GÉVAUDAN
Lyssie
Il y a 3 semaines et 4 jours
INTRODUCTION
Situé à l’extrême nord du Coerthas occidental, à environ cinq jours de calèche d’Ishgard ou trois heures par aéronef, le Gévaudan est à l'image de ses seigneurs : imposant, mais périlleux. Aux portes de l’Étoile du Nord, ces terres peuplées majoritairement d’élezens et de hyurois sont tout sauf accueillantes. Depuis toujours, elles sont le théâtre d’activités paranormales et de la menace persistante du treizième reflet, mais sans elles les Riverhood, pas plus que les baronnies de Valsonge et Eridanie d'Astrid, ne connaîtraient pas leur glaçante réputation parmi la noblesse ishgardaise, leurs noms étant indissociables des premières batailles contre les démons qui souillèrent cette région. Ces terres sont réputées pour leurs vastes forêts, véritables sanctuaires pour une faune locale qui a su s’adapter aux rigueurs du grand froid. À l’exception de deux grandes villes, la population de Gévaudan s’est principalement établie dans une multitude de petits villages, souvent regroupés autour des précieuses ressources naturelles qu’offre cette région. Ces hameaux, isolés mais résilients, témoignent de l’ingéniosité et de la ténacité des habitants qui ont su prospérer malgré un environnement hostile. |
INDEX
Lyssie
Il y a 3 semaines et 4 jours
I. Lois
Le Gévaudan, bien qu’enraciné dans des traditions séculaires, a su s’adapter aux changements politiques d’Ishgard en embrassant les réformes du gouvernement républicain. Les lois prioritaires édictées par la capitale s’imposent à tous et sont rigoureusement appliquées par les seigneurs de la région, tandis que des lois secondaires, définies par la famille Riverhood et ses vassaux, viennent compléter ce cadre juridique en tenant compte des spécificités locales.
L’autorisation de lever l’ost demeure strictement encadrée : elle ne peut être exercée qu’en cas de légitime défense ou sur instruction explicite du gouvernement. Les habitants, eux, jouissent d’une relative liberté dans la création et la gestion de leurs activités qui restent néanmoins encadrés par les guildes, avec des obligations fiscales envers ses dernières et leurs seigneurs. Une partie des impôts perçus par les suzerains est directement reversée au gouvernement républicain, témoignant d’un équilibre entre autonomie locale et devoir national. Cependant, nul ne peut ignorer que ce sont les Riverhood et leurs vassaux qui, depuis des siècles, contiennent la menace du Gévaudan. Leur vigilance inébranlable face aux dangers qui hantent ces terres reste la clé de la sécurité, non seulement pour leur fief, mais aussi pour Ishgard et ses alentours.
L’autorisation de lever l’ost demeure strictement encadrée : elle ne peut être exercée qu’en cas de légitime défense ou sur instruction explicite du gouvernement. Les habitants, eux, jouissent d’une relative liberté dans la création et la gestion de leurs activités qui restent néanmoins encadrés par les guildes, avec des obligations fiscales envers ses dernières et leurs seigneurs. Une partie des impôts perçus par les suzerains est directement reversée au gouvernement républicain, témoignant d’un équilibre entre autonomie locale et devoir national. Cependant, nul ne peut ignorer que ce sont les Riverhood et leurs vassaux qui, depuis des siècles, contiennent la menace du Gévaudan. Leur vigilance inébranlable face aux dangers qui hantent ces terres reste la clé de la sécurité, non seulement pour leur fief, mais aussi pour Ishgard et ses alentours.
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II. Ressources
Territoire rude et inhospitalier comme la majorité des terres du Coerthas depuis le septième fléau, la terre du Loup Blanc puise sa subsistance dans ses ressources naturelles plutôt que dans l’agriculture, rendue impossible par ses sols gelés et infertiles. Les cultures céréalières et les plantations comestibles y sont inexistantes, obligeant la région à importer la quasi-totalité de ses denrées alimentaires, une dépendance qui a souvent pesé lourdement sur la population.
Malgré cette contrainte, le Gévaudan se distingue par l’exploitation ingénieuse de ses autres richesses. La chasse et la forêt fournissent une abondance de viande, de peaux, de plantes rares et de bois, bien que ce dernier soit récolté en quantité limitée pour préserver les ressources. Les mines, éparpillées dans les reliefs de la région, produisent du fer, du cuivre, de l'argent, du charbon et des cristaux éthérés, essentiels à l’économie locale et à la défense des terres. Le lac d’Ivoire, gelé depuis le septième fléau, reste une source précieuse de poissons pour les habitants. En outre, les Riverhood disposent d’un atout stratégique unique : l’Élysée, un aéronef capable de transporter jusqu’à vingt personnes. Cette machine, emblématique de leur pouvoir et de leur modernité, permet non seulement de maintenir des liens avec Ishgard, mais aussi de répondre rapidement aux crises et d’assurer le transport des ressources et des troupes à travers le fief.
