[Été 2024] Le Cœur de Tlazolt

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Arty Il y a 4 mois et 21 heures

La nuit précèdent le combat dans la montagne


Un bruit sourd, cri étouffé, venait de quitter ses lèvres alors qu’il se redressait brusquement et péniblement.
Les lueurs fantomatiques émanant de l’astre nocturne, drapé de ses mouvantes brumes célestes, offraient, à son regard, un spectacle irréel car les lieux qui l’entourait, oscillaient entre ténèbres angoissantes et lumière blafarde.

Si le cauchemar avait pris fin, la chaleur moite de cette nuit d’été n’offrait pas le moindre sursis à l’inconfort du moment, forçant Itaru à se lever après avoir balayé, d’un revers de la main, l’écume qui s’était formée sur son visage fatigué et son torse glabre pour parcourir quelques pas.
Le cœur un peu plus apaisé mais maintenant perdu et l’esprit encore hanté par les remous liés à ses rêveries, il ne s’était guère occupé de préservation sa pudeur, mais cela ne semblait point le contrarier car nul œil n’était là pour l’observer…
… Nul œil ne semblait là pour l’observer…
… Deux yeux étaient là et l’observaient…

Perchée solitairement sur la branche d’un vieux saule courbé, dont la silhouette pouvait rappeler celle d’une vieille grand-mère accablée par le poids des années, parée d’un châle aux couleurs passées, qui se serait effiloché au fil du le temps, une chouette aux grand yeux dorés scrutateurs et au port seigneurial venait de s’élancer, d’un battement d’aile, en sa direction.

Le vol silencieux de la strix l’avait si parfaitement distrait, que ce n’est qu’en reportant son regard devant lui qu’il remarqua la forêt, constituée de hauts bambous dressés telles des lances menaçant les étoiles retranchées dans les tréfonds des cieux obscures, que ses yeux avaient sciemment négligé quelques instants auparavant. Quelque chose au plus profond de ses entrailles venait de s’éveiller, le mettant en garde contre le lieu maudit, lui interdisant d’en franchir le seuil.

Vaines mises en garde, car un pas après l’autre, il avançait inexorablement vers des évènements déjà connus. Même le frisson glacial qui venait de parcourir son échine avait été balayé d’un simple geste de la main visant à redresser le modeste yukata en lin dont le couleur avait été vidée de toute âme par les raies de lumière blafarde parvenant à percer la canopée.

Moultes enjambés, moultes tiges écartées s’étaient succédées dans un silence pesant, que seuls des imprécations lugubres portées par les vents mauvais qui serpentant dans la forêt venaient briser, et durant ce qui lui semblait être une éternité. Au bout du compte, il était enfin parvenu à sa destination, devant lui lévitait un masque fantomatique brûlant d’un feu éthéré verdâtre dont chaque flamme projetait sur les tiges voisine le reflet de son agonie.

Soudainement, un bruit s’était fait entendre, un pas, prévisible pourtant inattendu. Il l’avait pris au dépourvu par sa proximité, réveillé des instincts profonds, le désire de survivre, la peur…
Puis se succédaient dans le silence, le réflexe, la volteface, le reflet de l’acier recouvert par l’écarlate, son propre reflet dans des yeux mourants…
… Le regret …
… Trois vies brisées …
… Le regret …

L’espoir s’était éteint ne laissant que le regret et la tristesse…
Et alors qu’il se retournait, le masque éthéré s’était fendu, accompagné d’un murmure…

« Viens à moi »

Un bruit sourd, cri étouffé, venait de quitter ses lèvres alors qu’il se redressait brusquement et péniblement, il observait les grosses paluches qui lui servaient de mains, le cauchemar avait pris fin mais le passé qu’il croyait oublié, enterré, venait, lui, de nouveau peser sur ses épaules.
Kin Il y a 4 mois et 10 heures
[HRP]Hello à tous ! 

