[Été 2024] Le Cœur de Tlazolt

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Le Chat Il y a 4 mois et 1 semaine
Ce n'est guère après Swaryon que Ruuj aura pris l'habitude de sortir de la cabine, aussi discrète qu'une panthère des jungles de Golmorre. Rejoignant un pont décidément bien occupé avant les premières lueurs de l’aube.
Dans cet espace étriqué, suivant les consignes des marins, la Rava se lançant dans ses exercices variant chaque jour d’arme. Lance, épée, sabre, dague, dans un style aussi exotique que ceux de ces compagnons ne s’interrompant pas même alors même sous le regard des marins de quart qui en auront fait une activité matinale, si ce n’est quelques instants pour un salut à l’aube nouvelle par une prière silencieuse lorsque l’astre solaire émerge de l’horizon chargé d’écume.

Ne rechignant pas aux échanges avec l’équipage comme ses camarades durant les premiers temps de la traversée, s’y taillant la réputation auprès des marins d’une femme cultivée mais bien difficile à déchiffrer sous ses airs trop neutres, la Rava se sera peut à peu concentrée sur ses discussions avec le couple Velt et sa compagne, trompant ses heures libres trop nombreuses dans cet isolement croissant due à l’épidémie possible en écrivant ou lisant dans la cabine ou le pont.

Dame Riverhood,

ainsi que nous en avions discuté, j’ai pu compiler les quelques informations que nous possédons sur le continent du Nouveau Monde, ou Tural tel que le nomme ces habitants, en premier lieu les Mamool Ja.

Toujours est il que le continent aurait été découvert par le capitaine aventurier Ketenramm le Bleu dans son expédition de 1497 à 1450. Ses récits disent qu’il y aurait rencontré l’Empereur de la nation des Mamool Ja, l’Autarque. L’échange de cadeau aurait ainsi rendu Ketenramm immensément riche, tout en tissant avec l’autarque un accord d’amitié. Son retour couvert d’or aurait alors ouvert une grande période d’expédition vers le Nouveau monde chez les Limséens, conduisant à un accroissement des conflits avec les Sahagins. Il est à noter que parmi les célébrités à avoir fait le voyage, le capitaine Ketenramm aurait finalement disparu lors d’une expédition, tout comme l’on y trouve le nom du capitaine Merlwyb Bloesfhiswyn à la tête des Bâtards Perdus, lui ouvrant les portes de l’amirauté.

Toujours est il que ces expéditions permirent de cartographier les terres, mais pour collecter une myriade de racines et de graines de plantes pour les ramener à Limsa Lominsa. De nombreux aliments de bases dans la cuisine moderne éozéenne tel que les citrouilles ogres, les tomates rubis, les popotos et les poires alligators furent toutes transplantées depuis le nouveau monde.

Quant aux terres elles même, elles semblent très diversifiés par quelques particularités géographiques. Si la Trigée s’étend d’Ouest en Est, le Tural ou Ketenland (selon sont découvreur) s’étend du Nord au Sud, offrant une grande différence de climats et paysages.
Cette masse continentale est divisée en deux grandes masses. La région sud est chaude est humide, région dont vient les tomates rubis notamment, couverte de jungles, elles semblent s’élever vers l’Occident en montagne plus froides d’où viendraient des popotos. La région Nord elle est assez sèches bien qu’elle se refroidisse et se couvre de forêts vers le Nord. C’est là que se trouverait la fameuse vallée bleu connue pour ses chamans et ses grandes quantités de céruléum, la rendant sacrée pour ses habitants.

Voilà ainsi en quelques lignes ce que nous connaissons de ces terres nouvelles.
   
Ruuj

Gachette Il y a 4 mois et 1 semaine
LE RETOUR AUX SOURCES


Au cours de ce voyage, la basanée s'octroie le droit de profiter de petites grasses matinées. La fatigue se lisant sur son visage, la vie de femme d'affaire et de mère n'est pas toujours un excellent mélange. C'est ainsi qu'aux alentours des huit heures et demi, Emayn montre le bout de son nez tout en profitant du petit déjeuner apporté par son époux, Swaryon. Elle ne manquera pas de discuter avec ses colocataires, Ruuj et Maëlle, appréciant le calme de ces dernières.

