[Exploration] L'Archipel d'Ori

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Lyssie Il y a 10 mois et 3 jours

[size=3]Par Revna Mordin:[/size]


[size=3]L'alchimiste semble attendre de pied ferme la suite des évènements.

Si les affaires de l'île, en soient, ne l’intéressaient guère. La protection de ses pairs et son savoir alchimique prônaient sur tout. Il avait déjà eu l'occasion de faire quelques découvertes, plutôt mineures, mais Vanaama est le genre d'endroit où les prédateurs à venins sont légion, et dont les ressources alchimiques sont régulièrement plus intéressantes grâce à la flore présente qui doit s'adapter à ce genre d'environnement. D'autant plus que les informations qu'il avait glanées ici et là, mentionnent la présence d'un serpent avec un venin redoutable.

Une possible substance pour améliorer le "Serpentaire", le poison de combat de l'Apothicaire ? Ça, il attend de le découvrir, mais en l'état, l'alchimiste a surtout préparer son habituel sac bien remplit, n'ayant plus la place pour le moindre appareil autre que ses ustensiles de recherches de terrains. Prêt à passer cette zone au peigne fin, pour le bien de son parcours vers les sommets de l'alchimie.

Peut-être, le Viera aura-t-il enfin une utilité à cette expédition ?[/size]
Lyssie Il y a 10 mois et 3 jours
[font=Lucida Sans Unicode][size=2][/size]
[size=3]Le jour était enfin venu pour l'alchimiste. Et ce dernier n'était pas des plus décevantes.[/size]

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[size=4]Voyage à Vanaama[/size]

[size=3]Participants : Karasu, Aiko, Revna, Dorian, Balian, Sofia, Ruuj, Anaelle, F'Nihra, Luther, Orgonemir, Mako'ta, Alice, Cremium, Diana, Kiyona, B'rume.
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[size=3]Premiers pas :
Les premiers pas à Vanaama, furent plus calmes qu'à Hurali, mais cependant encore plus hostile, au vu de la dangerosité de l'endroit. Pour explorer cette région, nous avions décidé d'envoyer Aiko en tant qu’Éclaireuse pour analyser le terrain et guider notre avancée.


Notre première observation notable fut un rassemblement de la part des natifs à ce qui semblait être une cérémonie, funéraire, selon les dires d'Aiko. Ne voulant pas déranger les indigènes dans une situation si importante, nous avons donc décidé de poursuivre nos recherches vers une bâtisse. Il semblerait d'ailleurs qu'Orgonemir ait pu faire quelques découvertes concernant ce rituel. En effet, ce dernier avait certaines particularités, comme le fait d'être accompagné avec des chants durant les lamentations des natifs en plus d'être baignée dans une eau à la couleur de l'ocre. Je laisserais le soin à notre compagnon de décrire ses découvertes concernant ce rituel funéraire.


Arrivée à la ville : 
Nous avons été accueillies sans grande animosité, tout du contraire. Bien que l'excès de zèle de la part des gardes chargés de la surveillance des lieux aura engendré la séparation de notre groupe. Certains n'ayant pas accepté d'être fouillés de manière trop "insistante" et intimes. Bien que les gestes de ces gardes étaient respectueux et procéduriers, je peux, cependant, comprendre la pudeur de certains. Les récalcitrants auront donc regagné l'Elysée pendant que nous avons pu gagner Vanaama. Il est important de noter d'ailleurs, qu'aucun de nous n'avait été déposséder de leurs armes.[/size]




[size=3]L'équipe était donc composée dès lors de : Dorian, Ruuj, Aiko, Revna, Orgonemir, Karasu, Balian, Ruuj, F'Nihra, Luther, Orgonemir, Mako'ta, Alice, Diana, B'rume[/size]




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Je ne peux m’empêcher de constater une ressemblance frappante avec ma terre natale qui est Thavnair. La présence de danseurs pratiquant la Kriegstanz, en plus des fragrances et de l'ambiance de mon pays, m'auront rendu nostalgique. Cependant, nous avons subit un effet de foule et avons été séparé du reste du groupe à cause de l'empressement et de la cohue de l'effet de masse, puis durant ce brouhaha au cœur de ces rues denses et remplies, mon groupe composé de Luther, Diana et B'rume et moi-même avons été endormi par des aiguillons imbibés d'une substance soporifique. Le reste du groupe fit la rencontre d'un racoleur de rue, visiblement. Il semblerait d'ailleurs, selon les observations de Ruuj, que les locaux aient subit une forme de subjugation, similaire à Hurali, certains d'entre nous ont, par ailleurs, été dépossédé de leurs objets.[/size]



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[size=3]Ce dernier, doté d'un bagou sans vergogne et d'une aura de commercial, ne se priva pas de chanter ses plus belles louanges en mettant le groupe en lumière, pour entraîner également un effet de masse et imposer au groupe une direction, ce qui aura visiblement eu le don d'irriter plusieurs personnes de la Rose des Vents et à juste titre. Ils subirent également le même effet de foule que nous en ayant été dirigés justement jusqu'à nous-même, dans une salle isolée, doté de grands voiles et de tapis ornementés. Et il semblerait que dans le procédé Dorian ait subit l'injection d'une substance alchimique. Je ne l'ai pas analysé, il faudra donc demander les observations d'autres personnes, dont Diana ou Alice.