Comme promis, voici les informations concernant la partie qui va servir de pont entre la trame de Maelle qui constitue l'Acte I et le début de l'Acte 2. Ce pont va servir à ceux qui le souhaitent de proposer quelques RP / évents one shot qui devront respecter le cadre suivant : "Arrivée sur place, découverte des lieux proches, établissement du campement". Il faut également que, quoi que vous organisiez, le tout soit terminé au retour pour le 30 au plus tard. 

Un premier évènement aura lieu demain soir afin de mjiser l'arrivée de l'expédition sur les terres peu peuplées du sud du Yok Tural. Cet évènement permettra d'introduire le contexte global. Au milieu de tout ça, évidemment, les RP libres seront toujours possibles à votre bon vouloir ![HRP]
Asa des Kha Il y a 3 mois et 4 semaines
De multiples os brisés. Plusieurs organes percés, détruit ou... Une perte conséquente de sang... Sans parler des nombreux dégâts fait dans son crâne et son cerveau.

Autant dire que la chamane avait échappée à la morte à un fil.

Le retour au camp fut long, lent, laborieux. Obligée de passer le trajet de retour dans les bras d'Aline car incapable de se déplacer (la faute à ces soi-disant os brisés aux jambes... Vraiment... Que des excuses) pour ensuite finir dans l'un des lits de camp de la tente des soins. Et son cas étant assez spécifique. La soigneuse principale, Sakuya, ne pouvant juste pas l'aider... La Lumière étant en oppositions constante avec les Ténèbres qui la faisaient avancée. Au bout du compte elle remerciait les esprits et ancêtres des nombreuses potions et, surtout, des soigneurs plus... Naturel que Lumineux.

Ses courbatures, surtout.

Mais installée dans un hamac (elle à fait changer cet inconfortable lit de camp par un hamac oui. Des questions ?) cela lui permettait de récupérer autant physiquement que mentalement. Le Vert était, enfin, partit. La soulageant. La faisant se reposer des questions sur la nature des aventuriers locaux et des siens. Entres autres. Depuis sa perte avec le lien direct avec le Néant son contrôle était passer aux... Oubliettes. Devant usée d'artifices et d'outils pour user de simples magies. Prenant le temps durant des semaines et des mois pour récupérer un semblant de contrôle et réapprendre sa magie.

Tout ça pour se rendre compte qu'elle avait changer plus qu'elle ne l'aurait crut.

Elle savait que son âme appartenait au Néant. C'était un fait sur lequel elle avait fait la paix il y plusieurs années de cela. Que son corps "mute" était aussi accepter... Mais elle n'avait pas prévus que cette "coupure" avec le Néant lui-même forcerait un changement aussi... Dramatique ? Pourquoi pas. Si elle souhaitait jouer sur le pathos. Un changement dramatique de son être. Elle était fière (orgueilleuse) de son contrôle émotionnel et magique... Et pourtant, ces derniers jours ? Elle avait laisser parler ses pulsions et faillit laisser exploser sa rage contre ce golem. Prête à l'attaquer avec ses crocs et griffes. Prête à lui arracher les bras un à un.

Prête à agir comme un démon.

Se reposant dans son hamac. Laissant les nons blessés travailler, fumant avec la sérénité de l'âge, la chamane laissera exhalée un gloussement amusée. Les changements étaient toujours intéressants à observer.
Maelle Tailor Il y a 3 mois et 4 semaines
L'esprit dément de Moulaal Ja a été vaincu. Son invocation  a été terrassée. La vérité derrière la résurgence de la malédiction du Mamool Ja a été révélée : la cupidité de la Compagnie Libre "le Chêne et la Crosse" fut sa propre perte. Détruisant le cercueil scellé du mage à la recherche de richesses, ses membres libérèrent l'éther emprisonné et permirent la réapparition du paria.

Si les combattants de la Rose des Vents et leurs alliés regagnèrent le camp avec une petite fortune tirée des coffres personnels de Moulaal Ja, que les maudits sentirent leur esprit s'alléger d'un fardeau accablant, l'heure n'était pas à la fête pour les survivants du Chêne. Les morts furent comptés et enterrés. Les deux-tiers de l'infortunée Compagnie Libre élirent leur dernière demeure sur la terre tropicale de Kuzocal.

