s'assurer que l'enfant se portait bien.
Finalement, une silhouette finira par apparaître dans l'aile où les potentiels infectés sont reçus, une personne portant un long manteau bleu, ses cheveux blonds rabattus en arrière. Le vicomte de Riverhood observe les personnes, certaines peut-être encore endormies, derrière les barreaux avec les sourcils froncés, un agacement certains se lisant sur son visage tandis qu'un chevalier blanc se trouve à ses côtés, l'un des gardes de la prison également.
"Sortez-les de là.
— Messire, vous êtes sûr ? L'héritier Valsonge nous a bien fait com-
— Servez-vous l'héritier Valsonge ou servez-vous mon blason ? Si je dois vous le mettre dans la figure pour vous le rappeler, je n'hésiterai pas espèce d'abruti. Les tests sont terminés, vous me les libérez tous sur le champ."
C'est sur ces mots que le calvaire prendra fin après une longue nuit pour ceux mis en quarantaine. Les habitants de Gévaudan forcés à se rendre ici auront tous reçu une compensation en ressources à ramener chez eux, et le jeune enfant à peine né ainsi que sa mère auront pu recevoir toute l'attention du médecin de la famille seigneuriale afin de s'assurer que l'enfant se portait bien.

Une lettre aura été écrite dans la nuit par la main de Valéria de Belmont, circonspecte. Celle ci est à destination de Dorian de Belmont.


Fougue de la jeunesse
"Sortez-les de là."
La détention n'avait finalement duré qu'une seule nuit, mais les premières ingérences au sein de l'Institut Riverhood ne tardèrent pas à pointer le bout de leur nez aux premières heures le lendemain matin. Deux courageux -ou insensés selon les points de vue- avaient quitté les sentiers battus pour aller à la poursuite d'une créature du néant qui ravageait le hameau d'Altegard, et il n'eut pas fallu très longtemps avant qu'on s'en rende compte. Ce fut le retour de Talaelys, en sang et blessée de la tête aux pieds, qui donna l'alerte à Elinor, à peine de retour de sa nuit dans les cachots. Fille modèle et jeune première qu'elle était, il n'avait pas fallu longtemps avant qu'elle en fasse un rapport juteux à leur supérieur, car l'intransigeance était une partie inhérente aux Riverhood.
La détention n'avait finalement duré qu'une seule nuit, mais les premières ingérences au sein de l'Institut Riverhood ne tardèrent pas à pointer le bout de leur nez aux premières heures le lendemain matin. Deux courageux -ou insensés selon les points de vue- avaient quitté les sentiers battus pour aller à la poursuite d'une créature du néant qui ravageait le hameau d'Altegard, et il n'eut pas fallu très longtemps avant qu'on s'en rende compte. Ce fut le retour de Talaelys, en sang et blessée de la tête aux pieds, qui donna l'alerte à Elinor, à peine de retour de sa nuit dans les cachots. Fille modèle et jeune première qu'elle était, il n'avait pas fallu longtemps avant qu'elle en fasse un rapport juteux à leur supérieur, car l'intransigeance était une partie inhérente aux Riverhood.
Dame Isolde,
Je me permets de vous faire part, conformément aux directives de l’Institut, d’un événement survenu ce matin à l’Œil du Loup, en lien avec deux élèves de première année, dont les actions ont violé les protocoles de l’ordre de la Tour et les règles fondamentales de l’Institut Riverhood.
Au retour de la quarantaine récemment levée, Vaelrand Estraveil et Talaelys Asuryon ont été retrouvés grièvement blessés dans les couloirs de l’Institut. Après interrogation, il a été établi qu’ils ont mené une mission clandestine à Altegard, visant à éliminer une créature du néant liée aux apparitions récentes du “sang noir”.
Les faits sont les suivants :
- Ils sont partis sans autorisation, sans encadrement, ni signalement à un membre de la Tour.
- La mission a été initiée par Vaelrand, au prétexte que “l’administration était trop lente”.
- Talaelys l’a suivi, invoquant un devoir moral de ne pas l’abandonner.
- Sur place, ils auraient affronté une entité démoniaque, liée aux influences d’Erythmion. La créature a été éliminée, le hameau serait sauvé selon leurs dires.
- Ils rapportent un artefact maléfique enfermé dans un tube de terre (une croix nécrotique) ainsi qu'une lettre en cuir humain, remise entre mes mains pour transmission à vous-même.
- Vaelrand affirme avoir été exposé au sang noir, mais assure avoir été purifié avant son retour.
- Talaelys a refusé de révéler certains éléments, invoquant une promesse faite à son camarade.
Enfin, je vous signale que les deux élèves étaient épuisés, blessés et instables, et que leur santé fut rétablie grâce aux soins de messire Dorian de Belmont.
Je laisse à votre jugement toute mesure disciplinaire et d’analyse ésotérique complémentaire. Il m’apparaît néanmoins urgent d’évaluer la dangerosité de l’artefact et de confirmer si une contamination secondaire est à craindre.
Veuillez recevoir, dame Isolde, l’expression de mon respect,
Elinor Lyssa Dorothée de Riverhood
Cinquième année à l’Institut Riverhood
C'est dans la fin de soirée que l'agent Vespérine ordonna qu'on lui amène les apprentis Vaelrand d'Estraveil et Talaelys Asuryon. L'agente à la tresse reconnaissable les attendit avec un regard fatigué et déjà bouillonnant d'une colère sourde. La nuit passée dans les cachots de la Tour avait affecté son égo comme jamais, et avait entamé une aigreur froide et foudroyante. C'est dans cet état d'esprit qu'elle ordonna froidement aux deux étudiants de s'assoir en face d'elle, alors que l'agent Argentus les rejoignit ensuite.
"Vous avez agit contre l'ordre de la Tour ! siffle l'agent, le ton montant. Vous avez agit en catimini, dans notre dos, alors que RIEN ne vous autorise à prendre ce genre de décision ! Alors je vais me répéter, Estraveil. Pour QUI vous prenez vous ? - Pour quelqu'un qui agit POUR le Gévaudan, pour ma terre natale, qui se voit meurtrie de malédiction et d'enlèvements. répondit avec une assurance presque arrogante Vaelrand. - Ce n'était pas votre place. Il y a des règles pour éviter la zizanie, l'ingérence, et le chaos. Vous ne pouvez pas agir comme bon vous semble." L'échange fut tendu, le ton s'élevant parfois assez fort. Des remises en causes, des accusations, des débats moraux, qui pouvaient autant se placer comme de l'insubordination qu'une rigidité de l'ordre trop impartiale ? Qui sait. La discussion se terminera sèchement. | ![]() |
La désobéissance de Vaelrand et Talaelys sera notifié à leurs instituteurs et responsables qui auront le droit de regard et la responsabilité sur leur punition.