Les responsables de ce cirque n'étaient pas autres que trois femmes, trois danseuses qui semblaient être les têtes pensantes de cette cité.[/size]




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[size=3]Ura, la plus jeune de la fratrie, un visage plutôt doux et enjôleur.[/size]
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[size=3]Awa, froide et dédaigneuse.[/size]
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[size=3]Eva, la chef de ce groupe de trois danseuses, assez narquoise.[/size]


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L'arrogance et l'assurance de ces trois femmes étaient telles, en plus de jouer avec les ténèbres de cette pièce, que plusieurs membres du groupe avaient commencé à prendre leurs armes, en postures de défenses. Dont F'Nihra qui avait visiblement du mal à contenir l'excitation et l'anxiété de la situation. Pour ma part, j'avais malgré tout plusieurs raisons d'être détendu : Nous étions toujours armés, les liens n'étaient pas serrés, l'on aurait pu se libérer nous-même, tant ces liens étaient aisés à retirer. Je pense que ces trois femmes voulaient surtout tester la diplomatie du groupe, et jouer avec leurs nerfs sans doute pour entretenir le sentiment de supériorité et pouvoir ainsi mieux se "moquer" ou s'assurer de l'assurance et de la cohésion du groupe, cependant, j'ai décidé de ne pas baisser ma garde en imbibant mes armes, au même titre que d'autres membres du groupe préparèrent leurs armes en vue de se défendre si jamais la situation s'accentuait en mal. Je déplore les comportements de F'nihra, Dorian et Mako'ta, par ailleurs, l'une pour son manque de sang-froid, l'un pour son manque de diplomatie, et le troisième pour le coup inutile fait à F'nhira pour la calmer, alors que Ruuj et moi-même l'avions déjà neutralisée, en plus d'avoir voulu la déposséder de ses armes, finalement Aiko et moi-même avions d'ailleurs parlementer avec ce dernier pour le dissuader de désarmer sa camarade.[/size]

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Cette ambiance anxiogène aura eu raison des nerfs de plusieurs d'entre nous, dont notamment F'Nhira et Dorian, si la première fut calmée par l'intervention d'un sort de sommeil de Ruuj et d'un gaz soporifique de ma part, c'est Diana qui dut s'occuper de Dorian afin de calmer ses ardeurs et sa rengaine envers les moeurs et coutumes des Vaanamiens.

Cependant, de part la diplomatie de Karasu et de Ruuj, nous avions finalement réussi à obtenir ces informations ci-dessous :
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La grande île qui compose Vaanama est déjà morte, les locaux vivant sur le dernier morceau de terre encore fertile. La grande terre abandonnée est ainsi tristement surnommée la "Terre du Vide", ensuite les épidémies successives dont la "Peste Blanche" finirent par avoir raison de la moindre manifestation de vie en ces terres macabres, forçant de plus en plus les Vaanamiens a se réfugier dans la capitale. C'est ce mode de vie anxiogène et survivaliste qui a certainement tourné le peuple vers leur déité en dépit de "Ori", en effet, seul un temple d'Apophis semble présent.

Mais malgré tout, ces trois femmes, au fond acceptaient de croire en la prophétie, qui, une fois rassurées par les dîres de Karasu, auront décidé de prendre une mèche de cheveux de Ruuj et de cette dernière, avant de nous inviter à les suivre vers la bibliothèque...[/size]




[size=3]Revna Mordin[/size]

Lyssie Il y a 10 mois et 3 jours

[size=4]Par Revna Mordin:[/size]




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[font=Lucida Sans Unicode]

[size=3]Participants :  Revna, Ruuj, Orgonemir, F'nihra, Aiko, Karasu, Mako'ta.[/size][/font]

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Nous nous sommes rendus, guidés par la Triumvirat à la bibliothèque de Vanaama. Eva, chef du trio nous expliqua donc les modalités d'accès, et nous fit faire une promesse, sous l'autorisation de Lenore Riverhood. La promesse fut la suivante : De rétablir l'ordre et de sauver l'Archipel, la parole, une fois donnée par la voix de Karasu, nous avons fini par être autorisé donc à pénétrer ce lieu de savoir, où nous avons chacun entreprit nos propres recherches. Pour ma part, ce furent majoritairement des recherches sur l'Alchimie où j'ai pu faire quelques découvertes intéressantes.


Vanaama a été fondée par des immigrants Thavnairois, et bien que les Arkasodaras ne soient plus vivants suite à la guerre. Le savoir alchimique aura continué à être un fer de lance pour cette nation, comme pour Thavnair.


En joignant par la suite mes recherches avec celle d'Orgonemir, j'ai découvert qu'un certain "Kanok" serait le créateur de ces épidémies, dont celle de la Peste Blanche.


Ensuite, durant les recherches de chacun, j'ai cherché à me rapprocher d'Eva, le chef de la "TriumVarat" en échangeant avec elle quelques mots, d'autant plus qu'elle avait conscience de tout ce qui y avait dans cette bibliothèque. Elle fut intéressée par l'échange de connaissances avec moi-même, et dès lors, je lui proposai donc d'offrir un juste tribut équitable en échange de ce qu'elle savait, et c'est en me demandant de la suivre, et en quittant le groupe pour m'enfoncer dans la bibliothèque, que j'ai pu échanger avec elle et faire d'autres découvertes.[/size]



[size=3]Avant de consigner mes propres découvertes et actions, je rajoute ci-joint les documents d'Orgonemir, sur ses recherches : [/size]




[size=3]Notes :[/size]


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Il y a très longtemps, Thipok, le fils du Roi Thong, et frère aîné de Muhoi, est déshérité par son père et chassé des terres des Ahuleiens suite à une faute grave mettant en danger l'entente entre Ahulei et Piharii. Il est considéré alors comme indigne du trône.. A l'âge de 13 ans, Thipok, disparait

Deux ans plus tard : un jeune garçon, de quinze ans, est recueilli parmi les Vaanamiens. N’ayant pas de nom, il se fait baptiser Kanok. Un an plus tard : Les compétences de Kanok attirent l’attention des membres du Triumvirat de Vaanama. L’un des deux le prend comme apprenti. Trois ans plus tard : Kanok succède à son mentor.