Cependant, une question demeure.

"Où est Yumiko ? Une jeune géomancienne. Gentille, serviable. Personne n'a vu Yumiko ?"
Kin Il y a 3 mois et 4 semaines

Pendant que certains ont repris la mer...


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Les petites vagues du matin viennent s'échouer délicatement sur la plage de sable blanc de cette île où hier encore l'équipage du capitaine Snake et l'expédition festoyaient le départ à venir, prêts à quitter ce bout de terre que l'on renommera affectueusement "nul part" qui les avait accueillis un peu trop longtemps. Le bruit bruit de la mer, le vent léger qui vient délicatement caresser les palmiers en amont, et Junko se trouve là, assise, à regarder au large, les yeux dans le vide, alors qu'elle essaie encore de comprendre comment elle en est arrivée ici. Devant elle, à même le sable, se trouve encore la trace de son corps là où elle s'était réveillé un peu plus tôt, la tête dans le sable, une bosse à la tête.

"Tu... euh... On en parle ou... ?"

A ses côtés, un plutôt bel homme fait les cent pas, cheveux sombres attachés en arrière, dans un long kimono noir et blanc, tandis que son ombre reflète sa silhouette humaine, à laquelle s'ajoute une queue et des oreilles s'agitant de frustration. Il cesse finalement sa marche en croisant les bras et regardant sa protégée qui est à présent immobile depuis....

"Deux heures, ça fait deux heures que tu fixes l'horizon. Ils ne vont pas réapparaître comme par magie hein !
- Si vous pouviez, l'espace de deux secondes, vous taire, Tenka-onii-sama... Je réfléchis.
- A quoi ? Va falloir qu'on se fasse une raison, on est tous seuls sur une île perdue !
- Et vous qui passez votre temps à dire qu'il faut rire, je peux savoir pourquoi vous semblez aussi inquiet ?
- Parce que tu ne l'es pas assez ?!"

Plissant les yeux, Junko se saisit d'un tas de sable qu'elle envoi droit vers la figure de son camarade d'infortune, qui reçoit le "cadeau" avec un geste de recul, puis les bruits typiques d'un homme recrachant au sol le sable qui s'est glissé dans sa bouche, un doux son de "pfeuh !" qui se fait bien entendre.

"Etant donné que vous êtes trop occupés à paniquer, je suis celle qui doit trouver une solution cette fois-ci.
- Mais c'est normal que je panique, nous sommes perdu au milieu de nul part ! Oh ça y est je me sens étouffer, l'île est trop petite, je suis claustrophobe ? Oh non et si je le suis ?! Et ma queue, mon magnifique pelage, ils vont prendre le sable !
- Vous n'avez qu'à rester en forme humaine.
- Ah oui..."

Toute la condescendance et le ras-le-bol que le monde pouvait exprimer décida de venir apparaître sur le visage de la raenne alors qu'elle regardait son "gardien", ce soi-disant esprit éthéré, tout puissant, sage de plusieurs siècles... avoir le comportement d'un enfant de 10 ans qui avait perdu ses parents. Puis, le laissant à sa panique du moment, Junko se retourne et pose son regard de nouveau sur l'horizon. Bon... Bonne nouvelle, le temps ne va pas lui manquer pour cogiter. Pour le moment, après un long soupire, elle commence à abandonner ses vêtements sans la moindre forme de gêne ou de considération pour la présence "masculine", et s'approche de la mer.

"Euh... Tu fais quoi ?
- Me baigner, pourquoi donc onii-sama ?
- Bha c'est... pas vraiment le moment ?
- ... Ecoutez-moi bien. Je vais me baigner. Je vais en profiter. Et vous allez venir et en profiter également. Ensuite, nous nous rhabillerons, puis nous irons récupérer du bois, utiliser les restes du campement, et commencer à préparer notre moyen de sortie. N'oubliez pas que c'est aussi de votre faute, si vous n'aviez pas trop forcé sur les quelques réserves d'alcool discrètement vous auriez senti notre agresseur approcher. Est-ce clair ?
-... Très clair..."