Fraiche et habillée, elle aura pris l'habitude de s'installer sur le pont, les mains posées sur le bois du navire, et de profiter de la brise marine. La nostalgie peut se lire sur son visage, une habitude qu'elle aura pris depuis leur départ. Ceux qui la connaissent plus personnellement verront une Emayn bien plus discrète et étrangement moins gueularde. Le sang mhigois ne se fera pas sentir, un soulagement pour eux ? Sûrement.

Hélas, sa tranquillité est souvent écourtée par des appels. Les affaires ? Les enfants ? En voilà une question pertinente mais ça lui prendra bien une bonne heure pour régler toute cette vague d'appels.


Il n'est pas impossible de la voir régulièrement travailler sur son fusil, l'améliorant avec ses propres outils qu'elle a pris le temps d'apporter dans ses effets personnels. Si Marcus est dans les parages, les deux pourront discuter armes à feu et bien évidemment, la discussion reste ouverte aux curieux.

Le but de ce voyage est également de retrouver son époux dans un contexte qui n'ont pu exploiter fort longtemps. Ils profitent du temps libre pour se retrouver et également, reprendre les habitudes qu'il avait par le passé. Des entraînements, des moments simples à passer avec ceux qui le désirent, boire un simple verre autour d'une table... Pulvériser ses "adversaires" lors des nombreuses parties de cartes proposées.

L'affaire du marin malade ne la laissera pas indifférente mais restera dans l'inaction pour le moment. L'observation est une meilleure arme.
Arty Il y a 4 mois et 1 semaine
Pour sa part, Itaru, se sera tenue à une routine plutôt stricte. 
Apres un réveil à l'aube suivi d'intenses exercices sur le pont, y compris pour le compagnon lupin, pour un maintient optimal de sa forme. 
Des repas pris en cabine avec ses co-passagers, le hrothgar preferant ne se fier qu'aux talents de cuistot de Marcus. Une relache en début d'après-midi, pêche et sieste sur le pont suivi d'une nouvelle session d'exercices dès les premiers signes de déclin de l'astre solaire. 
Le fin de journée était plutôt dédiée à l'aspect sociabilisation : le domien prenant le soin de faire connaissance avec l'équipage et le rôle et tâches de chacun allant même jusqu'à se renseigner sur les divers parties du navire et leur utilité. 
La soirée, elle, était plutôt dédiée à l'entretien du matériel et aux discussions de cabines, Itaru prenant le temps d'échanger sur tout et rien avec les co-voyageurs. 

La routine aura tenue bon, du moins jusqu'au× premiers morts. Les camarades partageant sa chambre auront pu apercevoir le hrothgar plus fermé et plus alerte. Comme si un vieil instinct avait ressurgit lui indiquant que les deux morts n'avaient rien de naturelles et que l'absence d'examen du second corps était d'autant plus suspecte. Le sommeil du hrothgar n'en sera que plus léger. Il sera plus attentif au comportement du compagnon à quatre pattes... surtout lorsque ce dernier aperçoit des bruits de passage dans le couloir.
Marcus Il y a 4 mois et 1 semaine
Une nouvelle aventure !


Aaaaah une nouvelle aventure commence pour nôtre Cucus national ! Habitant avec Itaru, Laurence et un fidèle toutou, le tireur aura été vu faire les choses suivant durant le voyage.


Au réveil, tôt il sera vu s'occuper de sont matériel ainsi que bidouiller Bob, le tout avec EMAYN si dans le coin. Si il a l'autorisation il viendra offrir un coup de main en cuisine tachant d'apporter un petit déjeuner à tout l'équipage, déjeuner gourmand bien entendu tachant de s'adapter aux aliments présent dans la réserve. 


Il misera sur des plats liée aux légumes, ayant bien conscience des soucis des maladies des océans avec la mauvaise nutrition ! Eeeeet oui, le Hyurgoth semble être aux petits oignon avec tout le monde pour leur permettre d'avoir le meilleur séjour naval possible.