peut lire la version "du peuple", celle que tout le monde connait. Même eux. La même année : Le roi Thong meurt, Muhoi hérite du trône d’Ori. Il meurt, lui et toute sa famille proche, dans un incendie dont on ne connaît pas l’origine. Somdej, un cousin éloigné dans la lignée des Grands Rois, est mis sur le trône. Sa position est discutée.Un an plus tard : Des épidémies commencent à naître sur les îles de Pihari, Vanaama et Hurali. Les dirigeants de Pihari et Hurali crient à la punition divine, pensant le roi Somdej indigne de l’artéfact. La grande guerre éclate afin de récupérer l’artéfact et récupérer la protection divine contre les maladies. La même année : Durant la guerre, les épidémies disparaissent sur Pihari et Hurali. Cependant, Vaanama est consumée par la peste blanche. Les deux collègues de Kanok au Triumvirat disparaissent ainsi que leurs élèves et l’élève de Kanok, laissant deux places vacantes au conseil. Kanok, dernier membre du conseil, engage Vanaama dans la guerre pour protéger son peuple. Cependant, il est emporté par la peste blanche...

Un an plus tard : Vaanama se retire du conflit, sa population est massacrée par la peste blanche, l’île principale est abandonnée. Un an plus tard : La guerre se termine par la victoire de Pihari sur Hurali et Ahulei. L’île d’Ahulei est détruite par la guerre, morte. La population est obligée de migrer vers Tuhei. Manea érige une barrière de corail entre Piharii et le reste de l’archipel avant de retourner dormir. Trois ans plus tard : Piharii offre son protectorat à Tuhei. Fin de l'histoire "du peuple".

Orgonémir est tombé pile sur le livre qu'il fallait. Il tombe sur des rumeurs qui font mention d'un certain Kanok. Signé par le deuxième membre du Triumvirat : Daram. "J'écris aujourd'hui car je pense avoir découvert qui est Kanok. Je le pensais bon, je le pensais en phase avec nos idéaux...mais il nous a utilisé dans l'espoir d'avoir le contrôle sur la couronne... Pourquoi voulait-il tuer le roi Muhoi ? Je crains pour ma vie."

Orgonémir tombe sur d'autres écrits d'un certain Katyr. L'autre membre du triumvirat. "CE FOU NOUS A TOUS CONDAMNE !! Danam est mort, je suis le prochain à suivre... Ô Apophis, guidez-moi vers la bonne direction...." ; "Ce traitre de Kanok a plongé tout l'archipel sous les épidémies, faisant croire à tout le monde que le cousin, Somdej, n'était pas digne du trône !" ; "Evidemment que personne n'allait croire à un roi qui apportait les maladies et la pauvreté !" ; "Tout le monde va se faire la guerre, c'est la fin..." ; "Un jour, il finira par mourir de son propre venin."

Kanok est Thipok. Il récupère également d'autres informations... Le karma rattrape Thipok, alors que la peste qu’il a fait éclater sur ses terres afin de justifier l’entrée en guerre de Vanaama est hors de contrôle, et l’emporte. Le Grand Roi Ahuleien fuit le palais le dernier jour de la guerre, grâce au sacrifice de sa garde personnelle, avec sa femme, son fils, et l’amie d’enfance de ce dernier...mais se sont-ils cachés ?[/size]


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[size=3]Représentation d'Ori[/size]


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Orgonémir croirait tomber sur une bénédiction en qualité de chevalier dragon. Ce dragon sera venue "du nord-est (en fonction de la carte, cela pointerait dravania...). Il serait apparu un beau jour sous une chaleur torride. Sa braise et son blizzard auraient créer une sphère paradisiaque pour l'archipel et pendant longtemps, il se serait reposé sur le grand volcan se situant sur Ahulei. Sa langue, quant à elle, n'a jamais pu être comprise par les habitants... Mais ce qu'il apportait, l'eau en continue, une absence de maladies, une absence de quoi que ce soit -il les aurait même protégé de Bahamut !- témoignerait de sa volonté à protéger "son" peuple qui le vénère.[/size]

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Note de Orgo : Les écrits sont vieux de 500 ans, donc 500 ans minimum. Surement un enfant de Hraesvelgr
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Ori était là depuis bien longtemps, qu'avant les peuples et leurs dieux (dont Ori) s'affrontaient et que finalement Ori a mené à la paix en allait au sommet des ailes du monde avec les dieux, puis qu'il adonné son oeil comme cadeaux à toute l'archipel pour maintenir la paix au travers des bienfaits de cet artéfact.[/size]



[size=2] [/size][size=3]Voici désormais dès lors mes propres observations et mes promesses faites à Eva, et Vaanama.[/size]



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-La majorité de la population, à la manière des danseurs de la Kriegstanz, s'est spécialisée dans l'art "du normal". L'intégralité de la population sait se battre, et les indigènes sont tous des combattants ou des espions ou des alchimistes sachant se défendre, d'où d'ailleurs l'absence de garde à l'intérieur de la ville, ils sont des combattants "normaux", déguisés en "civils normaux". La situation du pays forçant très certainement ces derniers à devoir être capable de se battre pour survivre dans ce milieu hostile.
-La Terre du Vide est encore contaminée par les résidus des maladies et de la Peste Blanche, Eva m'a déconseillé d'y aller.
-Les alchimistes de Vanaamas sont spécialisés dans l'alchimie des illusions.


J'ai échangé avec Eva, et je suis un homme de parole, je ne peux non seulement pas pouvoir rendre ce savoir récupéré... Tout comme je ne peux laisser ce pays souffrir des affres d'une alchimie mal maîtrisée. En tant que future plus grand alchimiste de cette ère, je me dois de sauver ce pays, ainsi, j'en ai fait la promesse à Eva.