Malgré cette contrainte, le Gévaudan se distingue par l’exploitation ingénieuse de ses autres richesses. La chasse et la forêt fournissent une abondance de viande, de peaux, de plantes rares et de bois, bien que ce dernier soit récolté en quantité limitée pour préserver les ressources. Les mines, éparpillées dans les reliefs de la région, produisent du fer, du cuivre, de l'argent, du charbon et des cristaux éthérés, essentiels à l’économie locale et à la défense des terres. Le lac d’Ivoire, gelé depuis le septième fléau, reste une source précieuse de poissons pour les habitants. En outre, les Riverhood disposent d’un atout stratégique unique : l’Élysée, un aéronef capable de transporter jusqu’à vingt personnes. Cette machine, emblématique de leur pouvoir et de leur modernité, permet non seulement de maintenir des liens avec Ishgard, mais aussi de répondre rapidement aux crises et d’assurer le transport des ressources et des troupes à travers le fief.
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Il y a 3 semaines et 4 jours
III. Politique
À l'instar de l'ensemble des terres d'Ishgard, le Gévaudan a suivi l’évolution politique d’Ishgard tout en préservant ses traditions séculaires. Les lois édictées par la capitale républicaine prévalent désormais sur tout le territoire et sont scrupuleusement appliquées par les Riverhood et leurs vassaux. Ces derniers ont également le droit d’établir des lois secondaires, adaptées aux spécificités locales de leurs terres.
Si les habitants jouissent d’une certaine liberté pour entreprendre leurs propres activités, ils demeurent redevables envers leurs protecteurs, notamment par le biais d’impôts. Ces recettes, en partie reversées au gouvernement républicain, assurent la survie économique et militaire du fief. La levée de l’ost est strictement réglementée : elle n’est permise qu’en cas de légitime défense ou sur autorisation expresse de la capitale. Cependant, aucun texte de loi ne saurait effacer le rôle vital des Riverhood et de leurs vassaux Valsonge et Eridanie d'Astrid dans la défense de Gévaudan. Depuis des siècles, ils tiennent en échec la menace omniprésente du treizième reflet, une réalité qui forge le respect, mais aussi la dépendance des habitants envers leurs seigneurs.
Si les habitants jouissent d’une certaine liberté pour entreprendre leurs propres activités, ils demeurent redevables envers leurs protecteurs, notamment par le biais d’impôts. Ces recettes, en partie reversées au gouvernement républicain, assurent la survie économique et militaire du fief. La levée de l’ost est strictement réglementée : elle n’est permise qu’en cas de légitime défense ou sur autorisation expresse de la capitale. Cependant, aucun texte de loi ne saurait effacer le rôle vital des Riverhood et de leurs vassaux Valsonge et Eridanie d'Astrid dans la défense de Gévaudan. Depuis des siècles, ils tiennent en échec la menace omniprésente du treizième reflet, une réalité qui forge le respect, mais aussi la dépendance des habitants envers leurs seigneurs.
IV. Les frontièresLa frontière septentrionale du Gévaudan est dominée par une chaîne de montagnes connue sous le nom des "Crocs". Peu élevées mais vastes, ces montagnes abritent les précieuses mines de fer, de cuivre, de charbon et de cristaux éthérés exploitées par les vassaux des Riverhood, les Eridanie d’Astrid. Ces ressources, vitales pour l’économie locale, jouent également un rôle clé dans la défense des terres. Plus à l’ouest, la frontière est bordée par un lac semi-gelé, en plus d'un village de pêcheurs et de navigateurs. Au sud-ouest, nulle chaîne de montagnes, mais la simple présence du Val des Songes fait déjà office de frontières naturelles entre Gévaudan et le reste du Coerthas occidental. |
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V. L'Oeil du Loup
Située à l'est du Gévaudan, l'Œil du Loup est à la fois la capitale du territoire et le cœur du pouvoir des Riverhood. Entourée par quelques montagnes de taille moyenne, cette petite ville est un symbole de résilience et de savoir-faire face aux menaces surnaturelles qui hantent la région.
Au sommet de son influence se trouvent deux institutions majeures :
♦ La tour de l'Œil du Loup, bastion de l'Ordre des Inquisiteurs Riverhood. Bien que distincte de l'Inquisition ishgardaise, cette organisation incarne la vigilance et la défense contre le Néant et ses manifestations.
♦ L'Institut Riverhood, une académie renommée dédiée à l'enseignement des méthodes de lutte contre le surnaturel et les entités du treizième reflet.