Généralement après le "rush" du midi il sera vu observer attentivement l'horizon. Pouvant y rester des heures sans bouger tel une statue on le verra attentif quant à l'environnement ou événements de la traversé.


Vers le soir il s'occupera à nouveau d'aider en cuisine pour cette fois se liée à des plats liés aux poisson principalement. Il aidera à faire la plonge, mais aussi offrir un bon petit plat pour le toutou d'Itaru !


Maiiiiiis entre la cuisine, l'observation et le contrôle de l'équipement, que fait le Cucus sauvage ? Et....bien on le verra s'entrainer à faire de la musculation mais aussi de la méditation pour entretenir le corps et l'esprit.

Aaaah....les Tacos ne sont plus si loin désormais ♪ De nouvelles terre à explorer, des cultures à découvrir ! La hâte du tireur grandira au fil de la traversé armée de patience quelques temps ♪
Anaëlle de Lacourteil Il y a 4 mois et 1 semaine


L'Embarquement

Aux premières lueurs de l’aube, les reflets dorés du soleil caressaient les flots indigo de la mer, tandis que le Cerberus se frayait un passage majestueux vers l’horizon. Debout sur le pont, j'observais l’effervescence de l’équipage avec une curiosité mêlée d’appréhension. La veille, nous avions quitté Port-aux-Ales, embarquant pour une aventure vers le Nouveau Continent. Le chant des marins, vibrant et plein d'entrain, résonnait dans l'air marin, brisant le silence matinal.

Cependant, notre première nuit fut moins paisible que je ne l’avais espéré. La cabine que je partageais avec Lenore et Junko devint rapidement un théâtre de désagréments sonores, orchestrés par les ronflements puissants de Marcus et Itaru. Le sommeil nous échappa, et c’est avec des cernes naissantes que nous affrontâmes cette première journée en mer.

Les routines s'installent

Avec le lever du soleil, le navire prenait vie dans une routine bien huilée. Les exercices matinaux de Swaryon et Junko devinrent un spectacle régulier, leurs mouvements précis et gracieux attirant l'attention de l'équipage. Pour ma part, je trouvais un certain réconfort dans l'observation des vagues depuis le pont, me laissant bercer par le rythme régulier du navire et les murmures des conversations. On m'initia aux bienfaits de la pêche en mer et ses différentes formes et je pratiquais régulièrement ma magie en m'assurant de ne pas viser l'intérieur du vaisseau.

Les discussions avec Lenore et Ruuj sur les projets futurs, les mystères de Tural, et les espoirs d’une nouvelle ère pour notre compagnie offraient une distraction bienvenue aux inquiétudes qui commençaient à poindre. Mais comment s'en soucier et manquer l'éclat dans le regard de Laurence ? Il s'agissait de sa première expédition véritable, au sens où l'archipel de Norvente ne nous poussa guère à voguer vers des terres inconnues. Nous échangions nos pensées sur les richesses potentielles du Nouveau Continent, alors que je préparais soigneusement les prochaines pages du compendium de Tural.

Les ombres de la maladie

Hélas, l’euphorie initiale de l’aventure fut bientôt ternie par des signes inquiétants de malaise parmi les marins. Ermano, l'un des cuisiniers, montra les premiers symptômes d'une mystérieuse maladie, son état se détériorant rapidement. La nouvelle de ses cauchemars et de sa fièvre fulgurante circula parmi l'équipage, suscitant une atmosphère de suspicion et de peur.

Maelle, toujours aussi dévouée et perspicace, proposa ses services pour enquêter sur cette maladie énigmatique. Je lui suggérai de l'épauler et d'organiser quotidiennement des rassemblents organisés, l'objectif étant de prendre des précautions et distances de sécurité tout en utilisant les différentes formes de magie de soin, comme Esuna, Guérison et Exuviation. Ensemble, nous essayâmes de rassurer l’équipage, insistant sur la nécessité de rester vigilants et de déclarer immédiatement tout signe de malaise.