Après être retourné sur l'Elysée, j'ai donc décidé de partir vers la Terre du Vide, avec une combinaison adaptée et en me protégeant avec mon savoir alchimique, je devais voir de mes propres yeux l'étendue des dégâts causés par cette peste : Les Vaanamiens sont bloqués dans leur capitale à cause de la dangerosité des sols, ils ne peuvent donc plus vivre sur cette terre, et encore moins espérer avoir un avenir dans cet environnement.


Mes décisions seront sans appel, je vais soigner Vaanama et faire en sorte de lui rendre sa gloire d'antan. Et veiller à ce que ce genre d'épisode ne puisse plus se reproduire, j'accepterais les responsabilités de sauver ce pays, et je ferrais en sorte d'honorer leurs savoirs, tout en cherchant à ce qu'eux, honorent les miens. Ainsi, je suis revenu auprès d'Eva après mon analyse des sols, en promettant que mon savoir de l'alchimie allait permettre de sauver l'île et de la rendre habitable, ainsi que d'en faire un paradis. Afin de prouver que l'alchimie peut certes répandre la mort, mais peut également transformer une Terre synonyme de mort, en un paradis fertile. Il est important que la Rose des Vents parviennent à effacer ce primordial, Apophis de disparaître pour de bon, car sa présence puise le peu de force dans la terre. Dès lors qu'il ne sera plus présent, je pourrais soigner l'environnement.

J'ai ensuite, après mes paroles, consigner l'intégralité du savoir alchimique de Vaanama dans mon cristal d'âme d'Apothicaire, et je vais donner en échange un autre cristal d'Apothicaire que je vais confectionner pour la Triumvarat.[/size]



[size=3]Revna Mordin[/size]
Lyssie Il y a 10 mois et 3 jours
[size=4]Par Kiyona :[/size]

[size=3]Alors, qu'elle somnolait dans sa cabine en attendant le retour de son amoureux ainsi que des compagnons de la Rose, la miqo'te fut tirée de ses rêveries par un brouhaha sans nom via sa perle... C'était la tribale qui faisant, comme à son habitude, n'importe quoi.

Elle provoqua Orgonémir en duel pour le "plaisir" . Ce dernier refusa et s'ensuit une brève conversation via la perle. Kiyona le rejoignit sur le pont et ils commencèrent à discuter puis peu de temps après, ils furent attaqués par F'Nihra alors qu'elle débaroulait sur le pont. 
Le chevalier alors dégaina son épée et dévia la course de l'arme de la tribale. S'en suivit une conversation plus ou moins houleuse entre l'élézen et Nihra pour faire comprendre à cette dernière qu'on attaque pas les gens ainsi et que les duels ne sont pas prit à la légère par le noble. 

Leur conversation dévia et le ton haussa entre le trio puis le couple finit par laisser la miqo'te avec Alice qui était arrivé sur la pointe des pieds !

Kiyona et Orgonémir finirent la soirée en tête-à-tête dans un coin de l'aéronef en train de discuter.[/size]
Lyssie Il y a 10 mois et 3 jours
[size=4]Par Alice :[/size]

[size=3]L'ex-aventurière sera restée silencieuse. Que ce soit durant le reste de l'exploration de la bibliothèque ou bien durant le retour à l'Elysée en se tenant sur ses gardes. Gardant, littéralement, un oeil, une oreille et ses sens d'ether vers la direction du "Dieu". Du Primordial. Lui rappelant de vieux souvenir, lui rappelant à quel point sans les Héritiers les soldats et aventuriers étaient inutiles. Néanmoins, comme avant, comme maintenant, elle s'était engager. Si le groupe décidait d'aller affronter un Primodial, même "mineur", elle irait avec un sourire chaud aux lèvres et une attitude positive.

Pas comme si elle pouvait se permettre d'autres émotions, vraiment.

Mais c'était un autre point, la soigneuse nouvellement recrutée aura passée une partie de la soirée au retour de la bibliothèque à rassembler ses informations et relire les notes prises et déposés par tout un chaque que Monsieur Mordin... Revna... Avait déjà commencer à rassembler.
Pour être distraite par les bruits du ponts.
Elle était arrivée après la bataille. Vraiment littéralement de ce qu'elle avait put apprendre. Car à peine arrivante qu'Orgonémir était partit, suivit ensuite de très près par une Kiyona colérique, laissant alors la hyure brune avec une jeune miqo'te dépitée.

C'était l'heure d'être un peu pédagogue alors.

Alice aura passée le reste de la soirée, voir nuit, a discutée avec F'nihra, aidée et accompagner par Mako'. Parlant de sa tribu, de ses traditions, des différences, des chocs des cultures, etc., etc. La soigneuse ne jugeant jamais, ne disant jamais "non tu as tort". Cherchant plus à guider Nihra à comprendre d'elle-même pourquoi certaines personnes réagissent comme elles réagissent.
Une tache difficile.
Elle aura finit la soirée en cherchant à convaincre Nihra d'aller s'excusée auprès d'Orgonémir et Kiyona le lendemain. Quelque chose dont elle était sûre que la petite miqo'te comptait déjà faire.

Mais un rappel d'une main froide de métal n'étais jamais perdu.[/size]
Lyssie Il y a 10 mois et 3 jours
[font=Lucida Sans Unicode][size=4]Par F'nihra :[/size][/font]


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[size=3]Les derniers jours auront été aussi intenses que difficile pour la jeune tribale à peine sortie de l'œuf, ou de la dernière pluie si on omet que la pluie est une météo inconnue en Sagolii. Elle aurait pu penser que cette aventure allait être difficile martialement ou physiquement parlant, mais elle était bien loin de se douter que c'est bien sur le plan social que les premières difficultés allaient se poser! Quel plus grand challenge que ses propres camarades? Surtout quand ceux-ci sont aussi inconnus que différents en matière de culture et de comportement.