L'Œil du Loup est protégée par un bouclier éthéré, alimenté par des cristaux d'éther corrompus dont le générateur repose dans les souterrains du village. La ville est également fortifiée par deux niveaux de murailles, équipés de modestes armes de siège, assurant une défense efficace contre les incursions démoniaques. Bien que de taille modeste, l'Œil du Loup incarne la vigilance et la combativité des Riverhood, faisant d'elle l'une des places fortes de Gévaudan.
Au sommet de son influence se trouvent deux institutions majeures :
♦ La tour de l'Œil du Loup, bastion de l'Ordre des Inquisiteurs Riverhood. Bien que distincte de l'Inquisition ishgardaise, cette organisation incarne la vigilance et la défense contre le Néant et ses manifestations.
♦ L'Institut Riverhood, une académie renommée dédiée à l'enseignement des méthodes de lutte contre le surnaturel et les entités du treizième reflet.
L'Œil du Loup est protégée par un bouclier éthéré, alimenté par des cristaux d'éther corrompus dont le générateur repose dans les souterrains du village. La ville est également fortifiée par deux niveaux de murailles, équipés de modestes armes de siège, assurant une défense efficace contre les incursions démoniaques. Bien que de taille modeste, l'Œil du Loup incarne la vigilance et la combativité des Riverhood, faisant d'elle l'une des places fortes de Gévaudan.
VI. Le Val des SongesParmi les vastes forêts de Gévaudan, le Val des Songes se distingue par son immensité et sa richesse. S'étendant sur une grande partie de la frontière sud et sud-ouest du territoire, cette forêt, teintée de blanc, abrite la faune et la flore les plus variées de la région. C'est aux portes de cette forêt que la famille Valsonge a établi son domaine. Le manoir du Loup Noir, résidence seigneuriale, se dresse au nord du Val, entouré de quelques villages de chasseurs et d'artisans qui vivent des ressources offertes par cette étendue boisée. Le Val des Songes revêt également une importance stratégique. Son terrain accidenté et irrégulier constitue un obstacle majeur pour toute armée étrangère non familiarisée avec ces bois, et offrait une protection naturelle contre les assauts aériens lors de la guerre du Chant des Dragons. Caché dans l'épaisseur de cette forêt se trouve le monastère de l'Ordre des Chasseurs Valsonge, un lieu dont l’emplacement exact reste inconnu de tous, sauf des initiés. |
VI. Le Vigile de GlaceLe Vigile de Glace, véritable forteresse de Gévaudan, s'élève fièrement au sommet d’une colline située au nord-est du territoire. Avec ses imposantes murailles et son architecture défensive, il représente un point névralgique de la région. Au pied de cette citadelle se trouve la seconde petite ville de Gévaudan, qui s'étend sur les pentes de la colline et bénéficie de la protection dissuasive du Vigile. Ce bastion et la ville environnante sont placés sous la gouvernance de la famille Eridanie d’Astrid, l'une des principales familles vassales des Riverhood. Le Vigile de Glace est également célèbre pour abriter la Forge d’Astrid, parfois surnommée Forge du Loup, un atelier renommé pour la production des armes, armures, outils et éléments de construction du territoire. Ces créations, réputées pour leur robustesse, intègrent souvent des mécanismes magiques, notamment dans les portes et balistes, afin d’en améliorer l’efficacité et la maniabilité. Qu’il s’agisse de dissuader une attaque ou de soutenir l’économie locale, le Vigile de Glace reste une pièce maîtresse dans l’échiquier stratégique et politique de Gévaudan. |
Lyssie
Il y a 3 semaines et 4 jours
VIII. Les FortinsHormis les imposantes forteresses que sont le Vigile de Glace et l’Œil du Loup, Gévaudan ne dispose pas d’un vaste réseau de fortifications. Toutefois, il y a environ deux siècles, un seigneur Riverhood entreprit la construction de plusieurs fortins rudimentaires répartis à travers le territoire. Ces structures modestes, bien que loin d’égaler les bastions principaux, jouent un rôle crucial dans la défense du fief. Elles servent de refuge temporaire pour les patrouilles chargées de surveiller les vastes étendues de Gévaudan, souvent confrontées à des trajets longs et périlleux. Ces fortins permettent également de ralentir les incursions du Néant, offrant un précieux délai pour rassembler et organiser les forces armées du vicomté en cas d’attaque. Simples mais efficaces, ces postes avancés témoignent de la vigilance constante des Riverhood face aux menaces qui hantent leurs terres. |
IX. Les GuildesLes comptoirs locaux des guildes occupent une place importante dans l'économie de Gévaudan, et pourraient être considérés comme le contrepoids politique et économique principal aux maisons seigneuriales. Elles existent au nombre de quatre, la guilde des marchands, la guilde des mineurs, la guilde des chasseurs et la guilde des artisans. Chacune d'entre elle recense l'ensemble des pratiquants de ces différents métiers, assurent le suivi des activités sur le territoire, et sont représentés par des membres du peuple élus par les membres de chaque guilde. Les quatre guildes échangent régulièrement avec les trois maisons seigneuriales de Gévaudan afin d'assurer la meilleure collaboration possible, et le bon maintien de l'économie locale du vicomté. Tout autre corps de métier qui n'est pas couvert par l'une de ces quatre guildes est directement recensé et géré par l'une des trois maisons seigneuriales de Gévaudan. L'existence de ces guildes et l'augmentation de leur influence est le plus grand exemple de l'adaptation de la noblesse et du peuple au nouveau gouvernement parlementaire Ishgardais, où la noblesse gouverne par l'influence et la loi en présence de contrepouvoirs réels plus que par une quelconque forme de droit théocratique comme ce fut le cas par le passé. |
Lyssie
Il y a 3 semaines et 3 jours
Les villages aux alentours de l'Oeil du Loup
Plus on s'approche d'une capitale, plus les villages y sont nombreux et bien portants. Dracombre, Sylvefer, Charousse, et Montaigne incarnent cette prospérité nouvelle, chacun contribuant à l’essor de la région tout en cultivant une identité propre. Ces villages ont su tirer parti de leur proximité avec la capitale, reconstruite après les ravages de la bataille pour Gévaudan, pour s’imposer comme des centres d’artisanat et de commerce essentiels.