La force des liens

Malgré les défis, la camaraderie entre les membres de notre expédition restait une source de réconfort. Les soirées étaient souvent ponctuées de discussions animées, de jeux de cartes et de récits d'aventures passées. Cela ne manqua pas de me rappeler les soirées dans l'archipel d'Ori et les nombreux jeux auxquels nous avions participé. Ces instants étaient également des occasions de profiter de la compagnie de mon fiancé. Il arrivait que nous prenions nos distances ponctuellement pour échanger en tête à tête. Ces conciliabules ne duraient généralement pas du fait de l'excellente attention de Monsieur Shosuro.

En me retirant chaque soir dans notre cabine exiguë, mes pensées vagabondaient vers les mystères de Tural et les promesses d'une nouvelle vie. Je me rappelais les mots de mon père, m’encourageant à toujours regarder vers l’avenir avec courage et détermination. C’est avec cette conviction que je m’endormais chaque nuit, prête à affronter les défis du jour suivant.
Sakuya Yuki Il y a 4 mois et 1 semaine
De son côté, la jeune raenne est assez tranquille, faisant toujours en sorte de ne pas déranger les marins comme demandé.

Le matin, pour ceux partageant sa cabine, on la verra prier, peut-être afin que le voyage se déroule sans accro.
On la verra ensuite généralement sur le pont, à faire des exercices pour garder la forme ainsi qu'un peu de méditation.

On la verra également aller voir Marcus régulièrement, afin de lui demander de lui apprendre le morse, afin que quelqu'un comprenne ENFIN ce qu'il essaye de dire à chaque fois qu'il l'utilise.

Le reste du temps, elle discutera avec ceux qui le veulent et aidera pour soigner les gens, même si il ne peut rien pour les maladie, elle peut au moins s'occuper des blessures physique. Elle offrira également une prière aux personnes disparu et morte.

Elle a cependant une certaine impatience à découvrir ce nouveau continent dont le navire fait voile.
Sakuya Yuki Il y a 4 mois et 1 semaine
Sakuya, sur l'île déserte, viendra aider à l'établissement du camp, venant monter les tentes de son côté.
Lyssie Il y a 4 mois et 1 semaine
De prime abord, cette journée ne s'annonçait pas plus difficile que les autres. Les invités du Cerberus s'étaient retrouvés comme d'habitude sur le pont principal pour admirer l'horizon, espérant secrètement pouvoir trouver une terre en vue... en vain ; le capitaine Snake maintenait le cap en regardant fréquemment son médaillon ; les marins s'occupaient de dorloter chaque parcelle du navire comme les globules rouges d'un corps ; le Cerberus gardait la bonne allure. Néanmoins, cette fois-ci était différente.
Après deux semaines à naviguer sur la mer Indigo, ils en avaient essuyé des tempêtes, mais aucune aussi violentes. La mer s'agitait, les vagues soulevaient la coque du Cerberus et même l'incroyable force du capitaine Sea Snake n'arrivait à contrer les vents violents s'engouffrant dans les voiles. Sur le pont principal, la tension montait à la vue d'une météo vraisemblablement plus délicate que les autres fois.
"RENTREZ DANS VOS CABINES !"
On entendit à peine la voix du capitaine rugir au travers de la pluie torrentielle, mais il n'en fallait pas plus pour que tous obéissent aux ordres et regagnèrent leurs cabines sans broncher. À partir de là, il n'était plus qu'une question d'équilibre. Le navire tanguait et s'agitait sous le bon vouloir des vagues toujours plus grandes et plus hautes les unes que les autres. Les cris de matelots se mariaient désormais au tonnerre qui grondait dans le ciel noir. Le son d'un mât se brisant et tombant fit sursauter plus d'un. Dans les cabines, on s'accrochait à tout ce qu'on pouvait trouver et tout ce qui n'était pas solidement attaché tomba, se brisa, roula dans tous les sens, mais tous eurent l'idée de s'attacher à une corde, ne restait plus qu'à espérer que la tempête passe. Beaucoup prièrent leurs dieux, pour peu qu'ils puissent y faire quoi que ce soit. Avant toute chose, il fallait absolument s'occuper l'esprit et ne pas céder à la panique.
Soudainement, le capitaine Sea Snake ouvrit en grand les portes des cabines et hurla à plein poumon.
"EH ! L'BATAILLON D'MES VENTS ! Y EN A PAS QUI PEUVENT CONTRÔLER LE VENT ?!"
Plutôt deux fois qu'une ! Plusieurs membres du bataillon et des Loups repartirent sur le pont principal pour venir en aide aux matelots. Forts de leur magie et de leur technique, ils purent faire en sorte que le navire encaisse bon nombres de vagues, mais plus le temps passait, plus elles étaient de plus en plus gargantuesques dont une qui faisait la taille d'un phare. Et cela ne pardonna pas.
À l'impact, une partie des invités tombèrent à la mer, dont la Commandante qui s'était cognée la tête contre le bastingage dans sa chute. Par ce temps, il fallait faire vite s'ils ne voulaient pas se faire engloutir par les vagues incessantes, aussi pouvaient-ils compter sur les autres rester sur le pont, dont les capacités de Lhei pour venir les tirer de ce pétrin.