La jeune miqo'te aura accusé le coup, ces deux derniers jours en enchaînant bêtises sur bêtises. Des bêtises bien souvent causées par des réflexes liés à son éducation plutôt que par une véritable envie de nuire! Comment peut-elle comprendre la diplomatie aussi tôt dans son apprentissage de la culture étrangère? Après tout, la seule diplomatie que les F entretiennent avec le monde extérieur est auprès des U et des Alamjaa et autant dire que l'un comme l'autre, la diplomatie s'arrête à quelques escarmouches et coups dans le dos de la part des trois camps qui ne sont vraiment pas tendres entre eux![/size]



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[size=3]En tout cas, la miqo'te aura fait une arrivée remarquée auprès de ses nouveaux compagnons de la Rose des vents! Ceux-ci bien peu habitués à côtoyer ce que les tribus miqo'tes les plus reculées ont à offrir! Cela a au moins le mérite de donner un bon coup de dépaysement pour les plus nobles d'entre eux. Un dépaysement bienvenue ou non, d'ailleurs. Celui qui en aura peut-être le plus pâti, aura été le chevalier dragon Chanthiver, qui aura eu la drôle de surprise de voir la jeune Nihra lui sauter au cou, le jour précédent, pour quémander un duel! Sûrement un comportement banalisé dans les tribus, mais qui ressemble plus à une agression ou à une bêtise d'enfant dans ce monde étranger.

Dépitée de constater amèrement la différence notable de culture entre les tribus et les ressortissants d'Ishgard, la jeune tribale était bien perdue et heureusement qu'Alice est venue l'épauler et lui expliquer calmement le pourquoi du comment et comment elle devrait essayer de se comporter pour faire moins de vagues. Il est clair que ce n'est pas en une discussion qu'elle parviendra à s'adapter au mode de vie et aux coutumes des étrangers, mais le premier pas était fait en ce sens! Aussi, la miqo'te est allée le lendemain venir présenter ses excuses auprès du chevalier dragon quant à l'attaque de la veille. Bien heureusement, pas rancunier pour un gil, ce dernier accepta, mettant l'incident sur le compte de la jeunesse et de l'inexpérience de la jeune miqo'te.

Il lui aura même proposé d'animer sa morne journée d'un entraînement aux armes! Évidemment, difficile pour Nihra de refuser une pareille occasion d'enfin pouvoir se dégourdir véritablement les pattes et de laisser tranquilles les pauvres rats de bibliothèque! Le combat eu lieu sur le pont de l'Elysée. Nihra avec sa paire de lames Sathiars et le chevalier Chanthiver accompagné de sa claquante armure et de sa lance. On aurait pu s'attendre à un combat au sommet! Tout du moins, c'est ce à quoi s'attendait la petite miqo'te qui est tombée de bien haut une fois le combat terminé en quelques courts échanges de lames et de corps, transpercée au flanc par la lame de son adversaire. 

Une vilaine blessure qui se fit rapidement prise en charge par le chevalier qui lui apporta les soins nécessaires. L'honneur coincé dans la gorge et la caudale blonde entre les cuisses, il est clair que la sauvage n'aura pas fait la fière en cette fin de soirée suite à cette vilaine déculottée qui aura au moins eu le mérite de lui passer ses envies belliqueuses. Elle en aura profité pour se reposer calmement durant les prochaines heures.[/size]
Lyssie Il y a 10 mois et 3 jours
[size=4]Par Revna Mordin:[/size]

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[font=Lucida Sans Unicode][size=3]Voici venue l'heure de la rencontre avec un dieu Serpent, le Viera ne pouvait s’empêcher de se sentir intrigué, mais également curieux de rencontrer une "divinité serpent".  Peut-être que le voir lui donnera de l'imagination pour son venin du "Serpentaire".[/size][/font]



[size=4]Rencontre avec Apophis wrote:[/size]

[size=3]Participants :  Revna, Alice, B'rume, Karasu, Kiyona, Ruuj, Sofia, Orgonemir, Aiko, Balian, Dorian.
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Nous nous sommes rejoint afin d'aller à la rencontre de ce dieu reptilien, nous avions décidé de conserver une formation derrière Ruuj, cette dernière étant la seule détentrice du pouvoir de l'Echo pour assurer notre protection. Une fois l'organisation achevée, nous avons décidé de fouler l'entrée de ce temple après plusieurs longues minutes de marche.[/size]



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[size=3]Lorsque nous sommes arrivés face à la porte du dieu, nous avons fait la rencontre d'une femme à l'allure élancée, d'un air hautain, le visage dissimulé sous un voile de tissu aux couleurs du sang, cette dernière accompagnée de quatre autres femmes en se présentant comme étant des prêtresses. Elle nous informa que le dieu "Apophis" est le genre de dieu, peu conciliant, qui ne se montre que pour effectuer "le mal nécessaire". Mais face à notre volonté d'aider l'île, la prêtresse finit par abdiquer pour l'invoquer en nous informant qu'un tribut devait être versé en échange de son savoir à l'image du reste des échanges de cette nation, d'ailleurs[/size]
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[size=3]La prêtresse d'Apophis.[/size]

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Il fallut désigner quatre volontaires pour procéder à "l'invocation". De par mon rapprochement avec la TriumVirat, je me suis porté volontaire en compagnie d'Alice, Karasu et B'rume.