Soupirant, l'homme abandonne également ses vêtements. De par sa nature très... naturelle et spirituelle, ce n'est clairement pas lui qui sera dérangé par les tenues les plus simples. La température de l'eau, par contre... à peine cinq minutes plus tard que déjà a-t-il abandonné la mer pour revenir trouver la chaleur du sable et de la terre, faisant les gros yeux vers l'étendue d'eau. Clairement, il n'aime pas ça. Junko, imergée jusqu'au cou, soupire face au spectacle que son "grand protecteur" lui offre présentement. Soit... Elle se baignera et se rafraîchira les idées seules.
Laurence Il y a 3 mois et 3 semaines

Il était temps ! Après deux semaines coincés sur l'île de Kuzocal – nommée ainsi en hommage au village éponyme – le corps expéditionnaire de la Rose des Vents a enfin atteint les côtes turaliennes sans le moindre problème, échappant de peu à l'ouragan qui s'est dangereusement formé vers les côtes du Tuliyollal. Sac à dos sur l'épaule et caisses chargées et descendues, ils s'étaient attendus à tout, sauf à un tel paysage.

Ils s'attendaient à un climat difficile, mais peut-être avaient-ils sous-estimé l'ampleur des défis qui les attendaient. Même les plus anciens de la compagnie, qui avaient déjà expérimenté les températures ahurissantes de l'archipel d'Ori, ne purent supporter l'humidité étouffante et les moustiques de la jungle où ils avaient amarré. Ils ne connaissaient pas encore le nom de cette terre, ni ses habitants ou les créatures qui la peuplaient, mais chaque plante, chaque horizon offrait une nouvelle occasion de s'émerveiller devant cette nature inexplorée et ces panoramas jamais vus.

Cependant, l'heure n'était pas au tourisme. S'ils étaient venus jusqu'ici, c'était pour retrouver les traces du fameux Christalain Colombault. Mais avant cela, ils devaient sécuriser un point de chute, qui deviendrait rapidement leur base principale.

Jour 1


Nous sommes arrivés sur la côte sud du continent ce matin, les récifs bien trop nombreux empêchant le navire d'accoster plus près de la plage, nous avons débarqués en chaloupes et emporté le matériel avec nous, les nombreux allers retours nous ont pris quelques heures et arrivé midi, nous étions enfin prêts à rejoindre le campement de fortune d'Azad, qui attendait notre venue.


Nous avons établi ainsi notre campement provisoire le temps de reposer les hommes et faire l'inventaire des ressources dont nous disposions, une petite exploration des lieux directs nous entourant pour s'assurer que nous passerions une nuit sans danger.


La plupart du bataillon a participé au montage des tentes et l'établissement du camp, ceux ne le faisant pas se rendait utile d'une toute autre manière : Pêche, défenses, exploration..


Jour 2


Syntra a repéré une source d'eau potable a quelques dizaines de minutes de marche du camp, nous avons décidé d'aller l'observer de plus près, cette dernière s'enfonçant davantage à l'intérieur des terres.


Arrivé à destination nous avons pu constater que cette source d'eau était claire, et s'avérerait fort utile pour la suite des évènements dans la région, les hauteurs proches de ce point d'eau et à flanc de montagne offrait un endroit stratégique pour l'établissement d'un campement plus sécuritaire, cette barrière naturelle protégeant la moitié du camp à elle seule, il sera plus aisé de le défendre, cette source offrait également un point de chasse fort appréciable pour le gibier. Nous avons donc pris la décision de transporter le camp actuel à quelques dizaines de yalms de cette source, sur les hauteurs.


Nous entamerons le déménagement en ce troisième jour pour le lac Syntra.