Cramponné à la barre, le capitaine tentait de maintenir le cap et orchestrer son équipage afin que tous puissent s'en sortir. Une fois cette tempête traversée, il allait falloir faire un constat des dégâts.
Il fallut résister trois heures avant que le Cerberus ne parvienne à rétablir le cap dans la bonne direction, mais avec un navire endommagé, il n'allait pas pouvoir poursuivre sa route sans faire une escale. Alors que tout le monde pansait ses plaies, Ruuj fut la première à voir une terre en vue de concert avec la vigie.


L'île n'était pas bien grande lorsqu'ils accostèrent sur le large ; aussi belle était-elle, ce n'était pourtant pas leur destination première. On entendit la Commandante marmonner un "Enfin, la terre ferme" avec soulagement, semblerait-il que la cheffe préférait les voyages dans les airs plutôt qu'en mer. À peine arrivés, ils accusèrent le coup de la fatigue d'une longue traversée en mer et le repos était de mise. Non sans attendre, la voix de la Commandante s'éleva.
"Votre attention s'il vous plaît. Cette petite escale sera l'occasion pour le capitaine Sea Snake de retaper son navire ; de notre côté, nous en profiterons pour nous reposer et nous ressourcer. Ce soir, nous érigerons un campement de fortune. Demain, j'aimerais un groupe qui part à la chasse, un autre en quête de bois et de planches pour le navire et un dernier qui s'occupe de mieux installer notre point de chute. J'organiserai les groupes demain ; pour le moment, reposez-vous."

Avec Aiko qui avait trouvé une source d'eau douce plus au sud et Lhei qui chassait déjà les animaux pour les collectionner, le moral du groupe remonta. S'ils étaient loin des côtes turaliennes, au moins pouvaient-ils enfin savourer un sol stable.
Asa des Kha Il y a 4 mois et 1 semaine
"Que voilà un milieu d'aventure palpitant."


C'est de ces simples mots que l'on pourra croiser la chamane prendre soigneusement son temps autour du camp. Laissant Maelle, Ruuj et Sakuya monter le camp en paix pendant qu'elle prépare les effets nécessaires pour monter, elle, les protection du camp. Gardant un oeil bleu scintillant sur les alentours et ses alliés - et ignorant la douleur sourde de ses cotes.


Accompagnant les monteuses de camp, la xaela tracera dans la terre des runes précises et soigneuse. Remplissant ces runes d'un mélange de poudre et autres éléments "secret maison". Faisant le tour entier du campement pendant qu'il est monter jusqu'à ce que la boucle soit bouclée. Continuant ensuite par une lente, et longue, incantation pour faire finalement scintiller les runes brièvement et dresser la barrière tout autour du campement. Elle ne supporteras pas un assaut contenue et manque d'effets secondaires "amusants" mais la chamane sera satisfaite de ce premier effort. Promettant aux autres de rajouter des défenses agressives une fois un peu reposée.
Arty Il y a 4 mois et 1 semaine
La tempête avait frappé alors que le Cerberus était approximativement à mi-chemin, de nombreuses journées en mer seraient encore nécessaires pour atteindre le continent de Tural.