Principalement peuplés d’élezens, ces villages abritent également une poignée de hyurois, réfugiés des terres voisines après le septième fléau et l’apocalypse. Ces derniers ont trouvé un accueil bienveillant auprès des maires locaux, malgré la méfiance initiale de certaines familles établies de longue date. Bien que différents et malgré des conditions climatiques hostiles rendant toute agriculture impossible, les villages partagent à peu près le même style de vie : une majorité d'artisan et de commerçants faisant le bonheur des plus fortunés. Les hommes se consacrent à des métiers comme la menuiserie, la taille de pierre ou la forge, tandis que les femmes, lorsqu’elles ne s’occupent pas de leurs enfants, excellent dans le tissage du lin et du coton comme dans la pâtisserie et la cuisine.
Quoi qu'il en soit, leur vie suit un rythme bien réglé, souvent envié par les villages plus reculés : les journées commencent dès l’aube, avec une matinée consacrée aux travaux les plus exigeants, achevés avant midi. Les familles se réunissent alors autour de repas chauds dans des foyers qui, bien que modestes pour la plupart, respirent la chaleur et la convivialité. L’après-midi est réservé à des activités plus légères ou à des entraînements militaires pour les hommes, tandis que la pêche sous glace, plus qu'une nécessité, reste un passe-temps prisé. Les prises sont souvent troquées contre du gibier importé des villages situés dans le Val des Songes, renforçant ainsi les liens économiques entre les deux zones. Le soir, c'est un moment de convivialité en famille autour d'un bon plat chaud et juteux. Ils ne veillent jamais tard, pas même la veille du seul jour où ils ne travaillent pas. Le dimanche, c'est le jour où tous les habitants, vêtus de leurs plus beaux habits, se rendent à l’église pour honorer la déesse de la guerre, Halone. Cette tradition, profondément ancrée, est l’occasion de resserrer les liens entre voisins et de réaffirmer leur foi en des valeurs de résilience et de courage.
Principalement peuplés d’élezens, ces villages abritent également une poignée de hyurois, réfugiés des terres voisines après le septième fléau et l’apocalypse. Ces derniers ont trouvé un accueil bienveillant auprès des maires locaux, malgré la méfiance initiale de certaines familles établies de longue date. Bien que différents et malgré des conditions climatiques hostiles rendant toute agriculture impossible, les villages partagent à peu près le même style de vie : une majorité d'artisan et de commerçants faisant le bonheur des plus fortunés. Les hommes se consacrent à des métiers comme la menuiserie, la taille de pierre ou la forge, tandis que les femmes, lorsqu’elles ne s’occupent pas de leurs enfants, excellent dans le tissage du lin et du coton comme dans la pâtisserie et la cuisine.
Quoi qu'il en soit, leur vie suit un rythme bien réglé, souvent envié par les villages plus reculés : les journées commencent dès l’aube, avec une matinée consacrée aux travaux les plus exigeants, achevés avant midi. Les familles se réunissent alors autour de repas chauds dans des foyers qui, bien que modestes pour la plupart, respirent la chaleur et la convivialité. L’après-midi est réservé à des activités plus légères ou à des entraînements militaires pour les hommes, tandis que la pêche sous glace, plus qu'une nécessité, reste un passe-temps prisé. Les prises sont souvent troquées contre du gibier importé des villages situés dans le Val des Songes, renforçant ainsi les liens économiques entre les deux zones. Le soir, c'est un moment de convivialité en famille autour d'un bon plat chaud et juteux. Ils ne veillent jamais tard, pas même la veille du seul jour où ils ne travaillent pas. Le dimanche, c'est le jour où tous les habitants, vêtus de leurs plus beaux habits, se rendent à l’église pour honorer la déesse de la guerre, Halone. Cette tradition, profondément ancrée, est l’occasion de resserrer les liens entre voisins et de réaffirmer leur foi en des valeurs de résilience et de courage.