Jour 3


Le camp a été transporté vers le lac Syntra en cette matinée, les efforts déployés par l'ensemble du bataillon semble avoir porté leurs fruits et nous sommes désormais fin prêt à l'exploration de cette terre nous entourant, pour plus de clarté je vais dresser ici la répartition des tâches au sein du camp, les personnes n'étant pas mentionnés directement sont libres de se joindre à n'importe quel corps, ou venir me trouver pour se voir attribuer une fonction.


Chasse : Laurence, Syntra

Pêche : Swaryon, Azad

Cuisine : Marcus

Défenses  : Asa, Aïko

Analyse de la faune et flore : Anaëlle, Sakuya, Maëlle

Médécine : Sakuya, Maëlle, Anaëlle

Surveillance : Emayn, Marcus

Exploration des environs directs, récupération : Itaru, Ruuj, Aline


Laurence








Arty Il y a 3 mois et 3 semaines
De son coté, Itaru et son loup seront effectivement allé explorer les environs du camp Syntra, avec dans l'idée, de :
  • Repérer les dangers potentiels qui guettent : Animaux, monstres, nids d'insectes
  • Trouver des sources de nourriture : Fruits, noix de coco, racines (Connues ou inconnues, laissant aux spécialistes le soin de faire le tri entre les diverses choses ramenées)
  • Repérer des lieux  d'intérêt. Ruines ou autres, traces de passage humain ou d'autres anciens campements

Itaru sera aidé d'une machette pour dégager son chemin, d'une boussole et de craie, numérotant régulièrement un arbre (Après une centaine de pas), notant la direction d'où il vient et la direction où il va. Il essaiera d'obtenir un quadrillage des endroits qu'il explore et pouvant les noter sur les arbres
Maelle Tailor Il y a 3 mois et 3 semaines
Depuis l'arrivée de l'expédition sur les côtes turaliennes, Maëlle sera portée sur l'étude de la flore locale, notamment ses propriétés alchimiques. Cherchant à déceler des similitudes avec certaines plantes de la Trigée, son objectif est de pouvoir identifier les plantes comestibles des vénéneuses et les transformer en baumes, potions, antidotes et stimulants, tant sur le plan scientifique que logistique.

Elle laissera les poisons à Aiko, considérant que la Raenne a plus d'expérience dans le domaine.
Gachette Il y a 3 mois et 3 semaines
Arrivée sur le nouveau camp, Emayn s'attèlera à la préparation d'un coin pour son époux et elle-même. Des hamacs, un toit de fortune, un sol protégé par de la végétation. L'adresse dont fait preuve la mhigoise démontre une certaine habitude, la survie coule dans ses veines.

Fidèle à son poste, Emayn se hissera dans des arbres épais, avec l'aide de son grappin, afin de s'atteler à sa tâche : Surveiller.
Une fois lancée, la mhigoise sera indétectable et posera son regard sur chaque recoin avec l'aide de son fidèle compagnon : son fusil.

Bien évidemment, elle laissera sa place à la relève nommée Marcus pour se nourrir et se reposer. Il ne faut pas déconner.
Sunny Il y a 3 mois et 3 semaines
Posté en beau gosse des plages de Costa del Sol lors de l'arrivée du groupe, c'est pourtant en homme discret qu'Azad se comportera.
Après avoir passé la première journée à aider Swaryon à pêche, l'ul'dien aura disparu quelques longues heures de la non-civilisation.

  Il sera aperçu rentrer à son hamac en fin de journée, peu avant que le soleil ne se lève. Déposant ses épées, il aura tout d'abord inscrit quelques notes dans un carnet personnel qu'il viendra de nouveau glisser dans la poche intérieur de son manteau. Il s'approchera ensuite calmement du feu où il viendra s'installer sans vraiment discuter avec les gens, tirant deux barres protéiné de son sac pour venir les manger avec une lenteur, mais une lenteuuuuuur, à faire s'agacer les plus nerveux du groupe. Si quelqu'un lui propose un poisson ou une coco, il acceptera volontiers, prolongeant son repas pendant facilement une heure de plus. Après quoi il ira sommairement se coucher dans son hamac en hauteur, à l'abri des intempéries potentielles.

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