La perte d'une bonne partie des vivres était dramatique, les remplacer serait un véritable défi... Nourrir la centaine de matelots durant les réparations était déjà un défi en soi. Les autres ne le réalisaient probablement pas encore mais il faudra probablement se rationner durement. Ou envisager de laisser une partie de l'équipage sur l'île avec pour seule consigne de subsister le plus confortablement possible pendant que le reste rejoindrait Tural avant de revenir les chercher. Cela dit, ce n'était pas encore le moment d'envisager des solutions aussi radicales. Il en touchera un mot ou deux à Lenore, mais avant cela il faudrait avant tout estimer les ressources disponibles sur l'île.

Les discussions allaient bon train avec Marcus, Aiko et Syntra pour le "groupe de chasse". Il avait été nommé ainsi, mais son but était de collecter toute source de nourriture disponible.
Fruits, légumes, très périssables, à manger en priorité.
Noix de coco, fruits secs, racines, champignons... plus durable déjà, surtout s'ils peuvent être réduit en farine ou séchés.
La viande et le poisson, séchés, fumés ou salés constituerait le plus gros des rations, à moins de trouver des champs entiers de blé, d'orge ou autre céréale.  Cela dit, ces connaissances sur le sujet étaient très théoriques. Difficile pour lui de reconnaître la plante d'une racine comestible s'il venait à en croiser.

"Allez, en route pour la chasse !" La mission pour cette soirée était de rassembler tout ce qui pouvait être mangé dans les environs immédiats. Les cocotiers avaient été repérés, d'autres s'en chargeaient.. trouver un petit gibier ou pêcher un gros poisson serait mieux.

Ôkki s'était montré plutôt utile dans la traque du petit gibier. Le compagnon Lupin d'Itaru était assez doué pour se trouver de la nourriture et suivre les pistes... un poids de moins et un allié de choix. Les premiers essais de la tactique : Contournement, Rabattage, Abattage avaient été assez hasardeux, mais gagnaient en efficacité à chaque tentative.  Le hrothgar et le loup contournaient au loin, la cible et fonçaient dessus de sorte à la contraindre à fuir en direction des chasseurs embusqués. La nourriture pour la soirée ne serait pas un problème.

Itaru était plus inquiet pour le stockage de l'eau. Des tonneaux avaient été perdus. Au-delà de la valeur de l'eau qu'ils contenaient, c'est surtout la perte du contenant qui est dramatique. Mais c'est en buvant de l'eau de sa gourde de l'aventurier par R&G que la solution la plus simple vint.
La gourde contenait un tout petit éclat de cristal source dans son bouchon, capable de remplir  la gourde en une journée. Loin de suffire pour plus d'une personne. Cela dit, peut-être qu'en remontant la source de la rivière, ils arriveraient à un cristal source.

Un fragment d'une taille plus conséquente pourrait résoudre le problème de stockage. Le tout est d'estimer la taille selon le débit nécessaire.. trop gros, il risquerait d'inonder le navire, trop petit il ne serait pas suffisant. Cela dit, même si l'eau générée ne suffisait pas pour les 150 membres de l'expédition, elle pourrait tout de même nettement ralentir la baisse des stocks et donc le stock qu'il aurait fallu avoir tout en donnant une source d'eau fraîche. Il donnerait la piste à Lenore, elle transmettra sûrement au groupe chargé de l'eau.

La nuit arrivant, Itaru après un bon bain dans les eaux de la rivière s'installa confortablement dans sa confortable tente R&G, la nuit fut donc particulièrement agréable, et même plus confortable que sur le navire.

Le lendemain, Itaru entreprit avant tout, dès l'aube, d'explorer la plage dans les environs pas trop éloignés à la recherche d'autres épaves. Avec un peu de chance leur bois serait encore utilisable pour les réparations. Et avec un peu plus de chance, il y aurait, peut-être, des trésors dans les cales de ces derniers !
Le reste de la matinée et l’après-midi était réservée pour le groupe de chasse. Du moins, après avoir fait part de ses observations et recommandations à Lenore.

Hrp : [Équipe chasse, peche et nature: Itaru, Marcus, Syntra, Aiko et le louloup]

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