X. DracombreInitialement conçu comme un bastion contre les dragons durant la guerre millénaire, Dracombre, situé au sud-ouest de l’Œil du Loup, est aujourd'hui un bien modeste village dont l'emplacement stratégique en fait un point de passage prisé pour les patrouilles et les caravanes reliant les terres de Gévaudan. Mieux encore, c'est un véritable refuge pour les familles modestes et les artisans qui travaillent activement pour le vicomté. La plupart des travailleurs au sein de l'Œil du Loup y vivent et contribuent à l'économie de la capitale. Ce sont aussi les premiers à trouver refuge en son sein lors d'attaques de créatures du néant, ou autrefois, de dragons. |
XI. SylveferPerdu dans une crevasse naturelle au sud-est de Gévaudan, Sylvefer est un village isolé mais essentiel. Bordé par deux petites forêts et juxtaposé au paisible Lacaleau, ce hameau abrite une communauté de forgerons réputés pour leur travail du fer et du métal. Leur savoir-faire est reconnu auprès des autres villages entourant la capitale (bien que très loin de rivaliser avec les Eridanie d'Astrid), et les ressources du lac voisin ajoutent une touche d’autonomie à leur mode de vie. La géographie particulière du village en fait une enclave protégée, mais également difficile d’accès pour les marchands itinérants. |
XII. CharousseLe plus important carrefour économique de Gévaudan, Charousse, n'est pas un village seulement connu pour être la "cour des petites gens" (un surnom gentiment donné par les nobles de la cour de l’Œil du Loup à qui elle fait opposition). C'est surtout pour son marché du lundi que tous les marchands et curieux traversent le Gévaudan, celui-ci proposant de grandes étales où l’on trouve de tout : étoffes, outils, denrées rares et bien plus encore. "Il n’y a rien de plus charmant que Charousse !", dit-on souvent, et pour cause : le village situé à l'ouest de Dracombre est un exemple de simplicité et de convivialité, malgré son rôle central dans l’économie locale. |
♦ La Guilde des Artisans
Tenue par l'excellente Camille Silverberg, la Guilde des Artisans locale s'est naturellement implantée à Charousse afin d'y consolider son influence. Cette association économique rassemble une multitude de talents locaux : marchands, artisans et artistes, qui, ensemble, contribuent à faire de Charousse un centre névralgique du commerce et de la créativité. Camille Silverberg, véritable pilier de cette organisation, exerce une mainmise de fer sur les affaires de la guilde, veillant à maintenir son monopole tout en étant fervente défenseuse des droits de ses travailleurs face à l'éventualité des abus de pouvoirs des Riverhood.XIII. Montaigne"Il n'y a pas de Charousse sans Montaigne." Si d'aucuns pensent que Charousse est le village le plus riche de la région -si l'on oublie les deux villes majeures- par le biais de ses comptoirs et la plaque tournante qu'elle incarne, c'est pourtant Montaigne, situé au centre de Gévaudan, qui remporte haut la main ce titre. Niché au pied de mines d'argent, le village où opulence et érudition se côtoient a vécu une véritable gentrification au fur et à mesure du temps. Aujourd'hui peuplé principalement de familles bourgeoises enrichies par l'exploitation minière et autres, le village connaît également une concentration de mages spécialisés dans les enchantements. La famille Lancastre, la plus influente du village, y règne en maître, jouissant de la richesse des mines et des connaissances magiques qu’elles alimentent. |
Lyssie
Il y a 3 semaines et 3 jours
Les villages aux alentours du Val des Songes
Les sombres légendes entourant le Val des Songes sont aussi nombreuses que terrifiantes, et pour la plupart, elles s’avèrent être fondées. Pourtant, cela n’a pas dissuadé certains villages de s’établir autour de cette imposante forêt, voire directement en son cœur. Portelune, Brumdelin, Viltoille et Westhavalon, bien que modestes en comparaison des villages proches de l’Œil du Loup, se distinguent par leur fierté et leur attachement à des traditions ancestrales.