Je ne saurais dire la suite des évènements, j'étais dans un autre monde, comme en suspension, mon esprit s'était envolé tout autant que mon ouïe.[/size]

[size=3]Alors que le dieu se présenta au groupe, il se représenta de sa grandeur et de sa puissance divine supérieure en tentant de subjuguer le groupe, une seule personne fut touchée, Balian, de manière légère.[/size]



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"Ô Apophis, dieu des secrets et du temps, entends ma voix ! Et que ta voix traverse les âges et l'éther, par leur sacrifice"[/size]


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La présence du Serpent étant tant omniprésente par sa taille que par sa prestance, entourant le groupe de son corps, et répondant par la voix des sacrifiés.

Il exprima son mécontentement envers les Pihariiens ainsi que sa rancune, bien que la véritable cause de la mort des terres de Vanaamas soit due aux épidémies et aux guerres qui ont ravagé les terres. Karasu dénuée de sa volonté et de sa voix, laissa donc place à Ruuj en qualité de diplomate principale afin d'échanger avec le dieu reptilien. Pour acquérir ces informations : 

"Kanok fut le fils déshérité de feu le roi Thong, de son vrai nom "Thipok" il se vengea de son écartement de la lignée royale ce qui causa la Terre du Vide. Et la raison de son déshéritage fut la corruption de son ambition. Il se retrouva à désirer l'oeil d'Ori, si bien qu'il n'en était plus digne selon les dîres de son père, actuel héritier aux moments des faits. Ce qui ne l'aura pas décourager à tenter d'acquérir cet oeil de dragon pour ses propres ambitions.

A ses 15 ans, il attira l'attention du triumVirat de l'époque et l'un d'eux décida de le prendre sous son aile où il apprit l'alchimie jusqu'à créer la Peste Blanche, peste dont les symptômes sont des glaires ensanglantés, des vomissements répétés et des pertes de conscience, en étant extrêmement contagieux, la peste se répandit en un clin d’œil sur Vanaama. Dès lors que son cousin, Somdej, a finit par prendre les rennes, lui même ainsi que ses propres disciples se sont rendus sur les îles pour répandre les maladies par le biais de cadeaux empoisonné, jusqu'à d'ailleurs finalement nourrir de sa propre exaction."

 Orgonemir aura réussit à s'assurer par la réponse du serpent, que personne ne semble cette fois-ci, vouloir nuire à la paix de l'Archipel. 

L'équipe diplomatique ne parvenant pas à marchander avec le dieu serpent pour récupérer ce qui a été ôté aux aventuriers, Apophis resta maître de son marché pour tenir en otage les quatres sacrifiés, désormais subjuguer.

-Ainsi mis en otage, les sens de ouïe de Revna, la parole de Karasu, la vue de B'rume ainsi que le toucher de Alice, ne seront rendus que si la Rose des Vents parvient à réunifier l'archipel.

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Revna Mordin


Lyssie Il y a 10 mois et 3 jours
[font=Lucida Sans Unicode][size=4]Par Lenore de Riverhood :[/size][/font]

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[size=3]Ce qu'ils craignaient était finalement arrivé. Du pont de l'Elysée se dressaient les innombrables montagnes d'Ahulei, toutes plus ternes et mornes que la terre à leur pied, les arbres n'étaient plus, remplacés par des cratères ou des ruines sans vie, stigmates d'une guerre sans merci entre les peuples d'Ori. Au loin, un grand volcan surplombant la dernière île dormait.

Au prix du sacrifice de leurs amis, ils étaient parvenus à communiquer avec le dieu Apophis, le Dieu Serpent qui, malgré tout, apporta quelques précisions sur les événements du passé. Ce sacrifice cachait en réalité un serment, celui de ramener le dragon Ori et l'héritier d'Ahulei face à l'Oeil d'Ori, soigneusement gardé depuis un siècle sur la terre des Pihariiens. Dix heures tapantes, les nuages noirs ne laissaient plus les rayons du soleil passés. En contrebas de l'Elysée, là où s'écoulaient autrefois d'immenses chutes d'eau, là où la végétation recouvraient chaque bout de l'île, ne demeurait que la mort et la dévastation, fruits des hommes et d'une main invisible. Au-delà des quelques grands arbres sans feuillage dépaissaient parfois quelques vestiges d'une civilisation presque oubliée par l'archipel, rien de très impressionnant si ne serait que la pointe d'une tour épargnée par les affres de la guerre.
De toutes les îles qu'ils avaient pu rencontrer, ils s'attendaient à ce qu'Ahulei soit la plus triste et la plus ravagée par la Ruptures des Terres et ils n'avaient pas tort, pas plus qu'ils s'attarderont sur son histoire une fois qu'ils auront mis le pied à terre.

L'Elysée paraissait bien lumineuse comparée à cette île consumée par ses propres sujets. Une lumière qui, peut-être, apportera le renouveau de l'Archipel... Fallait-il encore qu'ils parviennent à retrouver cet héritier, et le dragon avec lui.[/size]



[size=3]"Vanaama vous apportera le savoir !
J'espère que vous pourrez nous trouver après cela. S'il vous plaît..."[/size]
Lyssie Il y a 10 mois et 3 jours
[font=Lucida Sans Unicode][size=4]Par Orgonémir :[/size][/font]





[size=4]Rapport d'expertise sur Ori :[/size]



[size=3]En tant que chevalier dragon, je me suis permis de consigner ici mes avis et théories au sujet d'Ori, elles peuvent être vrai comme fausse, mais au moins cela permettra de nous faire sans doute une idée sur laquelle est Ori réellement au-delà d'une divinité local.[/size]

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Origines :[/size]

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[size=3]Voici une reproduction de la représentation d'Ori qui était présente dans la grande bibliothèque de Vanaama. L'a peu vu à la couleur de ses écailles que son "type" et soit lié à l'eau ou à la glace cependant, il est à noter qu'à ma connaissance, des dragons usant d'eau dans leurs souffles sont rares voire inexistants, d'habitude ils usent de feu, de foudre, de glace voire de poison dans certains cas. C'est ainsi que dans la légende de l'archipel, il est dit qu'il usa de son blizzard et de sa braise pour créer une sphère paradisiaque sur les îles, ainsi donc on peut supposer que l'eau que l'on lui attribus ne serait que le résultat de sa fusion des souffles, ce qui est déjà un grand indice sur sa force de base.