Ces villages vivent dans une tension permanente due à la présence accrue de créatures du Néant dans cette région. Les habitants, principalement des élezens et des hyurois au tempérament robuste, s’adaptent à un mode de vie rigoureux, parfois qualifié de "loi du plus fort". Ici, les disparitions nocturnes ne sont pas rares, et la prudence est une vertu indispensable pour survivre. Les journées commencent avant l’aube, dès quatre heures du matin, et s’étendent jusqu’au milieu de l’après-midi. L’épaisse canopée de la forêt rend difficile l’évaluation du temps par la position du soleil, plongeant les villages dans une pénombre quasi constante. Les repas, souvent frugaux, sont suivis d’un entraînement intensif à la chasse ou à la pêche. La maxime locale, "Un bon chasseur est un chasseur à l’affût", est une philosophie de vie adoptée par tous. Le soir venu, la prudence est de mise. Les rues se vident rapidement, et les enfants sont tenus à l’abri. Les récits de sorcières et de monstres rôdant dans l’obscurité alimentent les histoires effrayantes qui hantent les habitants. Bien que ces villages soient des lieux austères et parfois hostiles, ils sont également réputés pour former les chasseurs les plus expérimentés de Gévaudan, capables de rapporter les viandes les plus savoureuses et les fourrures les plus prisées.
Vivre près du Val des Songes est un défi constant, mais pour ses habitants, c’est aussi un honneur et une fierté, car ces terres, bien que périlleuses, incarnent l’essence même de la résilience gévaudoise.
Ces villages vivent dans une tension permanente due à la présence accrue de créatures du Néant dans cette région. Les habitants, principalement des élezens et des hyurois au tempérament robuste, s’adaptent à un mode de vie rigoureux, parfois qualifié de "loi du plus fort". Ici, les disparitions nocturnes ne sont pas rares, et la prudence est une vertu indispensable pour survivre. Les journées commencent avant l’aube, dès quatre heures du matin, et s’étendent jusqu’au milieu de l’après-midi. L’épaisse canopée de la forêt rend difficile l’évaluation du temps par la position du soleil, plongeant les villages dans une pénombre quasi constante. Les repas, souvent frugaux, sont suivis d’un entraînement intensif à la chasse ou à la pêche. La maxime locale, "Un bon chasseur est un chasseur à l’affût", est une philosophie de vie adoptée par tous. Le soir venu, la prudence est de mise. Les rues se vident rapidement, et les enfants sont tenus à l’abri. Les récits de sorcières et de monstres rôdant dans l’obscurité alimentent les histoires effrayantes qui hantent les habitants. Bien que ces villages soient des lieux austères et parfois hostiles, ils sont également réputés pour former les chasseurs les plus expérimentés de Gévaudan, capables de rapporter les viandes les plus savoureuses et les fourrures les plus prisées.
Vivre près du Val des Songes est un défi constant, mais pour ses habitants, c’est aussi un honneur et une fierté, car ces terres, bien que périlleuses, incarnent l’essence même de la résilience gévaudoise.
XIV. PorteluneNom donné au petit village fortifié situé au pied du fortin au sud-ouest du Val des Songes, modeste fief de la famille Delyonais qui, bien que cela puisse être trompeur, ne possède pas le moindre sang bleu dans les veines. Principalement peuplé de gardes et d'archers, ce lieu austère mais fonctionnel est une des pièces maîtresses du réseau défensif de Gévaudan, offrant une halte sûre aux patrouilles et un point d’observation stratégique pour prévenir les incursions du Néant. On dit que le fortin serait le premier à voir apparaître la lune depuis sa hauteur. |
XV. BrumdelinLes villages au sein même du Val des Songes ne sont pas légions contrairement aux histoires morbides qui les entourent et Brumdelin n'y fait pas exception. Perdu à l'est de la plus grande forêt de la région, il s'agit d'un village de chasseurs vivant au rythme des battues et des récoltes forestières. On y vend les meilleures viandes et les plus belles fourrures, mais c'est le courage des habitants qui font régulièrement face aux créatures du néant qui est le plus souvent salué par la maison du Cerbère. Récemment, il semblerait que les futurs "chasseurs Valsonge" auraient été recruté dans ce village. |
♦ La Guilde des Chasseurs
La Guilde des Chasseurs est le joyau de Brumdelin, dirigée par le renommé Conrad Clairvoyaux. Véritable légende parmi les chasseurs de Gévaudan, Conrad a fait de cette guilde une institution respectée, où courage et compétence sont les maîtres mots. Spécialisée dans la traque des créatures sauvages, la guilde regroupe des chasseurs aguerris, prêts à risquer leur vie pour rapporter de la viande. Les chasseurs, grâce au chef de la guilde, se voient protégés en cas d'accident mortel qui mettrait leur famille en danger.XVI. ViltoilleBien qu'il soit situé à l’extrémité nord-ouest du Val des Songes, et proche d'un étang poissonneux, Viltoille est ce pourquoi le Val des Songes reçoit encore régulièrement des visites malgré sa sombre réputation. Ce lopin de terre au bord de l'eau n'abrite pourtant qu'un vieu port, quelques barques et trois maisons modestes dont la plus grande est un hangar. C'est pourtant à bord de l'une de ces barques que les gévaudois peuvent avoir vu sur un étrange phénomène qui passionne encore toujours les chercheurs sharlayanais : tard la nuit, des aurores boréales dansent dans le ciel. De quoi justifier la prise de risques pour accéder à cette belle fresque quand on est entouré par une nature sauvage, des poissons et la présence de néantins non loin. |
XVII. Westhavalon"Il est pas à l'ouest, ton destrier !" s'amusent à dire les modestes gens de la région. Situé tout à l’ouest de Gévaudan, au-dessus de Viltoille, Westhavalon est un village équestre vivant au rythme des élevages de chocobos. Impossible de ne pas remarquer à son approche les chocobos qui chevauchent les plaines ou qui mangent le foin donné. Bordé par la forêt de Westhermont, connue pour ses fameuses chasses à courre qui font le ravissement des nobles de la région, le village tire sa renommée de ses éleveurs, dont certains travaillent directement pour la noblesse Riverhood. |
Lyssie
Il y a 3 semaines et 3 jours
Les villages aux alentours du Vigile de Glace
Personne ne sait réellement si le froid mordant du nord de Gévaudan provient de la distance qui sépare cette région de la capitale ou du Vigile de Glace lui-même. Cette forteresse imposante et imprenable, tenue par la famille Eridanie d’Astrid depuis un siècle, est devenue un symbole de résilience, de fer, et d’artisanat forgeron. Perché sur une colline, le Vigile domine les terres environnantes, offrant une protection vitale à la région, bien que les villages voisins – tels que Charbonnie, Esthavalon, et les désormais abandonnés Clairval et Cendreval – ne partagent pas le même prestige ni les mêmes jours heureux que leurs homologues du sud.
Dans ces villages, la vie est rude et sans compromis. Peuplés majoritairement de hyurois robustes, hommes et femmes travaillent sans distinction de genre. Les métiers physiques comme bûcherons, menuisiers, mineurs ou forgerons sont omniprésents, et ceux qui excellent dans leur domaine peuvent parfois être appelés à contribuer aux ateliers d’excellence du Vigile de Glace. Ici, la survie et la subsistance priment sur tout le reste, et la solidarité des communautés est aussi forte que les outils qu’elles fabriquent.
Les journées au nord diffèrent considérablement de celles du sud. On se lève tôt, mais non pour sortir immédiatement affronter les éléments. Les matinées sont consacrées aux tâches ménagères ou la préparation de commandes, car affronter le froid glacial du matin est impossible. Ce n’est qu’à midi, lorsque le soleil adoucit légèrement l’atmosphère, que les habitants se rendent aux mines ou aux forêts pour exploiter leurs ressources. Cependant, ces sessions de travail sont courtes : à la dix-huitième cloche, le froid redevient insoutenable, forçant les villageois à rentrer et à cesser leurs activités. Malgré leur rythme de travail limité par les conditions climatiques, les habitants compensent par une efficacité redoutable, ayant perfectionné leurs techniques pour maximiser chaque instant. Pourtant, la menace du Néant reste omniprésente. Récemment, les attaques démoniaques ont laissé deux villages sur quatre en ruines, forçant les survivants à migrer vers Charbonnie ou à chercher refuge au Vigile de Glace, accentuant encore les tensions et les défis de cette région déjà éprouvée.
Dans ces villages, la vie est rude et sans compromis. Peuplés majoritairement de hyurois robustes, hommes et femmes travaillent sans distinction de genre. Les métiers physiques comme bûcherons, menuisiers, mineurs ou forgerons sont omniprésents, et ceux qui excellent dans leur domaine peuvent parfois être appelés à contribuer aux ateliers d’excellence du Vigile de Glace. Ici, la survie et la subsistance priment sur tout le reste, et la solidarité des communautés est aussi forte que les outils qu’elles fabriquent.
Les journées au nord diffèrent considérablement de celles du sud. On se lève tôt, mais non pour sortir immédiatement affronter les éléments. Les matinées sont consacrées aux tâches ménagères ou la préparation de commandes, car affronter le froid glacial du matin est impossible. Ce n’est qu’à midi, lorsque le soleil adoucit légèrement l’atmosphère, que les habitants se rendent aux mines ou aux forêts pour exploiter leurs ressources. Cependant, ces sessions de travail sont courtes : à la dix-huitième cloche, le froid redevient insoutenable, forçant les villageois à rentrer et à cesser leurs activités. Malgré leur rythme de travail limité par les conditions climatiques, les habitants compensent par une efficacité redoutable, ayant perfectionné leurs techniques pour maximiser chaque instant. Pourtant, la menace du Néant reste omniprésente. Récemment, les attaques démoniaques ont laissé deux villages sur quatre en ruines, forçant les survivants à migrer vers Charbonnie ou à chercher refuge au Vigile de Glace, accentuant encore les tensions et les défis de cette région déjà éprouvée.