Secondement, les légendes Ori viendrait du Nord-est, donc de Dravania, et il serait venu sans ses enfants, les récits ne faisant aucune mention de dragonnet, d'oeufs ou autres, sa tanière se trouverait aussi au volcan de l'île, ce qui n'est pas surprenant pour un dragon. Nous n'avons pas de date précise de son apparition car elle serait antérieure à la venue des habitants de l'île, cependant les écrite date d'environ 500 ans, et Ori serait présente depuis bien plus longtemps, la question est ... Pourquoi aurait-il quitté Dravania ?[/size]

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C'est ainsi que je passe à ma partie théorie et supposition.

Ses origines :
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Au vu de là il semble venir, nous pouvons sans nul doute considérer qu'il faisait partie de la horde Dravanienne de Nidhogg, Hraesvelgr et Ratatoskr, et qu'il serait un très vieux dragon, dont je ne saurais estimer son âge, mais il serait déjà bien supérieur à 1 000 ans, et aurait été adulte durant la trahison du roi Thordan il y a un millénaire de cela. . La question est ... De quelle grande Wyrm descend-il ? Pour cela je ne peux apporter de réponse claire, mais je vais confier les arguments pour chaque. Déjà, au vu de sa force Ori serait l'un des enfants directs d'une des grande Wyrm, soit, il serait issu d'une sélection et "d'expérience" qui font que sa taille et sa force soient plus grande que les dragons de base, comme l'a pu l'être Vishap, le grand dragon qui assiégea la sainte cité il y a quelques années de cela.

Nidhogg : Ce qui me dis qu'Ori serait un enfant de Nidhogg serait au sujet de son "croisement" et sa sélection, Nidhogg aurait très bien pu "créer" Ori en sélectionnant ses enfants pour en faire un dragon très puissant pour sa horde. Ori aurait cependant fui son chant à un instant pour ne pas participer à la guerre, il y a un dragon similaire qui lui serait parti en Orient au début de la guerre du chant des dragons pour ne pas attaquer les hommes car elle souhaitait la paix. Les rapports indiquent que l'éloignement de son compagnon ( l'un des enfants de Hraesvelgr ) l'aurait rendu si triste et l'influence du chant, bien que réduit, qu'elle aurait perdu ses esprits et serait devenue violente dans les steppes. Elle aurait repris ses esprits grace au chant de l'un de ses fils et de son compagnon une fois affaibli par les deux dragons célestes. Si Ori se montre à nous, il ne faudra sans doute s'attendre à ce que la raison de son éloignement soit dû à cette "colère" qui peut perdurer même après la mort de Nidhogg, certains de ses dragons étant encore sous influence de son chant.

Hraesvelgr : Hraesvelgr est connu pour être un dragon pacifique, mais surtout neutre. Beaucoup de ses enfants préfèrent rester en paix et ne pas participer aux conflits. L'aura blanche de l'oeil lorsqu'il nous parla au sanctuaire d'Ori est aussi typique de Hraesvelgr qui semble émaner une aura douce, blanche et lumineuse. Il ne serait pas stupide de dire qu'Ori aurait fui Dravania pour ne pas se mêler aux conflits, ou, qu'il serait un enfant croisé entre la lignée de Nidhogg et celle de Hraesvelgr. Ne voulant donc pas prendre part aux conflits, il aurait donc fui là où son chant aurait peu d'influence.

Ratatoskr : Théorie sans doute la plus bancale, mais elle a ses avantages. En se renseignant sur Ratatoskr, nous apprenons qu'elle était très proche des humains, elle aimait chanter et faire des représentations pour nos ancêtres Ishgardais et était la messagère de la horde Dravanienne à l'époque avant la trahison. Elle et ses enfants sont très proches des humains à la base, ceux de sa lignée étant aujourd'hui encore, très curieux et souhaitent en apprendre plus sur les coutumes humaines malgré la guerre. Dans cette situation, Ori aurait donc fui Dravania par chagrin suite à la mort de Ratatoskr, et n'aurait pas souhaité participer à la guerre du chant des dragons.

Le pouvoir de son oeil :

Ori est le premier dragon dans l'histoire qui aurait donc donné volontairement son oeil à des hommes, bien avant que Hraesvelgr ne prête le sien au guerrier de la lumière. Cependant, il n'est pas un des membres de la première couvée de Midgardsormr à mon humble avis, et son oeil reste tout de même très puissant pour avoir une telle influence sur l'archipel. Selon moi, ce sont les prières ainsi que les croyances des habitants qui au fil des âges ont gorgé l'oeil d'éther et l'aurait ainsi donc renforcé, comme la haine de Nidhogg aurait renforcé ses yeux.En ce qui concerne le porteur légitime, cela ne me paraît pas stupide, étant donné qu'à Ishgard, l'oeil de Nidhogg confiait ses pouvoirs au dragon céleste via le mérite, le chevalier dragon le plus proche de sa furreur. Étant donné que l'oeil d'Ori fut confié de lui-même à la famille royale, il serait donc réellement impossible que l'oeil obéisse où ne donnent pas tous ses pouvoirs à quelqu'un qui ne serait pas de sang royal, ou, qui ne serait pas en accord avec l'idéal de paix d'Ori.