XVIII. Clairval[justify]Autrefois prospère et influent, Clairval, juxtaposé au Lac d’Ivoire, a vu sa destinée brisée par une attaque dévastatrice du Néant. Si le village abritait un maire ambitieux qui avait su lui donner une place importante dans Gévaudan, sa destruction a laissé place à un silence pesant. La rumeur dit que la jeune Joline, seule survivante de la famille dirigeante, vit aujourd’hui dans des conditions précaires auprès de la famille Valsonge, portant les cicatrices d’un village autrefois plein de vie. |
XIX. EsthavalonContrairement à son jumeau Westhavalon qui connaît régulièrement un afflux de nobles et autres amateurs d'équitation, Esthavalon, situé au nord-est de Gévaudan (soit l'extrême opposé), est un village de bûcherons exploitant la petite forêt d’Esthermont. Majoritairement peuplé de hyurois barbus à gros bras, le village tire son revenu des arbres abattus pour fournir le Vigile de Glace et les villages alentours en bois, bien que l’exploitation intensive ait réduit la présence de la faune locale. Récemment, une nouvelle loi adoptée par les seigneurs Riverhood obligent les bûcherons à planter d'autres arbres lors des "saisons de replantation". |
XX. CendrevalAutrefois village de mineurs prospère niché dans les Crocs, Cendreval porte bien son nom depuis sa destruction par la dernière invasion d'imps invoqués par des cultistes fanatiques. Les survivants, réduits de moitié, ont fui vers le village voisin de Charbonnie, laissant derrière eux des maisons en ruines et une communauté brisée. Brimdepau, le maire du village toujours vivant, envoie sans cesse des demandes de reconstruction du village à la famille Eridanie d'Astrid, mais il semblerait qu'il n'ait pas encore obtenu gain de cause... |
XXI. CharbonnieSubmergé par l’afflux des réfugiés de Cendreval, Charbonnie fait face à une crise humanitaire sans précédent. Surpopulation, famine et manque de sécurité fragilisent le village, tandis que le Vigile de Glace tente d’apporter une aide limitée. Si la situation perdure, Charbonnie pourrait à son tour sombrer dans le chaos. En attendant, ce village de mineurs aguerris, rejoint par les réfugiers, possède la plus large concentration de croyants et fervants de Halone. L'église est souvent bondée le dimanche matin à l'occasion de la messe. |
Lyssie
Il y a 3 semaines et 2 jours
Les points d'intérêt
La beauté de Gévaudan ne se limite pas à ses villages hauts en couleurs, mais s’étend à ses paysages enneigés, véritables écrins de rareté. Parmi ces trésors, on trouve les forêts jumelles de Westhermont et Esthermont, idéales pour les amateurs de chasses ou de promenades solitaires, le majestueux Lac d’Ivoire, dont la surface glacée reflète les étoiles la nuit, ou encore le village isolé d’Aubemer, connu pour ses pêcheurs et navigateurs audacieux. Gévaudan regorge de beaux endroits, il suffit simplement de s'y perdre un peu pour en voir les couleurs.
XXII. AubemerSans conteste le village le plus isolé, mais sûrement le plus prospère par son éloignement du centre de la région prisée par les néantins, Aubemer, autrefois grand port du Gévaudan, est un hameau réputé pour ses pêcheurs hors pair et ses navigateurs émérites. Mais ça, c'était avant le septième fléau qui a forcé le village à se réinventer s'il voulait subsister. Si le commerce fluvial n'est plus viable, le commerce de la pêche sous les eaux gelées n'a jamais été aussi florissant. |
XXIII. Lac d'IvoirePlus grand lac de Gévaudan, le Lac d’Ivoire, entièrement glacé, est un symbole de nostalgie. Autrefois animé par des barques de pêcheurs et des rendez-vous amoureux, il est aujourd’hui marqué par son silence hivernal. Pourtant, sa beauté continue de captiver quiconque s’y aventure, comme les fanatiques du surnaturel qui en font régulièrement un repaire pour pratiquer leur plus vile magie dans l'espoir de faire trembler la terre du Loup Blanc. |
XXIV. WesthermontPetite forêt bordant Westhavalon, la forêt de Westhermont est célèbre pour accueillir les riches et les nobles dans ses chasses à courre. Habitats de nombreux sangliers, ses bois denses offrent une richesse cynégétique unique, mais demeurent peu exploités contrairement à son jumeau Esthermont. |
XXV. EsthermontJuxtaposé au village qui en tire son nom, la forêt d’Esthermont est une zone exploitée principalement par les bûcherons d’Esthavalon - loin de la prestance des invités que reçoit son jumeau Westhermont. L’abattage fréquent des arbres a cependant considérablement réduit la faune, laissant derrière elle un paysage souvent silencieux, mais vital pour l’économie locale. Depuis une loi récente, les bûcherons doivent organiser des campagnes de repousses pour entretenir la forêt et sa biodiversité. |