Conclusion et suggestion :

Ainsi donc se finit mon rapport et mon expertise de chevalier dragon. Évidemment, je peux me tromper sur toute la ligne, cependant je pense que cela pourra nous servir si nous rencontrons Ori en chair et en os ou pour l'appeler. En effet, s'il vient de Dravania et qu'il l'aurait fuis pour ne pas participer à la guerre, il y a de grande chance qu'il pense que le chant de Nidhogg raisonne encore, il serait donc intéressant, selon moi, de lui expliquer ce qu'il s'est passé, que la paix règne à nouveau entre les Ishgardais et les dragons. Peut-être que cela viendra le faire réagir, car nous parlerons de son passé, de ses origines, et non de son rôle à Ori.[/size]




[size=3]Orgonemir Chanthiver[/size]

Lyssie Il y a 10 mois et 3 jours
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[size=4]Exploration d’Ahulei du 27ème jour de la Onzième Lune :[/size]

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[size=3]Participants : Lenore Riverhood, Diana Evans, Revna Mordin, Balian Dunval, Karasu Fuyu, Ruuj, Alice Clarke, B’rume Gelbrouillard, Aiko Tekiya, Mako’ta Gendhalam, Sofia Olsen, Dorian Belmont, Luther Brillame.
Objectif : Reconnaitre Ahulei et trouver le fils d’Ori.
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Nous débarquâmes sur Ahulei qui s’étaient dessinées avec ses montagnes aussi grandes que le monde, et une terre aussi triste que désolante... L’Île est noire, il n'y plus de vie, plus de végétation à sa surface. L'Elysée atterrit...dans les vestiges d'une ancienne grande cité. Celle qui fut la capitale de ces lieux, des ruines immenses, que l’on ne peut voir que dans les plus grandes cités de ce monde. Mais désormais tristes, vides et silencieuses. Seul animée par les souvenirs que l’on peut imaginer l’arpenter.
Au-delà des murs, un paysage tout aussi triste, désolé et vide, sans végétation.
Tu sens que tout autour de toi, la vie est morte. L'éther n'est pas pauvre pour autant, étant donné qu'il marque encore les nombreux combats qui y ont eu lieux, mais il n'est plus rattaché au "vivant". Cette cité, au même titre que bien des lieux il semblerait, sont vides de vie. Pourtant un ressentit chatouille ton esprit ... Une sensation de douceur, au loin, loin derrière les murailles de la capitale décédée.
Le chemin s'offrant à nous. Un petit chemin de pavé vous offre une direction à suivre. Vous voyez tout autour de vous, une fois que vous sortez de la ville en ruine, autours de nous, partout des corps, des squelettes. Témoins silencieux des morts de jadis.
C’est le chemin vers le sud que nous prîmes, quittant les murailles pour arriver dans un village vide de vie, comme de beauté, ruine silencieuse. Tout y semblant est morne, triste. Des pierres de quelques bâtiments chutés de quelques bâtiments formant des amas anarchiques.
S’y devinant des étals brisés, des maisons trouées, sûrement par des machines de guerre. Les corps témoignant autant de civils que de guerriers. Et parmi eux, le plus terrible ; des enfants réduit à l’état de squelettes qui, furent enseveli sous les débris, où périrent dans les combats.
Continuant de poursuivre vers le Nord, nous approchèrent des montagnes à travers une forêt sombre et morte. Les arbres torturés semblant montrer des visages.
Au loin, se dresse devant vous une grande...très grande tour. Tout aussi sombre que le reste de l'île, c'est la seule qui soit visiblement resté en état. Ou presque. Assez pour être plus remarquable que le reste des vestiges en ruine sur cette île.
La présence de ceux que nous cherchions néanmoins, était dissimulée derrière un voile. C’est en montant que le roi de l’archipel me tomba dessus, et je dois bien l’admettre, par surprise, me prenant en otage.[/size]


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[size=3]Munoi, grand roi d’Ori.[/size]

[size=3]Cela dit bien vite, une voix vient lui demander de me relâcher, une voix bien jeune que j’avais entendue à travers l’œil. Celle que je devinais être celle d’Ori. Nous venions de trouver le dieu, et son héritier. De façon étrange, privé de son œil, Ori en avait été réduit à la taille d’un dragonnet. Qui se posa un instant sur le bras de Karasu.[/size]


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[size=3]Ori dragonnet[/size]

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[size=3]Nous entreprîmes rapidement de nous rendre à Piharii, avant de nous rendre aux ailes du monde où l’unité du peuple symboliquement pourrait être retissée, comme un millénaire plus tôt.
Sur Ori, nous fûmes accueillis par une foule immense. Et bientôt, les Flèches Divines et Tui s’écartèrent, laissant l’héritier Muhoi approcher de l’œil. Celui-ci se mettant à grandir jusqu’à devenir un immense dragon.[/size]


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[size=3]Ori taille adulte.[/size]


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Nous nous envolâmes ensuite vers Tuhei et les ailes du monde sur le dos du grand dragon. Bientôt, à l’horizon, la grande barrière de coraille disparue au Nord Est. Apophis et Apademak nous rejoignant. Les discussions durèrent un temps, nous avions accomplit notre part, et les sens de nos compagnons nous seraient rendus. Quant à Orgonemir, il parla à Ori de ce qui se passa à Dravania. Celui-ci affirmant rester en ces lieux.
Enfin, les deux dieux disparurent. Ori s’envolant pour survoler l’archipel. Sous nos yeux, Hurali se couvrit en un instant d’oasis. Sur Vanaama, les forêts blanches et mortes se firent verdurent. Puis Ahulei enfin se couvrit de vie à son tour.[/size]


[size=3]Ruuj[/size]

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